Cette méditation sur 2 Samuel 5.2 a pour sujet la fidélité de Dieu à ses promesses de nous conduire comme un berger, ce qui nous donne la patience et la persévérance.

Source: Aujourd'hui devant Dieu. 2 pages.

2 Samuel 5 - Jusques à quand?

20jour du 7mois

« Autrefois déjà, lorsque Saül était notre roi, c’était toi qui conduisais et qui ramenais Israël. L’Éternel t’a dit : Tu feras paître mon peuple Israël, et tu seras le conducteur d’Israël. »

2 Samuel 5.2
Lecture : 2 Samuel 5.1-7

Les promesses de Dieu se réalisent toujours. Notre attente sera un jour terminée; elle nous semble longue, pénible, mais si elle est patiente et persévérante, elle recevra « sa récompense ». Les promesses de Dieu ne sont jamais vaines. Tous les détails, même ceux qui nous paraissent insignifiants — et que l’Écriture nous fait connaître — sont la preuve que, lorsque Dieu entreprend une œuvre, il l’achève. La patience et la persévérance véritables sont celles de Dieu. Aussi pouvons-nous patienter et persévérer dans la foi.

Mais Dieu prescrit aussi nos responsabilités. Sa promesse ne nous dégage pas, au contraire, elle nous engage à un service. La vraie autorité s’exerce en vue de celui-ci. Tel est le plan de Dieu.

Tel a été le ministère de celui qui, « selon la chair a été le fils de David, mais selon l’Esprit le Fils de Dieu » (voir Rm 1.3-4). En lui, toutes les promesses de Dieu ont été Oui et Amen. En lui, Dieu a aussi suscité le véritable Berger. L’autorité qu’il a reçue, il l’a employée pour servir son troupeau. Le vrai Berger a donné sa vie pour ses brebis.

Nous pouvons dire avec l’apôtre Pierre : « Vous étiez comme des brebis errantes, mais maintenant vous êtes retournés vers le Pasteur et le Gardien de vos âmes », Jésus-Christ (1 Pi 2.25). Hosanna, celui qui vient au nom du Seigneur!

Prière

De moi, Seigneur, daigne enfin t’approcher!
Toi qui promets à qui veut te chercher
Un prompt secours, ô Dieu, sois mon rocher
Et ma défense.
Au monde entier, je dirai ta puissance,
Ton grand amour qui fut ma délivrance,
Et qui jamais n’a trompé l’espérance
Des affligés.