Cet article a pour sujet l'idée de justice pour tous avancée pour chercher un terrain d'entente avec ceux qui promeuvent l'homosexualité, le transgenrisme et le travestisme, accroissant l'immoralité et la paganisation de l'État et excluant les chrétiens de la place publique.

6 pages. Traduit par RC

"La justice pour tous", mais une injustice croissante pour beaucoup

Ceux parmi vous qui suivent l’actualité ont sans doute le sentiment que les chrétiens font face à de profonds défis concernant l’expression publique de leur foi en ce qui était autrefois une « Amérique chrétienne ». Ces défis proviennent non seulement d’une culture anti-chrétienne croissante, mais aussi d’autres chrétiens.

En 2018, des chrétiens bien intentionnés siégeant aux conseils d’administration de la National Association of Evangelicals (NAE) [l’Association nationale des évangéliques] et du Council for Christian Colleges and Universities (CCCU) [le Conseil des collèges et des universités chrétiens] ont adopté une initiative appelée Justice pour tous (JPT) [Fairness for All]. Parmi les signataires notables, mentionnons Philip Graham Ryken, président du Wheaton College, et Derek Halvorson, président du Covenant College. L’initiative vise à trouver un terrain d’entente avec les personnes LGBTQ. Ces hommes chrétiens réfléchis croient manifestement que, dans un monde pluraliste, cette doctrine de « justice » peut trouver un terrain d’entente entre ceux qui défendent les droits des LGBTQ et ceux qui défendent la liberté religieuse. L’objectif est d’accorder la liberté culturelle et juridique contre la discrimination envers la ligne d’action homosexuelle, tout en exemptant les Églises et les institutions religieuses des lois prohomosexuelles.

L’argument avancé pour justifier l’accord de la JPT est que, dans notre société pluraliste actuelle, « faites aux autres ce que vous voudriez qu’ils vous fassent » est une bonne règle pour les défenseurs de la liberté religieuse aussi bien que pour ceux des droits des homosexuels. Cependant, comme le fait remarquer à juste titre Robert Gagnon : « Jésus n’a pas formulé la règle d’or pour assurer une protection juridique spéciale ni la promotion d’un comportement immoral.1 » Accorder une liberté et une protection à l’idéologie et à l’action LGBTQ ne fera que favoriser la paganisation de l’État (qui n’est bonne pour personne) et refusera à l’Église tout droit à parler publiquement et légalement de Dieu et de la création2.

En matière de justice, Ryan Anderson, de la Heritage Foundation, croit que la JPT n’est pas une question de liberté, ce que les homosexuels ont déjà, mais de « coercition » des chrétiens. Cet arrangement :

« … pénalisera beaucoup d’Américains qui ne sont pas dans ces institutions chrétiennes protégées et qui croient [encore] que nous sommes créés homme et femme. […] [Il] imposera une politique nationale sur les toilettes pour transgenres, une politique nationale sur les pronoms et une politique nationale sur la réassignation sexuelle en matière de soins de santé. De plus, on refusera la liberté d’expression et de religion et les droits à d’innombrables professionnels qui ne font pas partie du groupe restreint des institutions qui sont exemptées.3 »

L’accord JPT ne traite pas de la question de la perversion morale de cette culture actuelle sexuellement libérée, mais les signes sont évidents. Les défenseurs des institutions et traditions établies sont étiquetés par les progressistes (ceux du « bon côté de l’histoire ») comme étant des « bornés, racistes, homophobes et pires encore. Sous la tyrannie du politiquement correct, la liberté d’expression est pratiquement impossible, la liberté religieuse est menacée et les conversations quotidiennes peuvent être risquées et parfois même mortelles.4 »

Certains pensent que cette culture « progressiste » montre déjà des signes de préjugés anti-chrétiens systématiques. Même dans le Texas « conservateur », un affrontement entre liberté religieuse et privilèges transgenres est en cours. Quatre projets de loi pro-LGBTQ au Texas — numérotés HB 224, HB 254, HB 850 et SB 151 — forceraient les propriétaires d’entreprises chrétiens à affirmer l’homosexualité et le transgenrisme lorsqu’ils font des affaires sur la place publique, sinon ils devraient fermer leurs entreprises! De nombreux pasteurs conservateurs du Texas craignent que les lois proposées, qui ajouteraient l’identité sexuelle et l’orientation sexuelle aux lois sur la discrimination au Texas, diminuent leur droit à exprimer leur foi. Dave Welch, président du Texas Pastors Council [le Conseil des pasteurs du Texas] dit :

« La course folle de certains membres de la Chambre démocrate et du Sénat pour mettre de l’avant de fausses histoires, selon lesquelles le comportement sexuel serait identique à la couleur de la peau et que la maladie mentale [dysphorie transgenre] mériterait le même statut honorifique que la croyance religieuse, est une preuve sinistre que la criminalisation de la foi religieuse et du bon sens se profile à l’horizon.5 »

Certains croient voir une tentative « pour interdire le christianisme au Texas6 ». Au nom de la justice, laisser la culture sécularisée entre les mains de ces progressistes anti-chrétiens prend plusieurs formes.

Quelqu’un a dit que la pente glissante de l’avortement « vient de tomber d’une falaise ». À New York et en Virginie, les forces proavortement, sans gêne morale, sont fières d’exercer leurs muscles pour étendre le droit à l’avortement jusqu’à la fin de la grossesse et au-delà. Ils défendent aujourd’hui effrontément le meurtre de bébés non désirés après leur accouchement au cours du « quatrième trimestre » de la grossesse! En tant que culture, c’est un pont que nous ne voulons certainement pas franchir. Le progressisme est devenu si dépravé, si déconnecté de la conscience, que même le meurtre d’enfants déjà nés — ce qui devrait être la goutte d’eau qui fait déborder le vase — est sans importance. Dans l’Allemagne nazie, les citoyens ordinaires étaient soumis à un lavage de cerveau visant à les amener à croire comme étant sans conséquence le fait de considérer les Juifs, y compris un certain nombre de lauréats de prix Nobel [!], comme des êtres inférieurs moins qu’humains. Cette rationalisation a conduit au massacre de six millions de concitoyens d’origine juive, en l’espace de trois ans environ (1942-45), dans une sorte de génocide industriel. Comme le sénateur Ben Sasse l’a courageusement dit à ses collègues politiciens :

« On parle de tuer un bébé qui est né. Il ne s’agit pas d’un euphémisme ni d’un amas de cellules. Il s’agit d’une petite fille qui est née et qui est sur la table d’un hôpital ou d’un établissement médical, puis on prendrait une décision ou on débattrait de la possibilité de tuer ce petit bébé. […] Il y a peut-être beaucoup de travail que vous [sénateurs] pouvez faire dans le monde, mais vous ne devriez pas être ici. Vous devriez foutre le camp de toute vocation dans la vie publique où vous prétendez vous soucier des plus vulnérables d’entre nous.7 »

Au nom de la liberté sexuelle « morale », le mal devient normal. Nous le voyons aussi dans la prise de contrôle intentionnelle des esprits de notre prochaine génération de citoyens, c’est-à-dire de nos enfants. Jennie Bryant, une observatrice bien informée, a décrit le programme d’éducation sexuelle à l’échelle de l’État appliqué par le San Diego School District. Ces directives éducatives sexuellement perverses règnent dans nos écoles, et pas seulement à San Diego! Bryant a noté ces éléments :

  • Le SD School Board District a avoué que le programme utilise de la pornographie pour enseigner la sexualité aux enfants et a soutenu son utilisation.

  • Les principaux groupes qui travaillent à la mise en œuvre de ce programme sont les groupes prohomosexuels tels que Advocates for Youth [les Défenseurs de la jeunesse], Planned Parenthood [le Planning des naissances], l’ACLU [American Civil Liberties Union ou l’Union américaine des libertés civiles] et la députée radicale Shirley Webber, tous soutenus par l’argent de George Soros.

  • Le matériel n’est pas médicalement, scientifiquement ou biologiquement exact.

  • L’avortement est présenté comme une forme de contraception.

  • Le consentement des parents n’est pas nécessaire pour obtenir des services.

  • La sexualité est enseignée comme étant adaptée aux enfants et considérée davantage comme un sport, quelque chose pour se faire plaisir.

Il est clair qu’une grande partie de cette « éducation » de l’État est fondée sur un engagement délibéré et déterminé à promouvoir la licence sexuelle et l’endoctrinement malveillant de l’esprit des enfants, dont une culture ne pourra se sortir qu’avec une immense difficulté.

La preuve? Après l’école, si nos enfants vont à la bibliothèque, il y a fort à parier qu’ils seront charmés par l’émission nationale « Drag Queen Story Hour8 » [L’heure du conte avec une drag queen], où des hommes adultes, vêtus en femmes en tenue sexuelle provocante, lisent des livres pour enfants promouvant toutes sortes de comportements sexuels illicites. Quel esprit tordu pourrait inventer ça? Cependant, l’émission DQSH est fièrement nationale et se veut pseudo-morale en vue de :

« … capter l’imagination et le jeu de la fluidité sexuelle de l’enfance et donner aux enfants des modèles de rôle séduisants, positifs, altersexuels et sans aucune honte. Dans des espaces comme celui-ci, les enfants peuvent voir des gens qui défient les restrictions rigides du genre et imaginer un monde où les gens peuvent se présenter comme ils veulent, où les costumes sont réels. »

À Lansdale en Pennsylvanie, les fonctionnaires et le personnel des bibliothèques font la promotion d’un amuseur adulte grossier nommé « Annie Christ » (une attaque discriminatoire contre le christianisme) présenté comme modèle pour les jeunes enfants. À Detroit au Michigan, les fonctionnaires de la ville, se portant à la défense de la bibliothèque, ont fait appel à la police et n’ont pas laissé les parents exprimer pacifiquement leur opposition. Et maintenant, les militants LGBTQ tentent de présenter l’émission DQSH comme un événement universellement approuvé par la société, et que seuls les « étrangers » [les chrétiens rabat-joie] y sont opposés9.

Derrière cette mode se cache sûrement le succès de la drag queen dans l’émission « Drag Race » de RuPaul, qui en est à sa neuvième saison… Une drag queen londonienne, Jodie Harsh, dévoile le but d’avoir des acteurs travestis : « Pour moi, le travestisme sera toujours une forme d’art très subversive. Il renverse la notion de rôles de genre et représente tout ce que la droite déteste. » La véritable intention de la DQSH pour les enfants n’est pas seulement de s’opposer à la politique de « droite ». Elle consiste à renverser la notion même de Dieu, le Créateur bienveillant.

Il y a des raisons de croire que cette culture impie a l’intention de se mondialiser. Les Nations Unies négocient actuellement un nouveau traité contenant des lois strictes qui criminaliseront les enseignements de l’Église sur la sexualité. Les États membres de l’ONU formulent des lois qui définissent l’opposition à la ligne d’action LGBTQ sur « l’orientation sexuelle et l’identité de genre » comme un « crime contre l’humanité10 ». Ils utiliseraient également cette terminologie pour définir ce qu’ils appellent « grossesse forcée » (une étiquette négative accolée aux personnes opposées à l’avortement).

Compte tenu de la puissance de la technologie, on ne peut s’empêcher de penser à l’évaluation que Dieu fait de ces plans humains universels : « Voilà ce qu’ils ont entrepris de faire! Maintenant, il n’y aurait plus d’obstacle à ce qu’ils auraient décidé de faire » (Gn 11.6). Il ne faudra que très peu de temps pour que notre culture occidentale actuelle surpasse tout ce que la culture homosexuelle de la Rome antique a pu proposer.

Nous revenons donc à la Justice pour tous. Les chrétiens qui prônent les droits LGBTQ au nom de la justice et de la confiance, accordant ainsi la pleine liberté culturelle au nom de « la justice », feront ironiquement partie des architectes d’une restauration de la culture romaine. Cette initiative est encouragée par Nate Collins (l’un des dirigeants de Revoice) qui plaide pour la pleine acceptation d’une culture homosexuelle11. On ne peut toutefois pas faire confiance à la « culture homosexuelle », qui fonctionne sans un profond engagement moral, et l’étendue de ce que les progressistes considèrent comme des exemptions religieuses acceptables s’est déjà réduite et disparaîtra presque inévitablement.

À titre d’exemple de promesses non tenues, la Chambre des Lords du Royaume-Uni (l’équivalent du Sénat américain) est en train de voter sur la possibilité d’obliger les pasteurs et les évêques de l’Église d’Angleterre à célébrer les mariages homosexuels12. L’amendement au projet de loi sur le partenariat civil, le mariage et la mort trahit les promesses faites par les politiciens en 2013, qui ont juré sous serment que « les libertés religieuses des vicaires, des prêtres et des imams seraient protégées si la loi était adoptée ». Lorsque le projet de loi sur le mariage homosexuel a été adopté au Parlement, on a promis qu’aucun chef religieux ne serait jamais forcé de célébrer des mariages homosexuels. Maintenant, nous attendons de voir!

Une autre chose que nous devons attendre et voir émerger est l’adoption de la Loi sur l’égalité (H.R.2282, S.1006) qui vise à redéfinir la sexualité dans toutes les lois fédérales et à ajouter « l’identité sexuelle » à la Loi sur les droits civils de 1964 comme une catégorie interdite de discrimination dans les espaces publics. La présidente nouvellement élue de la Chambre, Nancy Pelosi, a promis d’adopter cette loi à la Chambre des représentants. Cette loi sera établie simplement sur :

« … la façon dont les gens choisissent de s’identifier en fonction de leurs sentiments. […] Contrairement aux classes protégées telles que la race et le sexe, “l’identité de genre” n’a aucun fondement dans la réalité matérielle. Il n’y a pas de science pour prouver son existence. Pourtant, de plus en plus d’États et de municipalités ont adopté des lois interdisant la discrimination fondée sur “l’identité de genre”.13 »

Personne ne peut savoir où cela va conduire.

Établir « la justice pour tous », c’est abandonner notre culture à une idéologie de la sodomie et assurer la fin du témoignage culturel chrétien légitime sur la place publique. Rendre la sodomie normative garantira des niveaux croissants de persécution des chrétiens qui, en dehors des bulles des institutions chrétiennes, seront obligés d’obéir aux lois civiles de l’orthodoxie homosexuelle culturelle ou seront punis.

Un nouveau candidat à la présidence propose un programme de « réveil moral et spirituel, un changement fondamental sur les schémas de notre dysfonctionnement politique14 ». Cela sonne bien, n’est-ce pas? Jusqu’à ce que l’on connaisse le nom de la candidate : Marianne Williamson. Auteure de livres à succès Nouvel Âge, Williamson est la conseillère spirituelle d’Oprah Winfrey. Le seul espoir spirituel qu’elle offre est le « dieu à l’intérieur de soi » — le même dieu qui inspire les drag queens, les avorteurs et les libertariens sexuels.

Au lieu de se cacher, les chrétiens ont certainement la responsabilité non seulement d’être des partisans de la confiance, mais aussi d’être des témoins publics auprès de l’homme « non religieux » (qui est religieusement païen) concernant la loi naturelle de Dieu inscrite sur son cœur. Le sens moral inné que Dieu le Créateur a placé dans le cœur humain éveille la recherche de Dieu le Rédempteur. Pour découvrir ce Rédempteur, les chrétiens doivent parler, écrire et prêcher l’Évangile.

Cette tâche chrétienne sera de plus en plus difficile si nous sommes obligés de rester derrière des portes closes et si nous sommes privés de travail, d’influence, d’éducation et peut-être éventuellement de documentation culturelle, comme ce fut le cas pour les croyants huguenots français du 16siècle. Nous devons prendre la parole tant que nous pouvons le faire et modifier les lois si nous le pouvons. Éventuellement, même notre propre sang devra peut-être dire la vérité. Les chrétiens doivent avoir confiance dans le Seigneur qui protège et fortifie son Église à travers des temps de souffrance et de persécution. Dans la confrontation fondamentale entre « César est Seigneur » ou « Christ est Seigneur », il n’y a pas de justice, il y a seulement le mensonge et la vérité (Rm 1.25). Heureusement, la vérité que nous proclamons inclut la beauté d’un univers moral ordonné, le profond respect de l’autre et l’amour bienveillant de Dieu pour le pécheur.

Notes

1. «Dr. Robert Gagnon’s Response to Evangelical Leaders’ Compromise with LGBT Activists » [Réponse du Dr Robert Gagnon au compromis des leaders évangéliques avec les activistes LGBT], Americans for Truth, 17 décembre 2018.

2. Voir les saines réactions d’une étudiante chrétienne de Stanford, Nathalie Kiersznowski, « Leaving Religion at Home: Engaging Religious Thought and Action in American Society » [Laisser la religion à la maison : affronter la pensée et l’action religieuses dans la société américaine], Stanford Politics Magazine, 10 décembre 2018. Elle a entendu une conférence à l’Université d’Oxford, au Royaume-Uni, du Dr Paul Fiddes, professeur de théologie systématique, qui a soutenu qu’il était contraire à l’éthique individuelle d’introduire leurs croyances religieuses privées dans la sphère publique. Elle soutient avec force qu’il est impossible de séparer les croyances religieuses de l’action publique et que la laïcité est elle-même une croyance religieuse.

3. Ryan Anderson, « Sexual Orientation and Gender Identity (SOGI) Laws Are Not Fairness for All » [Les lois sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre ne sont pas équitables pour tous], The Heritage Foundation, 28 novembre 2018.

4. Stephen Strang, « America at War—With Itself » [L’Amérique en guerre contre elle-même], Townhall, 2 février 2019.

5. « The Left Tries to Ban Christianity in Texas”: Sudden Spate of Bills Exalts LGBTQ Ideology Over Rights of Christians » [« La gauche tente d’interdire le christianisme au Texas » : Une soudaine série de projets de loi exalte l’idéologie LGBTQ au détriment des droits des chrétiens], CBN News, 24 janvier 2019.

6. Michael Haverluck, « Texas transgender bills to “ban Christianity” in Texas? » [Des projets de loi sur les transsexuels au Texas pour « interdire le christianisme » au Texas?], One News Now, 30 janvier 2019.

7. «This is infanticide”: Ben Sasse takes a stand against radical pro-abortion movement, says “human dignity” will prevail » [« C’est de l’infanticide » : Ben Sasse prend position contre le mouvement radical pro-avortement, affirme que la « dignité humaine » prévaudra], The Blaze, 1er février 2019.

8. What Is Drag Queen Story Hour? [Qu’est-ce que l’heure de l’histoire de Drag Queen?].

9. « MassResistance protest causes huge upheaval in Detroit suburb » [Les manifestations de MassResistance provoquent d’énormes bouleversements dans la banlieue de Detroit], MassResistance, 28 janvier 2019.

10. Austin Ruse, « How a UN Treaty Will Criminalize Church Teachings and How You Can Help Help Stop Them » [Comment un traité des Nations unies va criminaliser les enseignements de l’Église et comment vous pouvez contribuer à les arrêter], Naufrage/Sauvetage, 1er février 2019.

11. Nate Collins, All but Invisible: Exploring Identity Questions at the Intersection of Faith, Gender, and Sexuality [Tout sauf invisible : Explorer les questions d’identité à l’intersection de la foi, du genre et de la sexualité], Zondervan, 2017, 76.

12. « House of Lords to vote on compelling vicars to perform gay marriages in major blow to freedom of religion” »[La Chambre des Lords va voter pour obliger les vicaires à célébrer des mariages homosexuels, un coup dur pour la liberté de religion], Coalition for Marriage, 31 janvier 2019.

13. Katherine Cave, « The Many Harms of Gender Identity Laws: A Mother of a Trans-Identifying Teen Speaks Out » [Les nombreux méfaits des lois sur l’identité de genre : La mère d’un adolescent transsexuel s’exprime], Public Discourse, 16 janvier 2019.

14. Rachel Frazin, « New Dem presidential candidate calls for “spiritual awakening” in US » [Le nouveau candidat démocrate à la présidence appelle à un « réveil spirituel » aux États-Unis], The Hill, 31 janvier 2019.