Cette prédication sur Hébreux 11.30 a pour sujet la foi, comme celle de Josué et d'Israël, qui est puissante pour se manifester, obtenir des victoires et renverser des forteresses.

Source: Le temple de la renommée des croyants - Prédications sur Hébreux 11. 6 pages.

Hébreux 11 - La foi est puissante pour renverser des forteresses (Josué)

« C’est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent, après qu’on en eut fait le tour pendant sept jours. »

Hébreux 11.30
Autre texte : Josué 5.13 à 6.21

La Bible utilise plusieurs images pour décrire l’Église. Nous sommes la famille de Dieu, les brebis du Seigneur, le temple du Saint-Esprit. Il y a une image qui nous plaît peut-être un peu moins. C’est l’image du soldat et de l’armée. L’Église est l’armée de Dieu, nous sommes les soldats du Christ. Paul a dit à Timothée : « Souffre avec moi comme un bon soldat de Jésus-Christ » (2 Tm 2.3). « Combats le bon combat de la foi » (1 Tm 6.12). Que cela nous plaise ou non, nous sommes au milieu d’une guerre spirituelle d’envergure planétaire. Nous sommes appelés à combattre le bon combat de la foi, mais comment? Les ennemis de l’Église sont tellement forts et nous sommes si faibles. La foi est une arme essentielle. Par la foi, nous sommes déjà plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Par la foi, nous sommes promis à la victoire complète à venir.

Nous continuons notre visite du temple de la renommée des croyants. L’histoire de ces croyants nous vient d’abord du livre de la Genèse (d’Abel jusqu’à Joseph, des versets 4 à 22), puis du livre de l’Exode (des parents de Moïse jusqu’à la délivrance d’Israël de l’Égypte, des versets 23 à 29). Nous passons maintenant au livre de Josué, le livre de la conquête. Pour les patriarches de la Genèse (Abraham, Isaac, Jacob, Joseph), leur défi consistait à croire aux promesses de Dieu pour l’avenir, alors qu’ils étaient encore loin de posséder la terre promise. Leur foi se traduisait en espérance pour l’avenir. Pour Moïse et Israël en Égypte, ils avaient toujours le même défi d’espérer l’accomplissement de la promesse pour l’avenir, mais à cela s’ajoutait le nouveau défi de faire confiance en Dieu au milieu de l’oppression venant d’un peuple ennemi, les Égyptiens. Leur foi se traduisait en courage pour le présent. Pour Josué, son nouveau défi est la conquête du pays promis. Oui, l’espérance pour l’avenir; oui, le courage pour le présent, mais plus encore : l’action sur le terrain, le déploiement du combat de la foi en vue de prendre possession du pays promis aux patriarches et à Israël. Hébreux 11 nous présente des croyants qui ont mené le bon combat de la foi et qui ont remporté la victoire. Le peuple d’Israël sous la conduite de Josué en est la meilleure illustration. L’exemple au verset 30 nous donne un grand encouragement : « C’est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent, après qu’on en eut fait le tour pendant sept jours » (Hé 11.30). Cette histoire nous enseigne que la foi est puissante pour renverser des forteresses.

1. La victoire de la foi🔗

Quarante ans se sont écoulés depuis la traversée de la mer Rouge, mentionnée au verset 29. Pendant 40 ans, le peuple d’Israël avait tourné en rond dans le désert à cause de leur incrédulité. Ils n’étaient pas entrés dans la terre promise parce qu’ils n’avaient pas cru dans la promesse de Dieu, excepté Josué et Caleb. Leur incrédulité, bien sûr, n’est pas rapportée en Hébreux 11. Elle nous est rapportée en Hébreux 3 et 4, comme exemple à ne pas suivre, pour nous avertir solennellement de ne pas nous endurcir dans l’incrédulité. Toutefois, le peuple d’Israël n’a pas toujours été incrédule. Après que cette génération soit morte dans le désert, la nouvelle génération était prête à faire la conquête de la terre promise. Ils ont combattu par la foi.

Mais pourquoi Dieu a-t-il commandé à son peuple d’envahir le pays de Canaan et de détruire tous les Cananéens? Plusieurs disent que le Dieu de l’Ancien Testament est un Dieu cruel, barbare, sanguinaire, contrairement au Dieu du Nouveau Testament qui est un Dieu d’amour et de compassion. En fait, le Dieu de Josué est exactement le même que le Dieu de Jésus-Christ. Il faut comprendre le contexte.

En Genèse 15, Dieu avait promis à Abraham qu’un jour ses descendants feraient la conquête du pays promis, mais ce serait seulement 400 ans plus tard; « car c’est alors seulement que la déchéance morale des Amoréens aura atteint son comble » (Gn 15.16). Autrement dit, Dieu a été très patient avec les Cananéens, mais une fois leurs péchés arrivés à leur comble, Dieu s’est servi des descendants d’Abraham pour punir les Cananéens comme ils le méritaient. Ces Cananéens pratiquaient la divination, la sorcellerie, les sacrifices d’enfants par le feu, et les pires perversions sexuelles. Le Dieu de l’Ancien Testament n’est pas un Dieu barbare et sanguinaire, c’est un Dieu juste et saint. C’est aussi un Dieu de grâce qui a donné à Israël ce pays en héritage, non parce qu’ils le méritaient, mais comme un cadeau gratuit.

Hébreux 11.30 résume l’histoire de la conquête de Jéricho en une phrase : « C’est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent, après qu’on en eut fait le tour pendant sept jours. » Le détail de l’histoire se trouve en Josué 5 et 6, mais curieusement, Hébreux 11.30 inverse l’ordre des événements. L’auteur nous dit d’abord que les murailles de Jéricho sont tombées et ensuite il résume ce que les Israélites ont fait avant que les murs tombent. Autrement dit, le Saint-Esprit attire notre attention sur les murailles qui sont tombées. L’auteur ne dit même pas qui sont les personnes qui ont cru, contrairement aux autres exemples en Hébreux 11 : « C’est par la foi que Noé… » « C’est par la foi qu’Abraham… » « C’est par la foi que Moïse… » On s’attendrait maintenant à lire : « C’est par la foi que Josué et les Israélites ont fait la conquête. » L’auteur dit plutôt : « C’est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent. » Toute l’attention est sur les fameuses murailles qui sont tombées. Pourquoi? Pour souligner la victoire de la foi. Pour attribuer toute la gloire à Dieu et pour encourager le peuple de Dieu.

Avant qu’elles tombent, ces murailles, elles étaient hautes, solides, pratiquement imprenables. C’était une forteresse, une citadelle qui protégeait toute la ville au complet. Elle garantissait aux habitants de Jéricho une position stratégique leur permettant de défendre le pays de Canaan contre les agresseurs étrangers. C’était la fierté du pays. Comment Israël, sans expérience de la guerre, pouvait-il s’emparer du pays? Comment faire la conquête de Jéricho? La réponse est simple et profonde : « C’est par la foi que les murailles tombèrent. » La victoire de la foi, puissante pour renverser des forteresses.

Mais la foi en quoi ou en qui? La foi dans la promesse de Dieu! Oui, Dieu avait lui-même annoncé cette victoire. Quand Josué est allé tout près de Jéricho, tout à coup, il a aperçu un soldat avec une épée à la main. Ami ou ennemi? Réponse : « Non, mais je suis le chef de l’armée de l’Éternel, j’arrive maintenant » (Jos 5.14). Dieu s’est présenté en personne pour prendre le commandement des troupes et conduire son peuple vers la victoire. Il a dit à Josué : « Vois, je livre entre tes mains Jéricho et son roi, les vaillants guerriers » (Jos 6.2). Quelle promesse! Quel encouragement! Josué n’était pas seul, Israël n’était pas seul. Le Chef de l’armée de l’Éternel était là, avec eux, devant eux. Cette guerre n’était pas la guerre de Josué ou d’Israël. C’était la guerre de l’Éternel. Dieu s’est servi de Josué et d’Israël, certainement, mais c’est Dieu lui-même qui a combattu pour eux. Josué et le peuple d’Israël devaient seulement croire dans la promesse de Dieu. Et ils ont cru! « C’est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent » (Hé 11.30). « Le rempart s’écroula sur lui-même, et le peuple monta vers la ville, chacun devant soi. Ils s’emparèrent de la ville » (Jos 6.20).

Oui, les murailles sont tombées, non par la puissance des trompettes, ni par la force d’Israël, ni par l’intelligence de Josué, mais par la puissance de Dieu, parce que Dieu est fidèle à ses promesses. Oui, Dieu était présent au milieu d’eux. L’arche de l’alliance était là pour le montrer symboliquement. Tout ce que les Cananéens voyaient au milieu du camp des Israélites, c’était une boîte en or. Josué, les sacrificateurs et tout Israël voyaient, eux, l’invisible. Ils savaient que le Dieu invisible était là, à l’œuvre parmi eux. Dieu est celui qui a fait tomber les murailles de Jéricho!

Cette victoire de la foi nous enseigne une belle leçon. Jésus-Christ est venu, il a combattu pour nous, par sa vie, par son obéissance, par ses souffrances, par sa mort expiatoire, par sa résurrection des morts et par son ascension. Il règne aujourd’hui sur le monde entier. Il a remporté la victoire sur le péché, sur le diable et sur la mort. Jésus a dit à ses disciples : « Vous aurez des tribulations [des épreuves] dans le monde; mais prenez courage, moi, j’ai vaincu le monde » (Jn 16.33). Jésus envoie son Église en territoire ennemi, dans le monde, mais ce territoire ennemi est déjà conquis par notre grand Roi. Le Seigneur Jésus détient tout pouvoir et toute autorité dans le ciel et sur la terre. Nous allons dans ce monde par la foi, avec la certitude que Jésus-Christ a déjà remporté la victoire, même si nous ne la voyons pas, et avec l’espérance certaine de la victoire finale quand Jésus reviendra dans sa gloire. La victoire de la foi!

C’est vrai, nous sommes en territoire ennemi. Notre foi est opposée au monde. Notre vision chrétienne du monde est opposée à la façon de penser des gens autour de nous. Beaucoup de gens se fichent pas mal de notre foi, de la Bible, de Dieu, de Jésus-Christ, du ciel et de l’enfer. Ils n’ont pas de problème avec la convoitise, l’amour de l’argent, l’égoïsme, les péchés sexuels, l’avortement, l’euthanasie. Ça les dérange que nous soyons différents. Nous sommes dans un monde qui s’en va à la destruction. Le jugement de Dieu viendra sur ce monde, comme il est venu sur Jéricho. Nous ne luttons pas contre la chair et le sang, c’est-à-dire contre les hommes. Nous luttons contre les puissances, contre les esprits mauvais, contre le diable lui-même. C’est vraiment une guerre spirituelle.

Paul a dit :

« Si nous marchons dans la chair, nous ne combattons pas selon la chair. Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles, mais elles sont puissantes devant Dieu, pour renverser des forteresses. Nous renversons les raisonnements et toute hauteur qui s’élèvent contre la connaissance de Dieu, et nous amenons toute pensée captive à l’obéissance au Christ » (2 Co 10.3-5).

L’annonce de l’Évangile est au cœur de cette bataille spirituelle. Nous pouvons prêcher l’Évangile avec l’assurance que la Parole de Dieu et l’Esprit de Dieu sont puissants pour renverser les raisonnements les plus tordus et pour conquérir les cœurs les plus endurcis. Nous pouvons vivre la vie chrétienne en étant certains que même nos péchés les plus tenaces, les plus difficiles à nous débarrasser, peuvent être combattus avec foi. Soyons de bons soldats de Jésus-Christ. Combats le bon combat de la foi. La victoire de la foi est certaine.

2. La manifestation de la foi🔗

Josué et tout Israël n’avaient pas une foi paresseuse, nonchalante ou distraite; ils avaient une foi active, obéissante, déterminée. Ils étaient tous unis ensemble dans une même foi qui s’est manifestée dans une action commune. « C’est par la foi que les murailles de Jéricho tombèrent, après qu’on en eut fait le tour pendant sept jours » (Hé 11.30). Faire le tour de la ville tous ensemble pendant sept jours demandait beaucoup de foi et nécessitait d’être bien coordonnés tous ensemble.

Quand le Chef de l’armée de l’Éternel est apparu à Josué pour lui annoncer la victoire sur Jéricho, il a tout de suite mis Josué à l’épreuve. Il lui a donné des ordres précis pour préparer la conquête de Jéricho. « Vous ferez le tour de la ville une fois par jour pendant six jours. Sept sacrificateurs porteront sept cornes de béliers (sept trompettes), ils sonneront de la trompette pendant qu’ils marcheront. Le peuple marchera en silence autour de la ville. Vous transporterez avec vous l’arche de l’alliance. Le septième jour, vous ferez le tour de la ville sept fois. Au son de la trompette, vous pousserez de grands cris de victoire, car l’Éternel vous a donné la ville. » Quelle étrange stratégie militaire! D’habitude, on fait la guerre par la force. À Jéricho, pas de béliers pour enfoncer la porte, pas d’échelles pour gravir la muraille, pas de catapultes pour lancer des projectiles. Seulement une marche autour de la ville, avec une boîte en or et sept trompettes.

Pendant les six premiers jours, les Cananéens ont dû trouver les Israélites pas mal stupides. « Ce n’est sûrement pas comme ça qu’ils vont nous battre! » On se demande même s’il n’y avait pas, parmi les Israélites, quelques sceptiques qui se disaient peut-être : « Ça fait cinq jours, ça fait six jours, il ne se passe toujours rien. Les pierres de la muraille sont encore solides. Nous devrions peut-être changer de méthode. » Mais quand nous lisons Josué 6, il n’y avait aucune trace d’esprit sceptique en Israël. Au contraire, Josué, les sacrificateurs et tout Israël ont fait exactement comme Dieu avait demandé, sans murmurer, sans remettre en question les méthodes divines. Comme il est beau de voir Israël, de temps à autre, uni dans la foi et l’obéissance, sans murmurer! Ils ont obéi parce qu’ils ont cru. L’obéissance de la foi. La vraie foi se manifeste toujours par l’obéissance à la Parole de Dieu.

Dieu demande à son Église et à ses soldats de faire des choses qui peuvent sembler stupides aux yeux du monde, des choses qui ont l’air faibles et inefficaces. La proclamation de l’Évangile est un exemple. Comment la Parole de l’Évangile peut-elle renverser les forteresses des cœurs les plus endurcis et donner la foi? Les prières de l’Église sont un autre exemple. Y a-t-il quelque chose qui a l’air plus faible et insignifiant que la prière? Quand on veut régler un problème, on cherche toutes sortes de solutions par ses propres forces et on oublie souvent la puissance de la prière. La patience dans l’épreuve est un autre exemple. Au lieu d’espérer patiemment le temps de Dieu, on s’impatiente, on exprime son mécontentement, on veut prendre les choses en main. La conduite sainte du peuple de Dieu est un autre exemple. Souvent, on pense que c’est plus avantageux de mentir, de tricher à un examen, de tricher sur sa déclaration de revenus, de flâner le dimanche, de travailler le dimanche, de répliquer durement à ceux qui nous font du mal, plutôt que de simplement obéir à la Parole de Dieu, en faisant confiance que Dieu est puissant pour prendre soin de ses enfants. D’après la sagesse humaine, il est plus plaisant et plus avantageux de vivre dans le péché que de combattre nos péchés dans nos vies. Ça prend la foi, l’obéissance de la foi, pour renverser les forteresses du péché dans nos propres vies.

Josué, les sacrificateurs et tout Israël ont marché autour de Jéricho pendant sept jours, avec l’arche de l’alliance, en sonnant les sept trompettes. Pourquoi le Chef de l’armée de l’Éternel a-t-il demandé d’utiliser cette méthode? Dieu aurait pu utiliser d’autres moyens. C’était pour montrer que la force de Dieu se manifeste dans la faiblesse. Dieu voulait leur faire comprendre une chose : « Personne ne peut combattre sans ma puissance. La seule façon de vaincre, c’est par ma puissance. Je suis le Tout-Puissant, vous êtes faibles. Comptez sur moi, espérez en moi. » Dieu se plaît à utiliser des choses faibles pour confondre les forts, des choses folles pour confondre les sages.

Et pourquoi sept jours? C’était pour rappeler la création du monde en six jours et le repos de Dieu le septième. Pendant six jours, les Israélites n’ont pas travaillé, ils ont mis leur confiance en Dieu qui, lui, travaillait pour eux et préparait la victoire. Le septième jour, Dieu leur a donné la victoire comme un cadeau gratuit. Dieu les faisait entrer dans le repos de la terre promise, pour qu’ils se reposent en Dieu et qu’ils l’adorent de tout cœur.

Sommes-nous prêts à reconnaître que nous avons besoin de la force du Seigneur? Probablement que oui, mais sommes-nous prêts à reconnaître que, sans lui, nous ne pouvons absolument rien faire? Jésus a dit : « Celui qui demeure en moi, comme moi en lui, porte beaucoup de fruit, car sans moi, vous ne pouvez rien faire » (Jn 15.5). Sans Jésus-Christ, nous sommes incapables de porter du fruit, ni foi ni obéissance de la foi.

Nous avons tendance à obscurcir la gloire de Dieu et à nous attribuer une partie de la gloire. Dieu s’arrange toujours pour nous garder humbles et dépendants de lui, pour que lui seul reçoive la gloire. Trois fois, l’apôtre Paul a demandé au Seigneur de lui enlever son épreuve. Dieu a répondu : « Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse. » Et Paul a compris : « Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi » (2 Co 12.9). Oui, Dieu manifeste sa puissance à travers des gens faibles et des moyens faibles.

Avant la conquête, Dieu a dit à Josué : « Sois fort et courageux, ne craint pas, car l’Éternel ton Dieu est avec toi partout où tu iras » (Jos 1.6,9). Aujourd’hui, Jésus dit à son Église : « Allez, faites de toutes les nations des disciples. » Voilà le territoire que l’Église doit conquérir, beaucoup plus grand que Jéricho et le pays de Canaan, avec la promesse suivante : « Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde » (Mt 28.20).

Le Seigneur nous appelle à la foi et à l’obéissance. La foi met son espérance en Dieu, avec la certitude que Dieu accomplira sa promesse. « Souffre avec moi comme un bon soldat de Jésus-Christ » (2 Tm 2.3). « Combats le bon combat de la foi » (1 Tm 6.12). Et au dernier jour, à la septième trompette, nous recevrons la victoire finale. « Je suis le premier et le dernier, celui qui était mort et qui est revenu à la vie. […] Sois fidèle jusqu’à la mort, et je te donnerai la couronne de vie » (Ap 2.8,10). « Le vainqueur, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j’ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône » (Ap 3.21). Amen.