« Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur et par sa force souveraine. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les manœuvres du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les principautés, contre les pouvoirs, contre les dominateurs des ténèbres d’ici-bas, contre les esprits du mal dans les lieux célestes. C’est pourquoi prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour et tenir ferme après avoir tout surmonté. Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice; mettez pour chaussures à vos pieds les bonnes dispositions que donne l’Évangile de paix; prenez, en toutes circonstances, le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du Malin; prenez aussi le casque du salut et l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu. Priez en tout temps par l’Esprit, avec toutes sortes de prières et de supplications. Veillez-y avec une entière persévérance. Priez pour tous les saints et aussi pour moi : que la parole, quand j’ouvre la bouche, me soit donnée pour faire connaître avec hardiesse le mystère de l’Évangile, pour lequel je suis ambassadeur dans les chaînes; et que j’en parle hardiment comme je dois en parler. »

Éphésiens 6.10-20

1. L’utilité de cette arme
2. La signification de ce bouclier pour nous
3. Pour poursuivre la méditation

Connaissez-vous Apollyon? Apollyon est l’un des noms du diable dans la Bible, en Apocalypse 9.11. Apollyon signifie « destructeur ». C’est exactement ce qu’est le diable : un destructeur. Il veut détruire notre foi, notre vie.

J’aimerais maintenant citer un petit extrait du livre Le Voyage du pèlerin qui nous fait assister à une rencontre entre un chrétien et Apollyon, le destructeur :

« Chrétien aperçut un terrible ennemi qui venait au-devant de lui. Son nom est Apollyon. Chrétien commença à avoir peur, et à se demander s’il voulait continuer à avancer, ou bien rebrousser chemin. […] Il résolut de tenir ferme contre Apollyon. […] Apollyon le rejoignit bientôt. […] Il se mit dans une violente rage et dit à Chrétien : Je suis venu contre toi dans l’intention de te combattre. Apollyon se plaça alors en travers du chemin et il lança une flèche enflammée vers la poitrine de Chrétien, mais Chrétien la repoussa avec le bouclier qu’il avait à la main, et évita le danger. […] Apollyon lançait sur Chrétien ses flèches, dru comme grêle, mais Chrétien les évitait avec son bouclier. […] Apollyon l’attaquait toujours plus vigoureusement, mais Chrétien prit courage et résista aussi fermement qu’il le put. Ce combat dura une demi-journée. […] Quand tout fut fini, Chrétien dit : Je veux remercier celui qui m’a donné la victoire sur Apollyon. J’aurais succombé si mon Roi n’eût été prompt à me secourir. […] Par son puissant secours, j’obtins la délivrance. […] Béni soit à jamais mon divin protecteur. Donne-moi désormais de vivre pour ta gloire, toi qui, dans ce combat, fus mon libérateur! »

Ce petit extrait d’un épisode de la vie chrétienne nous rappelle que nous sommes au cœur d’une guerre spirituelle dans laquelle nous devons tenir ferme en revêtant toutes les armes de Dieu pour pouvoir repousser Apollyon, le destructeur.

Ces armes, quelles sont-elles? Nous avons vu jusqu’à maintenant la ceinture de la vérité, la cuirasse de la justice et les chaussures à nos pieds que sont les bonnes dispositions que donne l’Évangile de paix.

Nous arrivons maintenant au verset 16 d’Éphésiens 6, que je relis maintenant : « Prenez, en toutes circonstances, le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du Malin. »

« Chrétien repoussa la flèche enflammée d’Apollyon avec le bouclier qu’il avait à la main, et évita le danger. […] Apollyon lançait sur Chrétien ses flèches, dru comme grêle, mais Chrétien les évitait avec son bouclier. »

Je vous rappelle que l’apôtre Paul, inspiré de Dieu, fait une comparaison entre l’armure d’un soldat, et l’armure du chrétien dans sa guerre spirituelle. Nous allons faire deux choses : d’abord, nous allons essayer de bien comprendre l’utilité de cette arme, le bouclier, pour les soldats de l’époque de Paul. Ensuite, nous verrons ce que cela signifie pour nous aujourd’hui au cœur de notre vie quotidienne.

1. L’utilité de cette arme⤒🔗

D’abord, essayons de bien comprendre l’utilité de cette arme, le bouclier, pour les soldats de l’époque de Paul.

Pour bien comprendre l’utilité du bouclier, il faut comprendre ce que Paul dit quand il parle d’éteindre les traits enflammés de l’ennemi. On pourrait traduire aussi les flèches enflammées de l’ennemi.

Dans les guerres antiques, une des armes les plus formidables qui existait, c’étaient les flèches qu’on enduisait de poix (une sorte de goudron); juste avant de lancer ces flèches, on les enflammait. Ces flèches enflammées étaient une véritable terreur à l’époque. Elles correspondaient aux bombes que nous connaissons aujourd’hui. Quand les archers ennemis lançaient une volée de flèches incendiaires, une telle attaque pouvait faire beaucoup de dommages.

Les Psaumes parlent de celui qui bande son arc et l’apprête. Il prépare des armes meurtrières, il rend ses flèches brûlantes (Ps 7.13). Des armes meurtrières, des flèches brûlantes.

Les soldats vers qui étaient lancées ces flèches incendiaires disposaient d’un seul moyen pour se défendre : leur bouclier. Attention ici! Le bouclier dont Paul parle n’était pas un tout petit bouclier qui n’aurait offert qu’une protection très limitée. Le bouclier dont Paul parle mesurait 120 cm de long par 75 cm de large. C’était une sorte de porte. D’ailleurs, le même mot était utilisé pour parler d’une porte. Ce grand bouclier de forme allongée protégeait presque tout le corps.

Pour bloquer les projectiles de feu qui leur tombaient dessus, les soldats se servaient de leurs grands boucliers. Quand plusieurs soldats plaçaient leurs boucliers côte à côte, ils formaient une sorte de carapace qu’ils appelaient la tortue. Ils pouvaient de cette façon se mettre à l’abri.

Ayant d’abord compris l’utilité de cette arme, le bouclier, pour les soldats de l’époque de Paul, voyons maintenant ce que cela signifie concrètement pour nous aujourd’hui au cœur de notre quotidien.

2. La signification de ce bouclier pour nous←⤒🔗

« Prenez, en toutes circonstances, le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du Malin. »

La guerre dans laquelle nous nous trouvons est une guerre spirituelle. Les traits enflammés du Malin, ses flèches de feu, incluent tout ce que le diable essaie de faire pour nous détruire. Il est Apollyon, le destructeur, ne l’oubliez pas! Des flèches enflammées, il en a de toutes sortes!

Il nous vise, nous sommes sa cible, il veut nous faire du mal. Vous voyez comment l’apôtre Paul l’appelle ici : le Malin, le méchant, le malicieux, cet être qui vous veut du mal 24 heures par jour, 365 jours par année, toutes les années de votre vie.

Mais, pas de panique, vous pouvez le repousser. Vous pouvez, dit Paul, éteindre tous les traits enflammés du Malin. Quelle bonne nouvelle! Mais comment? Comment pouvons-nous éteindre tous les traits enflammés du Malin? En prenant le bouclier de la foi.

Nous devons nous souvenir de la façon dont, au commencement, Satan a fait tomber Adam et Ève : il les a amenés à douter de Dieu et de sa bonté. Depuis ce temps, Satan n’a pas changé de stratégie. Son approche principale consiste toujours à insinuer que Dieu n’est pas bon et qu’il est contre nous. C’est là le premier de ses traits enflammés, auquel tous les autres se sont allumés. Toute tentation est, directement ou indirectement, celle de douter de Dieu et de ne pas lui faire confiance. Le but de tous les traits de Satan est d’amener les croyants à abandonner leur foi en Dieu.

Pensez par exemple un instant à ce qui est arrivé à notre frère Job. Écoutez bien ce que dit la Bible :

« Il arriva auprès de Job un messager qui dit : Les bœufs labouraient et les ânesses paissaient à côté d’eux [je vous rappelle que Job avait 1000 bœufs et 500 ânesses]; des Sabéens se sont jetés dessus, les ont enlevés et ont passé les serviteurs au fil de l’épée. Je me suis échappé, moi seul, pour te l’annoncer » (Jb 1.14-15).

Une flèche enflammée du Malin pour décourager Job et lui faire abandonner la foi!

Mais ce n’est pas tout.

« Le premier serviteur parlait encore, lorsqu’un autre vint et dit : Le feu est tombé du ciel, a brûlé le petit bétail et les serviteurs et les a dévorés. Je me suis échappé, moi seul, pour te l’annoncer » (Jb 1.16).

Une autre terrible flèche enflammée du Malin pour décourager Job et lui faire abandonner la foi!

Mais ce n’est pas tout. Le deuxième serviteur parlait encore lorsqu’un troisième serviteur est arrivé et a dit :

« Des Chaldéens, formés en trois bandes, se sont précipités sur les chameaux [je vous rappelle que Job avait 3000 chameaux], les ont enlevés et ont passé les serviteurs au fil de l’épée. Je me suis échappé, moi seul, pour te l’annoncer » (Jb 1.17).

Une autre terrible flèche enflammée du Malin pour décourager Job et lui faire abandonner la foi!

Est-ce que tout ça va finir? Non! Le troisième serviteur parlait encore lorsqu’un quatrième est arrivé et a dit :

« Tes fils et tes filles mangeaient et buvaient du vin dans la maison de leur frère aîné; et voici qu’un grand vent est venu de l’autre côté du désert et a battu les quatre coins de la maison; elle s’est écroulée sur les jeunes gens, et ils sont morts [je vous rappelle que Job avait sept fils et trois filles]; et le serviteur dit : Je me suis échappé, moi seul, pour te l’annoncer » (Jb 1.18-19).

Quel mauvais jour pour Job! Quel mauvais jour! Une pluie de flèches enflammées! Qui sera suivie par une autre encore : « Satan frappa Job d’un ulcère malin [le Malin frappe d’un ulcère malin!], depuis la plante du pied jusqu’au sommet de la tête » (Jb 2.7). Apollyon a mis le paquet pour détruire la foi de Job. A-t-il réussi? Non! Pourquoi? Parce que Job a pris le bouclier le la foi. Job a dit : « L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté; que le nom de l’Éternel soit béni! » (Jb 1.21). Lorsque Madame Job fait une crise de colère et dit à Job : « Maudis Dieu, et meurs! », Job lui dit : « Tu parles comme une femme insensée! » (Jb 2.9-10). Job a tenu bon. Job a gardé la foi. Tous les coups ont été déviés par son bouclier de la foi.

Bien sûr, chacun d’entre nous n’a pas à vivre les mêmes attaques que Job. Mais Apollyon n’a pas pris sa retraite, et dans le temps qu’il lui reste, il fait tout ce qu’il peut pour détruire votre foi. Vous l’avez sans doute rencontré cette semaine. Les plus grandes batailles de la vie se font chaque jour dans les recoins silencieux de l’âme.

De diverses manières, le Malin s’est mis en travers de votre chemin dans l’intention de vous combattre et de vous faire abandonner la foi. Avez-vous tenu ferme en prenant le bouclier de la foi?

Peut-être le Malin a-t-il dirigé vers vous la flèche enflammée qui dit que la vie n’a pas de sens ni de but. La confusion et le désespoir étaient sur le point de vous envahir. « À quoi bon? » Vous avez alors pris le bouclier de la foi, la foi dans le Dieu Créateur qui nous assure que notre vie entière est selon le grand dessein divin et les objectifs glorieux du Dieu d’amour. Quelle paix vous a alors remplie!

Peut-être le Malin a-t-il dirigé vers vous la flèche enflammée qui dit que la vie est hors de contrôle et que vos circonstances actuelles sont des plus désespérantes. La panique était sur le point de vous gagner. Vous avez alors pris le bouclier de la foi, la foi dans le Dieu souverain; vous savez que même lorsque la vie semble hors de contrôle, Dieu maîtrise totalement la situation, toujours. L’ennemi a été repoussé.

Peut-être le Malin a-t-il dirigé vers vous la flèche enflammée qui consistait à mettre sur votre route des personnes désagréables. Vous commenciez à vous dire que cette situation était injuste. Vous avez alors pris le bouclier de la foi, la foi dans le Dieu qui est toujours juste, même quand la vie paraît injuste, même quand des personnes et des circonstances nous sont défavorables. Vous vous êtes ressaisis, et Satan a dû s’enfuir.

Peut-être le Malin a-t-il dirigé vers vous la flèche enflammée qui a commencé à vous faire douter de l’amour de Dieu. « Dieu m’aime-t-il réellement? Si oui, alors pourquoi toutes ces adversités, tous ces problèmes? » Vous vous êtes alors empressés de prendre le bouclier de la foi, la foi dans l’unique vrai Dieu dont l’amour est inconditionnel : nous ne pouvons rien faire et rien ne peut se produire pour augmenter ou diminuer son amour. Son amour est éternel (Jr 31.3), il n’a pas de fin! (Ps 136) Arrière de moi, Satan!

Peut-être le Malin a-t-il dirigé vers vous la flèche enflammée qui vous poussait à refuser de pardonner à quelqu’un. La rancune, le ressentiment, l’amertume étaient sur le point d’avoir le dessus sur vous. Vous avez alors pris le bouclier de la foi, la foi dans le Dieu plein de grâce qui vous pardonne et vous donne la force de pardonner. Le Malin a échoué.

Peut-être le Malin a-t-il dirigé vers vous la flèche enflammée qui dit que vu que tout le monde est pécheur et impur, eh bien, allez-y, laissez-vous aller à vos mauvais désirs et convoitises! Vous avez alors pris le bouclier de la foi, la foi dans le Dieu saint. Sa pureté morale absolue n’est pas altérée par ce monde pécheur, et il doit en être ainsi pour tout enfant de Dieu. Vous vous êtes souvenus que celui qui prononce le nom du Seigneur doit se détourner du péché (2 Tm 2.19), et vous avez repoussé l’ennemi avec le bouclier de la foi.

Peut-être le Malin a-t-il dirigé vers vous la flèche enflammée qui vous a fait penser que Dieu ne se soucie par du tout de vous et de ce qui vous arrive ces temps-ci. Vous avez alors pris le bouclier de la foi, la foi dans le Dieu omniscient à qui aucun motif, aucune pensée et aucun détail de votre vie n’échappent. Il mène tout à bonne fin pour moi (Ps 57.3; 138.8) Le Malin a été repoussé.

Peut-être le Malin a-t-il dirigé vers vous la flèche enflammée qui vous a suggéré que tel problème était sans solution et donc qu’il ne vous restait plus qu’à vous jeter dans l’apitoiement sur soi. Vous avez alors pris le bouclier de la foi, la foi dans le Dieu omnipotent : il n’existe aucune lutte personnelle ni aucun problème qui surpasse sa capacité de résolution. Il a une sagesse absolue. Il possède toutes les réponses aux questions et toutes les solutions aux problèmes qui nous bouleversent. Il peut faire infiniment au-delà de tout ce que nous demandons ou pensons. Loin de nous le Malin!

Peut-être le Malin a-t-il dirigé vers vous la flèche enflammée qui vous a amenés à vous imaginer que vous méritez plus, que vous méritez mieux, que vous ne recevez pas votre dû; et les murmures commençaient à bouillonner à l’intérieur de vous. Vous avez alors pris le bouclier de la foi, la foi dans le Dieu qui nous donne sa plénitude, grâce sur grâce (Jn 1.16). Nous avons tout pleinement en lui. Nous sommes totalement comblés par lui. Il a pourvu à tout ce dont nous avons besoin. Il nous satisfait. « L’Éternel est mon berger, je ne manquerai de rien » (Ps 23.1). Et ainsi vous avez tenu ferme contre Apollyon.

Peut-être le Malin a-t-il dirigé vers vous la flèche enflammée qui dit que Dieu vous a abandonnés. Vous avez alors pris le bouclier de la foi, la foi dans le Dieu omniprésent qui est notre Compagnon de tous les instants et qui veut nous faire vivre dans la paix réconfortante de sa douce présence. Dieu a promis de ne jamais nous abandonner (Hb 13.5). Il a promis! À nouveau, le Malin a été repoussé.

Apollyon, le destructeur, a des milliers de façons de nous attaquer et d’essayer de nous détruire. Mais avec le bouclier de la foi, nous pouvons éteindre tous ses traits enflammés. La foi s’accroche solidement aux promesses de Dieu lorsque surviennent des moments de doute et de découragement. Par la foi, nous repoussons tous les assauts du diable. Il est écrit en 1 Jean 5.4 : « Voici la victoire qui triomphe du monde : notre foi. » La foi est plus puissante que l’arme la plus puissante de l’ennemi. Quand nous croyons ce que Dieu dit, les attaques du Malin sont vaines.

Si nous ne prenons pas le bouclier que Dieu nous a donné pour nous protéger, nous serons vaincus; mais si nous le prenons, nous serons vainqueurs, grâce à Jésus.

La foi met Jésus entre nous et Satan. La foi nous cache derrière Jésus-Christ, qui a vaincu l’ennemi pour nous.

Dans le très beau Psaume 91 que nous avons lu tout à l’heure, il est écrit : « Celui qui abrite sous l’abri du Très-Haut repose à l’ombre du Tout-Puissant. Je dis à l’Éternel : Mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie… » Et le Seigneur répond : « Puisqu’il s’attache à moi, je le ferai échapper; je le protégerai, puisqu’il connaît mon nom. Il m’invoquera et je lui répondrai. Je serai moi-même avec lui, je le délivrerai. »

De sorte que nous pouvons dire comme Chrétien a dit, dans Le Voyage du pèlerin :

« Je veux remercier celui qui m’a donné la victoire sur Apollyon. J’aurais succombé si mon Roi n’eût été prompt à me secourir. […] Par son puissant secours, j’obtins la délivrance. […] Béni soit à jamais mon divin protecteur. Donne-moi désormais de vivre pour ta gloire, toi qui, dans ce combat, fus mon libérateur! »

Amen!

3. Pour poursuivre la méditation←⤒🔗

Lecture : Éphésiens 6.16. Quel est le bouclier du chrétien contre le diable? Pour quoi au juste ce bouclier est-il utile? Comment la foi sert-elle de défense contre l’adversaire rusé et puissant du chrétien?

Lecture : Psaume 91. Devons-nous nous confier en nous-mêmes pour repousser l’ennemi? Pourquoi? D’où vient la foi? D’où vient la force pour tout affronter?

Lecture : Jacques 1.6,7; 2.26 et 5.15. Quels sont des exemples de traits enflammés que Satan a déjà lancés contre vous? Méditez Jacques 1.6,7; 2.26 et 5.15. Quelles sont quelques caractéristiques qui devraient se voir clairement si nous avons le bouclier de la foi? Comment démontrez-vous ces caractéristiques aujourd’hui?

Lecture : Psaume 18.31; Proverbes 30.5. Pour qui Dieu est-il un bouclier? Réfugiez-vous en lui dès ce moment en lui confiant tout ce qui vous pèse.

Lecture : 1 Jean 5.3-5. Qu’est-ce qui triomphe du monde? Puisqu’il en est ainsi, qu’est-ce qu’il ne faut pas abandonner?

Lecture : Job 1 et 2. Lisez attentivement ces deux chapitres en notant : (1) Les traits enflammés du Malin contre Job, (2) la manière dont Job a repoussé le Malin par la foi.