Cet article a pour sujet le wokisme qui s'empare des universités et d'autres institutions pour imposer le marxisme social, la théorie critique de la race, l'idéologie progressiste de la "diversité, équité et inclusion", et l'immoralité du paganisme.

7 pages. Traduit par Paulin Bédard

Le wokisme - La nouvelle morale païenne

De nombreux sociologues parlent aujourd’hui de l’arrivée de l’ère post-chrétienne en Amérique et en Occident en général. En 1976, le magazine Newsweek parlait déjà de « l’année des évangéliques ». Cependant, la fréquentation des Églises est en baisse aux États-Unis. Les jeunes abandonnent tout semblant de foi de leur enfance dès qu’ils mettent le pied dans une université. C’est une grande préoccupation pour nos Églises. Le Wall Street Journal a récemment publié une analyse du sentiment national au cours des 25 dernières années :

  • La religion : 62 % en 1998 contre 39 % aujourd’hui.
  • Avoir des enfants : 59 % en 1998 contre 30 % aujourd’hui.
  • L’engagement dans la communauté : 47 % en 1998 contre 27 % aujourd’hui.
  • Le patriotisme : 70 % en 1998 contre 38 % aujourd’hui1.
  • Le nombre de mariages : 40 % de moins en 2000 qu’en 1970.

Star Parker, un intellectuel chrétien noir, donne des chiffres similaires et y voit le signe d’une « nation en train de se suicider2 ».

Alors que l’incroyance du 20e siècle était athée, la religiosité est aujourd’hui omniprésente, l’astrologie et l’occultisme fleurissant dans la culture dominante3. Un tel abandon de la foi biblique personnelle a des causes évidentes. De nombreuses universités, par exemple, sont devenues des centres de formation marxiste ou de théorie critique de la race, toutes deux fondées sur un post-modernisme sans Dieu, généralement appelé wokisme. La mort de George Floyd a touché de grandes institutions — des agences fédérales aux entreprises Fortune 100. Encouragées par le ministère de la Justice et la Commission pour l’égalité des chances en matière d’emploi, ces organisations se sont empressées de se ranger sous le nouveau drapeau du wokisme. Elles ont donné plusieurs millions à des groupes comme Black Lives Matter [la vie des Noirs compte] et ont promu une version révisée de la moralité prêchée par la DEI — « diversité, équité et inclusion ». Les dirigeants du wokisme insistent sur le fait que les États-Unis sont fondamentalement racistes et exigent une « discrimination antiraciste » (un terme technique utilisé pour discriminer les personnes identifiées comme racistes) afin de produire une « équité raciale ». Cette idéologie semi-religieuse abhorre « le racisme systémique », « la suprématie blanche », « le privilège blanc » et « l’antiracisme ». Le racisme dans les États-Unis d’aujourd’hui est, dans une très large mesure, un problème fabriqué, conçu par des gauchistes woke afin de renverser le mode de vie américain. La plupart des grandes villes, de nombreuses grandes entreprises, le système éducatif et l’appareil politique du gouvernement se prosternent tous ensemble devant le dieu du wokisme.

Peu d’étudiants chrétiens semblent formés ou qualifiés pour savoir comment répondre à une opposition idéologique aussi puissante. En fait, comme nous le verrons plus loin, les étudiants ont été délibérément formés selon un point de vue wokiste. L’université moyenne compte aujourd’hui plus de fonctionnaires de la DEI que de professeurs d’histoire. Les bureaux de la DEI ont élargi la signification de termes tels que « harcèlement » et « discrimination », non pas pour promouvoir un environnement universitaire accueillant, mais pour imposer une idéologie progressiste souvent proposée comme une contre-révolution marxienne, déterminée par un progressisme motivé par l’idéologie.

Ceux qui ont perdu la foi en Dieu ont besoin d’une nouvelle structure morale, que le wokisme leur fournit en jouant sur la conscience sensible des citoyens américains, en particulier des jeunes Américains. On leur dit que la suprématie blanche est exactement comme la description marxiste des propriétaires oppresseurs et des travailleurs opprimés. Aujourd’hui, les oppresseurs sont les Blancs et les opprimées sont les minorités — les Noirs, les femmes, les étrangers en situation irrégulière, les homosexuels et les transsexuels. Contrairement à la morale biblique, ce système n’inclut pas le pardon. Les Blancs restent coupables pour toujours et les Noirs sont condamnés à être des victimes pour toujours. En outre, il n’y a pas de notion de péché originel, pas de justice divine et pas d’œuvre expiatoire du Christ pour nous laver. Hélas, il s’agit d’une fausse morale païenne dans laquelle Dieu est absent. Cette pensée a pénétré dans de nombreuses Églises sous le couvert du moralisme — voir par exemple Woke Jesus [Jésus woke] de Lucas Miles4 et Social Justice Pharisees [Les pharisiens de la justice sociale] d’A.D. Robles5. J’espère bientôt traiter cette question de manière plus approfondie6, mais je me concentre ici sur l’attaque contre les étudiants.

Le professeur Stanley Ridgley, dans son livre Brutal Minds : Brainwashing in Our Universities [Les esprits brutaux : Le lavage de cerveau dans nos universités]7, montre que les administrateurs d’université en particulier ont délibérément l’intention de saper la capacité des étudiants à se lancer dans une réflexion académique classique et de leur faire ressentir une profonde culpabilité « religieuse ». Ridgley cherche à montrer…

« … comment l’une des grandes institutions de l’histoire — l’université américaine — est infiltrée par une “armée de médiocres” dont le but est de détruire l’université en tant qu’institution de création de connaissances et de la remplacer par un organe autoritaire d’idéologie et de propagande8 ».

Le cri de ralliement lancé par Jesse Jackson en 1987 à l’université de Stanford, « Hey, hey, ho, ho, Western civ has got to go » [Hé, hé, ho, ho, la civilisation occidentale doit disparaître], nous vient à l’esprit, puisque les cours de civilisation occidentale ont véritablement disparu.

La nouvelle idéologie, désormais qualifiée de wokisme, se résume à un programme politique vigoureux et progressiste, qui s’est répandu ces dernières années dans la culture — dans les administrations, dans les entreprises et dans les établissements d’enseignement — sous l’impulsion des « agents de la diversité » de la DEI, « diversité, équité et inclusion ». Au lendemain de la mort de George Floyd, les entreprises se sont empressées d’embaucher des « responsables de la diversité » pour qu’ils appliquent la DEI, laquelle a rapidement imposé les nouveaux principes moraux exigés par l’État progressiste. En 2018, moins de la moitié des entreprises du S&P 5009 employaient un « responsable de la diversité ». En 2022, sous la pression des réglementations étatiques, trois entreprises sur quatre avaient créé un tel poste10, ce qui est également le cas dans les administrations universitaires.

Pour illustrer la portée de cette démarche, prenons l’exemple de l’incident suivant. En février 2023, Dennis Prager, un intellectuel juif qui prône des valeurs conservatrices, est invité, avec le leader chrétien Charlie Kirk (fondateur de Turning Point USA), à prendre la parole à l’université d’État de l’Arizona (ASU) lors d’une conférence organisée par le Barrett College, l’université d’honneur de l’ASU. La conférence s’intitulait innocemment « Santé, richesse et bonheur ». Environ une semaine avant l’événement prévu, 39 des 47 membres du corps enseignant du Barrett College (il ne s’agissait donc pas d’administrateurs) ont signé une lettre adressée au doyen de l’ASU pour condamner l’événement au motif que Charlie Kirk et Dennis Prager étaient « des provocateurs nationalistes blancs, [] des marchands de haine qui ont publiquement attaqué les femmes, les personnes de couleur, la communauté LGBTQ [et] les institutions de notre démocratie11 ». Ils ne respectaient pas la DEI.

La DEI cherche à éliminer « le mal » du racisme blanc systémique afin de produire une future culture utopique. Dans les universités, le programme comprend à la fois l’abolition du canon occidental (y compris les Écritures chrétiennes ainsi que les grands livres du patrimoine intellectuel occidental), rejetant ces œuvres comme la source du racisme blanc systémique. Ils proposent un nouveau canon, celui de « l’éducation à la justice sociale12 », également connu sous le nom de « pédagogie antiraciste ». Milan Kundera, le romancier franco-tchèque qui a écrit sur le totalitarisme et qui est mort récemment à Paris, a déclaré dans le Book of Laughter and Forgetting [Le livre du rire et de l’oubli] que la première étape du totalitarisme « est d’effacer la mémoire de la société, de détruire ses livres, sa culture, son histoire13 ». C’est ce que nos éducateurs contemporains s’efforcent d’accomplir : « de génération en génération, des Américains sans histoire, sans culture et sans mémoire14 ».

La nouvelle morale n’est pas seulement un courant fort dans la plupart des classes universitaires; elle est renforcée par le « personnel des services auxiliaires », qui contrôle les événements « extracurriculaires », les « affaires étudiantes » ou la formation de « vie résidentielle » que les étudiants sont plus ou moins obligés de suivre pour prouver qu’ils ne sont pas racistes. Dans ces cours, on leur enseigne la justice sociale et la prétendue morale de la théorie critique de la race. La manipulation psychologique est utilisée pour briser la résistance de tout étudiant qui refuse la notion de suprématie blanche15. Le livre de Robin DiAngelo, White Fragility : Why It’s So Hard for White People to Talk about Racism [Fragilité blanche : ce racisme que les Blancs ne voient pas] est un texte largement utilisé. Ce livre est une tentative implacable de faire naître des sentiments de culpabilité dans la conscience des Blancs16. Le lavage de cerveau implique « une attaque racialiste tous azimuts contre les étudiants17 », contre les opinions de leurs parents et contre les valeurs conservatrices traditionnelles en général. Grâce à « l’intersectionnalité », les minorités LGBTQ sont célébrées parce qu’elles sont opprimées, à l’instar d’une multitude d’autres groupes.

Rien n’est laissé au hasard. Des structures d’appui telles que le Social Justice Training Institute [Institut de formation à la justice sociale] et l’American College Personnel Association [Association américaine du personnel des collèges] forment les leaders des caucus raciaux. Le Dr Craig Elliot, expert en « apprentissage et changement transformatif », est une figure clé de cette dernière organisation. Il propose un guide pour la conduite des réunions raciales. Il est expert dans l’art d’amener les étudiants à changer d’avis sur le racisme. Elliot a obtenu son doctorat au California Institut of Integral Studies [Institut californien d’études intégrales], fondé en 1968 au cœur de la révolution spirituelle des années 60. L’Institut d’études intégrales a été créé par des penseurs du nouvel âge et a été établi selon des principes hindous. La morale woke actuelle est basée sur une spiritualité issue de la religion orientale, dans laquelle il n’y a pas de Dieu Créateur. Deux de ses diplômés ont fondé l’Institut Esalen à Big Sur, sur la côte californienne, qui prétend explorer « de nouvelles idées sur la créativité et le cerveau, le travail corporel, la spiritualité, le leadership, la Gestalt, la médecine des plantes, la diplomatie citoyenne, le super humanisme, la survie à la mort corporelle, l’intelligence extraterrestre, et bien d’autres choses encore18 ».

Les recherches de Ridgley analysent généralement l’influence du personnel administratif dans les universités, bien que l’université d’État de l’Arizona soit manifestement une exception. Christopher Rufo, chargé de recherche au Manhattan Institute, signale une autre exception. Il révèle qu’une université entière peut être envahie par l’idéologie de la DEI. L’université d’État de la Floride a adopté toute une série de programmes de « diversité, d’équité et d’inclusion » qui s’opposent fortement à la culture des chrétiens et à leur « privilège chrétien19 ». Selon la théorie critique de la race, le système moral auquel les chrétiens adhèrent fait automatiquement d’eux une classe oppressive. Ils ne devraient jamais être autorisés à imposer leur morale oppressive aux minorités sexuelles opprimées. La morale chrétienne fonctionne comme une « hégémonie » qui normalise injustement les valeurs chrétiennes.

Rufo affirme que « sous la surface, l’idéologie woke s’est implantée partout à l’université20 ». Aujourd’hui, de nombreuses universités ont consciemment ou inconsciemment abandonné l’engagement en faveur de l’investigation, de la recherche et du débat, tous orientés vers la poursuite du meilleur bien. La mission est devenue la recherche de la diversité, de l’équité et de l’inclusion, ainsi que les intérêts immédiats de la politique partisane.

Rufo cite en exemple un programme représentatif intitulé « Social Justice Ally Training » [La formation des alliés à la justice sociale], organisé par Sierra Turner, directrice de l’équité et de l’inclusion des étudiants, et le Center for Leadership & Social Change [Le centre pour le leadership et le changement social]. Le programme présente une récapitulation des principaux éléments de la rhétorique de la théorie critique de la race :

« Les sociétés occidentales blanches et patriarcales ont créé un “cycle de socialisation” qui a engendré “le racisme, le classisme, l’oppression religieuse, le sexisme, l’hétérosexisme, l’oppression de genre, le capacitisme, l’âgisme et l’adultisme, et la xénophobie” […] Les “Blancs” sont le groupe racial responsable de la “subordination systématique des membres des groupes raciaux ciblés qui ont relativement peu de pouvoir”. Les Blancs sont également coupables de “racisme culturel”, c’est-à-dire de la création et du maintien de structures sociales qui “attribuent ouvertement et secrètement la normalité aux Blancs et à la blanchité”. Par définition, aucun autre groupe ne peut être raciste — le “racisme institutionnel” ne peut que “créer des avantages et des bénéfices pour les Blancs”.21 »

Rufo montre que l’idéologie DEI, que la culture progressiste impose partout dans les entreprises, dans les structures politiques, dans l’armée et même dans les Églises, peut également s’emparer d’une université entière. Il note qu’à l’université d’État de la Floride, la DEI est devenue omniprésente dans presque tous les départements universitaires :

« L’école de commerce s’est engagée à créer un prix pour les “héros de la DEI”. Le département de lettres classiques a publié une déclaration de soutien à Black Lives Matter [la vie des Noirs compte]. Le département d’histoire de l’art a adopté une “reconnaissance des terres” qui présente les Européens blancs comme des colons illégaux. Et le département de sociologie a créé un cours entier, “théorie critique de la race”, qui présente le racialisme de gauche comme parole d’Évangile et assigne des lectures qui s’adonnent à l’hostilité raciale manifeste, comme “La blanchité comme narcissisme pathologique”, sans qu’aucune opinion concurrente ne puisse être trouvée22. »

Au niveau administratif de l’université d’État de la Floride, la bureaucratie DEI exclut toute personne qui ne s’engage pas dans l’idéologie de la justice sociale. Certains départements exigent des étudiants diplômés et des professeurs potentiels qu’ils soumettent des « déclarations de diversité » dans le cadre du processus de candidature, indépendamment du mérite académique. Certaines bourses ne sont pas accessibles aux étudiants blancs. La diversité et la politique radicale sont les principes les plus élevés utilisés pour gouverner l’institution. L’université de la Floride, par exemple, a offert plus de 1000 possibilités distinctes de DEI au cours d’une session de formation. Black Lives Matter [la vie des Noirs compte]23, un mouvement d’inspiration marxiste, a été présenté comme un mouvement exemplaire24.

Cette transformation idéologique — ce que Ridgley appelle le « lavage de cerveau » des étudiants — se déroule sous notre nez depuis des années et nous n’y avons pas prêté attention. Après une analyse minutieuse des programmes de justice sociale dans les collèges et les universités, Stanley Ridgley arrive à une conclusion surprenante et englobante : « un projet marxiste guide les écoles d’éducation des universités américaines25 ».

Une telle analyse explique en grande partie les résultats radicaux des récentes élections fédérales. Elle nous aide également à comprendre pourquoi les États-Unis ne sont plus le centre de la pensée du marché libre ou du comportement moral traditionnel. Pour beaucoup, le Dieu de la Bible est mort, comme le disait la page de titre de Time Magazine en 1966 : « Dieu est mort ». Les conclusions de Ridgley interpellent également l’Église dans sa tentative d’interagir par le moyen de l’apologétique culturelle. Comment aborder avec l’Évangile une culture qui a perdu sa vision de la morale classique? Nous nous trouvons dans une situation semblable à celle du christianisme primitif, entouré par la Rome païenne, où les citoyens ne connaissaient pas le Dieu de la Bible. Romains 1.25 était le premier argumentaire apologétique chrétien. Il doit sans doute être encore le nôtre. Il décrit deux conceptions de l’existence. Soit nous adorons la création comme étant divine, soit nous adorons Dieu comme étant le Créateur divin de toute chose.

« Ils ont remplacé la vérité de Dieu par le mensonge et ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen! » (Rm 1.25).

« L’adoration » et le « service » de Dieu ne sont vraiment possibles que lorsque nous recevons l’Évangile concernant le Fils de Dieu. Le message de la foi chrétienne, contrairement au wokisme, n’est pas un moralisme, mais une grâce imméritée. Le seul être humain véritablement moral a été crucifié pour effacer nos péchés par sa mort expiatoire sur la croix. Dans l’utopie wokiste, il n’y a pas d’amour. En Jésus, nous rencontrons l’amour de Dieu pour les pécheurs.

Notes

1. Jonathan Rauch, Gay Marriage [Le mariage gay], Henry Holt and Company, 2004, p. 91.

2. Star Parker, « A Nation Committing Suicide » [Une nation en train de se suicider], Creators, 29 mars 2023.

3. Rob Doyle, « The new paganism of the digital age » [Le nouveau paganisme de l’ère numérique], UnHerd, août 2023. Rob Doyle est un romancier, nouvelliste et essayiste irlandais. Son livre le plus récent est Autobibliography.

4. Lucas Miles, Woke Jesus : The False Messiah Destroying Christianity [Jésus woke : Le faux messie qui détruit le christianisme], Humanix Books, 2023.

5. A.D. Robles, Social Justice Pharisees : Woke Church Tactics and How to Engage Them [Les pharisiens de la justice sociale : Les tactiques des Églises woke et comment les combattre], MJ Nashville, 2022.

6. Voir mon article L’origine marxiste du wokisme.

7. Stanley Ridgley, Brutal Minds : The Dark World of Left-Wing Brainwashing in Our Universities [Les esprits brutaux : Le monde obscur du lavage de cerveau par la gauche dans nos universités], Humanix Books, 2023.

8. Ridgley, p. x.

9. NDT : Selon Wikipédia, le S&P 500 est un indice boursier basé sur 500 grandes sociétés cotées en bourse aux États-Unis. L’indice est possédé et géré par Standard & Poor’s, l’une des trois principales sociétés de notation financière. Il couvre environ 80 % du marché boursier américain par sa capitalisation.

10. Te-Ping Chen and Lauren Weber, « The Rise and Fall of the Chief Diversity Officer » [L’ascension et le déclin du responsable en chef de la diversité], The Wall Street Journal, 21 juillet 2023.

11. Dennis Prager, « The 34 Professors Who Protested My Speaking at Arizona State University » [Les 34 professeurs qui ont protesté contre mon intervention à l’université d’État de l’Arizona], Front Page Magazine, 24 juillet 2023.

12. Ridgley, p. 23.

13. Cité par Mark Tapson, « The NEA’s Recommended Summer Reading is All About Social Justice » [Les lectures d’été recommandées par l’Association nationale de l’éducation sont toutes axées sur la justice sociale], Front Page Magazine, 14 juillet 2023.

14. Mark Tapson, « The NEA’s Recommended Summer Reading is All About Social Justice » [Les lectures d’été recommandées par l’Association nationale de l’éducation sont toutes axées sur la justice sociale], Front Page Magazine, 14 juillet 2023.

15. Ridgley, p. 105, 109.

16. Robin DiAngelo, White Fragility : Why it’s So Hard for White People to talk about Racism, Beacon Press, 2018. Traduit en français : Fragilité blanche : ce racisme que les Blancs ne voient pas, Arènes, 2020. DiAngelo gagne 728 000 dollars par an en honoraires de conférencier de 14 000 dollars.

17. Ridgley, p. 115.

18. Site web de l’Institut Esalen.

19. Christopher Rufo, « The Highest Principle. Left-wing DEI bureaucracy has captured Florida State University and installed radical politics as the governing value » [Le principe suprême. La bureaucratie de gauche de la DEI s’est emparée de l’université d’État de Floride et a érigé la politique radicale en valeur dominante], City Journal, 2 février 2023.

20. Rufo, art. cit.

21. Rufo, art. cit.

22. Rufo, art. cit.

23. NDT : Pour plus d’information sur Black Lives Matter, voir les articles de Peter Jones intitulés Est-ce vraiment une question de race? et Seule la vie de cinq Noirs compte?

24. Christopher Rufo, « Diversity Programs Miss the Point of a Liberal College Education » [Les programmes de diversité ratent l’objectif d’une formation universitaire libérale], Manhattan Institute, 27 juillet 2023. Tribune libre dans le New York Times, 4 août 2023.

25. Ridgley, p. 146.