Cet article a pour sujet la vie vécue dans l'alliance d'amour avec Dieu, la certitude de l'alliance, l'engagement dans l'alliance, l'alliance et la prière, le réconfort dans l'alliance.

Source: L’alliance d’amour. 7 pages.

23. Vivre dans l’alliance

  1. La certitude de l’alliance
  2. L’engagement dans l’alliance
  3. L’alliance et la prière
  4. Le réconfort dans l’alliance

Dans ce dernier chapitre, j’aimerais faire quelques remarques concernant la vie avec le Seigneur dans l’alliance d’amour. Il est clair qu’appartenir au peuple de Dieu est un grand privilège. Ce n’est pas quelque chose que nous pourrions gagner, ou nous assurer, par nos efforts. La chose importante qu’il nous faut reconnaître dans cette vie est que nous sommes ce que nous sommes uniquement par la grâce de Dieu. Il est entré dans nos vies de manière souveraine avec sa grâce et nous a déclaré ses enfants en Christ. Nous ne devrions jamais cesser d’être émerveillés d’avoir reçu une telle place.

Puisque cette place dans l’alliance ne peut être gagnée, elle doit simplement être acceptée par la foi. Cela signifie que nous devons commencer là où Dieu commence. Si nous sommes nés de parents craignant Dieu, nous pouvons croire qu’il nous a déclarés ses enfants dès le moment de la conception et de la naissance. Non en raison de la foi de nos parents, car notre salut n’est pas fondé sur une activité humaine, mais parce que Dieu a déterminé d’établir son alliance avec les croyants et leur descendance. C’est ainsi que le Seigneur a toujours opéré et opère encore aujourd’hui.

Si nous ne sommes pas nés de parents croyants, mais que plus tard par les soins providentiels de Dieu nous avons placé notre foi en Christ, nous pouvons croire qu’au moment où nous plaçons notre foi en Christ, nous sommes incorporés à l’alliance d’amour, et cela s’applique aussi à nos enfants, le cas échéant (Ac 2.38-39; Rm 4.16). Notre grande joie est alors de professer publiquement l’amour de Dieu en Christ, de nous faire baptiser et de prendre notre place comme membres adultes de l’Église du Christ.

1. La certitude de l’alliance🔗

Dieu a établi une alliance avec nous et nous en a donné des signes et des sceaux afin que nous soyons assurés de son amour envers nous. Il est entré avec nous dans une relation déterminée par un amour parfait venant de lui. Il a clairement démontré cet amour. « L’amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui » (1 Jn 4.9). Rappelons-nous que nous n’avons pas aimé Dieu les premiers, mais que l’alliance est son initiative et son œuvre. « Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu’il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés » (1 Jn 4.10).

Nous vivons dans un monde plein d’incertitudes et dans lequel la haine et l’égoïsme sont partout évidents. Dieu nous a toutefois ouvert son cœur en Christ et demande que nous nous aimions les uns les autres. Être dans l’alliance de Dieu nous procure une grande assurance concernant son amour. Il nous regarde non tels que nous sommes en nous-mêmes; il nous regarde à travers Jésus-Christ, notre Seigneur et Sauveur. En Christ, nous sommes rendus capables de considérer nos amis croyants comme des frères et sœurs. Le même amour nous pousse à parler de l’alliance de Dieu, par l’évangélisation et la mission, aussi à ceux qui ne connaissent pas encore Jésus-Christ (Col 4.6).

Le cœur de cette alliance est que nous acceptons consciemment l’amour de Dieu en Christ et affirmons ainsi de notre côté l’alliance d’amour. Nous devons connaître nos péchés, les confesser, lutter contre notre nature pécheresse et rechercher notre garant dans la croix du Golgotha. Nous ne devons jamais fonder une quelconque certitude sur ce que nous avons fait ou ce que nous n’avons pas fait. Car Jésus est le Christ, le Sauveur oint, et lui seul. La régénération consiste à le recevoir et à l’accepter dans la foi. « Quiconque croit que Jésus est le Christ est né de Dieu » (1 Jn 5.1). La justification ne demande rien de plus, et rien de moins.

Cette foi est fondée uniquement sur les promesses de Dieu révélées dans l’Évangile. Elle accepte comme vérité tout ce que Dieu a révélé dans sa Parole. C’est aussi une douce confiance dans le fait que les promesses sont vraies pour soi-même. La foi n’est pas simplement de dire : « Je crois que la Bible est vraie », mais la foi c’est dire : « Je crois que la Bible est vraie pour moi ». La foi ce n’est pas de dire : « Je crois que Jésus est le Sauveur », mais : « Je crois que Jésus est mon Sauveur ».

Cela signifie qu’il existe entre Dieu et nous, dans l’alliance, un lien fort et personnel. Dans notre baptême, il nous a appelés par notre nom. Dans la vie, rien n’est plus personnel et important que le baptême. Nous devons faire attention qu’il ne devienne pas un sacrement oublié. Puisque l’alliance est une relation d’amour, elle est par le fait même une expérience vivante, personnelle et profonde. À l’instar des saints des temps anciens, nous devons marcher avec Dieu. Cela signifie que nous lui ouvrons notre vie entière, ne gardons aucun secret devant lui et recherchons et trouvons toujours sa main en tout.

S’aimer les uns les autres signifie vivre ensemble. Aimer Dieu signifie vivre avec lui. Nous devons chaque jour nous focaliser sur le Seigneur et dans tout ce que nous faisons nous devons tenir compte consciemment de ses promesses et préceptes. Cela doit faire partie de notre vie.

« Vous l’aimez sans l’avoir vu, vous croyez en lui sans le voir encore, vous réjouissant d’une joie merveilleuse et glorieuse, parce que vous obtiendrez le salut de vos âmes pour prix de votre foi » (1 Pi 1.8-9).

Peut-il y avoir des doutes concernant notre relation avec Dieu? M’aimera-t-il toujours, peu importe ce qui arrive dans cette vie, même si je le déçois souvent terriblement? Écoutez-le :

« Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est point en nous. Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité » (1 Jn 1.8-9).

L’alliance n’est pas enracinée dans notre obéissance — même si notre obéissance est nécessaire —, mais elle est enracinée dans son amour en Christ. Il fut dit à notre baptême :

« Et si parfois, par faiblesse, nous chutons dans le péché, nous ne devons ni désespérer de la miséricorde de Dieu ni persister dans le péché, car le baptême est un sceau et un témoignage digne de confiance que nous jouissons d’une alliance éternelle avec Dieu.1 »

Je peux douter de tout et tout remettre en question dans la vie, mais pas de l’amour de Dieu en Christ, pas de son alliance de grâce. Je peux m’appuyer sur cette alliance chaque jour et je peux savoir qu’il ne me délaissera ni ne m’abandonnera jamais (Dt 31.6; Hé 13.5). Jésus-Christ fut abandonné sur la croix afin que Dieu soit toujours avec moi.

2. L’engagement dans l’alliance🔗

Une alliance entre des personnes signifie que nous avons un engagement les uns envers les autres. L’alliance avec Dieu signifie que nous avons un engagement envers Dieu. Nous vivons dans un monde où l’engagement est denrée rare. Les promesses ne sont pas tenues, les vœux ne sont pas respectés, les contrats ne sont pas honorés. Il n’y a aucune confiance, même en ceux qui occupent une fonction officielle en ayant solennellement prêté serment. Dans ce monde, le respect pour la vérité et la fidélité est denrée rare partout.

Mais Dieu s’engage auprès de ceux qui l’aiment. L’engagement de Dieu consiste en sa fidélité et en sa loyauté empreintes d’amour. Il ne change pas, mais demeure le même de tout temps, dans le sens où il est éternellement fidèle à lui-même et tient toujours parole envers nous. Il s’est engagé à une chose : se glorifier dans le salut et la perfection de son peuple par Jésus-Christ, et son but se réalisera, malgré toute l’opposition diabolique et humaine. Aucune alliance profane ne peut rompre son alliance d’amour.

Tout comme Dieu s’engage envers nous, nous devons nous engager envers lui. Cet engagement ne doit pas être vu comme un vague lien superficiel, mais consiste à faire des choses précises et concrètes. L’engagement que Dieu demande de son peuple n’a jamais changé à travers le temps. Aimer, c’est reconnaître la souveraineté de Dieu et obéir à ses commandements. Personne n’a vraiment besoin de demander ce que Dieu veut :

« On t’a fait connaître, ô homme, ce qui est bien; et ce que l’Éternel demande de toi, c’est que tu pratiques la justice, que tu aimes la miséricorde, et que tu marches humblement avec ton Dieu » (Mi 6.8).

Ces mots résument ce que Dieu demande de nous dans son alliance d’amour.

S’agissant de notre engagement dans l’alliance d’amour, je suis toujours impressionné par la manière dont le Catéchisme de Heidelberg définit notre reconnaissance envers Dieu pour notre salut. Le catéchisme traite de la loi de Dieu (les dix commandements) et de la prière (le Notre Père). Le catéchisme indique clairement que la prière constitue la partie la plus importante de la reconnaissance.

En effet, notre engagement se voit dans la prière, la confiance, la piété et l’obéissance. La piété personnelle et le culte familial viennent en premier. Ils découlent d’une participation vivante à l’Église. Souvenez-vous aussi que le sabbat est dans la Bible qualifié de signe de l’alliance. Dans ce sens, il en est de même aujourd’hui où nous nous rassemblons assidûment avec le peuple de Dieu chaque semaine le jour du culte. Comme nous le lisons dans Hébreux, un livre qui nous en dit tant sur l’alliance d’amour de Dieu : « N’abandonnons pas notre assemblée, comme c’est la coutume de quelques-uns… » (Hé 10.25). Nous devons rendre un culte à Dieu avec les saints, ensemble, et entendre la proclamation de sa Parole. Seul le culte commun soutiendra notre culte personnel quotidien.

La participation vivante à l’Église de Dieu ne signifie pas uniquement aller à l’église. Cela signifie être en tout une partie active du corps du Christ. Paul écrit : « Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit, pour former un seul corps… et nous avons tous été abreuvés d’un seul Esprit » (1 Co 12.13). Notre baptême nous place dans la communauté des baptisés, au milieu du peuple de l’alliance de Dieu, où chacun a sa place et a un rôle à jouer. Ensemble, nous devons utiliser nos dons et nos talents au bénéfice de tous et pour la gloire du nom de Dieu. Lorsqu’un membre d’une Église ne participe pas aux affaires de l’Église du Christ, c’est mauvais signe.

3. L’alliance et la prière🔗

Je veux souligner le fait que cette participation vivante doit ensuite devenir évidente par un culte quotidien. L’une des choses les plus importantes dans notre vie sera la prière. « Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous » (Jc 4.8). Il s’agit du cœur de l’expérience de l’alliance. Par la prière, nous pouvons parler à notre Dieu et Père, nous pouvons ouvrir notre cœur et épancher notre âme. Cette prière doit se faire sur une base régulière, mais aussi de manière spontanée. De là où nous sommes, nous pouvons faire appel à Dieu au nom de Jésus-Christ. En vérité, c’est cela marcher avec Dieu, comme nous l’avons déjà lu dans le livre de la Genèse.

La prière a été nommée « le thermomètre de la foi ». Elle pose incontestablement les jalons pour la vie au sein de l’alliance. La prière est la communion et la communication se situant au cœur de notre relation. Peut-on aimer quelqu’un et ne pas lui parler, se confier à lui, tout lui dire et se sentir complètement à l’aise de le faire? Les psaumes nous montrent la manière de parler librement et avec révérence avec notre Dieu, sans crainte. « La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte » (1 Jn 4.18).

Lorsque nous prions, nous recevons des réponses. Par la prière, nous recevons la grâce, y compris la grâce d’obéir. Dans tous nos actes, nous devons chercher à garder les commandements de Dieu. Nous ne devons pas être sélectifs, mais obéir à tous les commandements de Dieu, sans égard à nos inclinations particulières. La chose très importante ici est de s’attaquer consciemment et avec détermination à nos faiblesses et à nos péchés. Nous ne devons pas les tolérer, mais les cibler et les combattre.

Nous sommes appelés, dans cette alliance d’amour, à rompre constamment avec le péché. Nous devons suivre l’ordre de Dieu : « Résistez au diable, et il fuira loin de vous » (Jc 4.7). Les enfants de l’alliance pensent parfois trop rapidement et trop facilement qu’il est impossible de résister au diable et que certains péchés ne peuvent être surmontés. Par nos propres forces nous ne pouvons en effet pas être victorieux, mais à travers le Christ et son Esprit, si. L’histoire du peuple de l’alliance de Dieu montre que nous pouvons triompher à travers le Christ, par la foi. Nous sommes entourés d’une nuée de témoins qui attestent tous du fait merveilleux que la force de Dieu est manifeste dans notre faiblesse.

Nous devons donc rompre avec le péché. L’histoire de l’alliance nous montre que Dieu est extrêmement mécontent des péchés de son peuple. Tous les Israélites qui quittèrent l’Égypte périrent dans le désert et ne purent pas entrer en terre promise en raison de leur incrédulité, excepté Caleb et Josué. Bien que le pouvoir de la foi soit grand, l’incrédulité paralyse la détermination des enfants de Dieu. Et l’on nous dit que ce qui arriva à Israël constitue pour nous un exemple, afin que nous ne mettions pas le Seigneur à l’épreuve. L’avertissement doit être écouté attentivement : « Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne garde de tomber! » (1 Co 10.12). Le péché n’est pas une bagatelle.

Cela est particulièrement vrai dans la nouvelle alliance. La règle veut que plus l’on a reçu, plus l’on est redevable aussi. Puisque nous avons plus de richesses en Christ, et que notre connaissance est plus étendue que celle du peuple des temps anciens, nous devons démontrer d’autant plus d’obéissance. Le péché délibéré a toujours été une chose sérieuse; il est désormais devenu inexcusable. Nous sommes avertis que si nous vivons dans le péché maintenant, tout en sachant mieux, il n’y a que la sévère sanction de l’alliance.

« Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles » (Hé 10.26-27).

L’ancienne alliance connaissait la peine capitale; la nouvelle alliance met en garde contre la mort éternelle.

Notre Seigneur Jésus-Christ s’est engagé totalement dans la vie et dans la mort; nous ne pouvons rien faire de moins que de nous engager pleinement et sans réserve.

4. Le réconfort dans l’alliance🔗

Vivre dans l’alliance d’amour signifiera, à divers degrés, haïr le monde. Le Seigneur Jésus dit :

« Si le monde vous hait, sachez qu’il m’a haï avant vous. Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait » (Jn 15.18-19).

Ces paroles alliancielles sont fortes! Et le Christ de poursuivre :

« Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre » (Jn 15.20).

L’inimitié et l’antithèse que Dieu plaça dès le début des temps continueront et s’intensifieront jusqu’à la fin, lorsque le monde rassemblera toutes ses forces pour attaquer la ville bien-aimée (Ap 20.9). Être enfant de Dieu et porter la marque du Christ deviendront de plus en plus difficile. Les chrétiens ne sont pas toujours préparés ni prêts à accepter ces conséquences.

Il existe beaucoup de souffrance dans le monde. Parfois, les gens, par leurs propres agissements, courent à leur perte et entraînent celle de ceux qu’ils aiment. Il ne devrait pas en être ainsi avec le peuple de l’alliance : « Que personne d’entre vous, en effet, ne souffre comme meurtrier, ou voleur, ou malfaiteur, ou pour s’être ingéré dans les affaires d’autrui » (1 Pi 4.15). Nous devons faire attention de ne pas enfreindre les lois du pays. Mais Pierre d’ajouter : « Mais si quelqu’un souffre comme chrétien, qu’il n’en ait point honte, et que plutôt il glorifie Dieu à cause de ce nom » (v. 16).

La Bible nous dit en divers endroits qu’il s’agit d’un honneur de souffrir pour le Christ. Lorsque nous « [participons] aux souffrances de Christ », nous prenons aussi part à sa gloire (Hé 12.7; Jc 5.10; 1 Pi 4.13). La seule accusation qui peut tenir contre nous est que nous appartenons à l’alliance de Dieu en Christ notre Seigneur.

Servir le Christ dans l’adversité nous rappelle que nous n’avons pas sur terre de cité permanente. Nous entrons dans ce monde sans rien, et nous devons tout laisser derrière nous. Nous sommes des étrangers sur la terre.

« Ceux qui parlent ainsi montrent qu’ils cherchent une patrie. S’ils avaient eu en vue celle d’où ils étaient sortis, ils auraient eu le temps d’y retourner. Mais maintenant ils en désirent une meilleure, c’est-à-dire une céleste. C’est pourquoi Dieu n’a pas honte d’être appelé leur Dieu, car il leur a préparé une cité » (Hé 11.14-16).

Bien qu’il nous faille faire face à la destruction de notre tente terrestre, nous savons que « nous avons dans le ciel un édifice qui est l’ouvrage de Dieu, une demeure éternelle qui n’a pas été faite de main d’homme » (2 Co 5.1).

Et cela nous réconforte. Nous pouvons attendre avec impatience, avec tous les saints, les nouveaux cieux et la nouvelle terre, où nous pourrons voir Dieu face à face et marcher avec les saints. Étant dans l’alliance d’amour de Dieu, y vivant chaque jour, nous savons que nous sommes en route, quittant ce monde de péché et de mort, vers le pays du repos éternel.

Dans l’alliance d’amour de Dieu, une espérance éternelle fleurit2.

« Il est pour le fidèle,
Au-delà du tombeau,
Une terre nouvelle
Qu’éclaire un jour plus beau,
Où l’éternel bonheur
Est celui de la grâce,
Où la douleur s’efface
Sous la main du Seigneur.3 »

Notes

1. Formulaire pour le baptême des enfants, Book of Praise, p. 585, trad. Libre.

2. N D. T. : « une espérance éternelle fleurit » est une citation tirée de l’œuvre du poète anglais Alexander Pope, An Essay on Man. Traduction française d’Étienne de Silhouette (Essai sur l’homme, 1745).

3. Hymne 640.1, Recueil « Arc-en-ciel ».