95 thèses contre l'évolution
95 thèses contre l'évolution
Biologie :⤒🔗
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La modification d’êtres vivants au-delà des limites de l’espèce (macroévolution) moyennant la formation de nouveaux organes ou de nouvelles structures n’a jamais été observée et n’est nullement prouvée.
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La recherche révèle toujours plus de caractéristiques réparties de manière non systématique dans les organismes vivants, par conséquent l’hypothèse d’un arbre phylogénétique des espèces doit être considérée comme réfutée.
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Aucun mécanisme n’est connu pour constituer des systèmes complexes irréductibles, tels qu’ils apparaissent chez les êtres vivants.
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Sur environ 19 millions d’études scientifiques, uniquement 186 des 453 732 mutations documentées ont été classées comme avantageuses, sachant qu’aucune augmentation de l’information génétique n’a eu lieu parmi elles.
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Les mécanismes connus de l’évolution, tels que la mutation, la sélection, le transfert de gènes, la combinaison de brins, la duplication génétique et d’autres facteurs ne suffisent pas à expliquer la formation de nouveaux plans d’organisation et de nouvelles fonctions.
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L’interdépendance d’un grand nombre d’espèces de plantes et d’animaux dans un écosystème (biodiversité) et la répartition du travail entre ces espèces contredit l’idée d’une genèse graduelle.
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Les symbioses et le commensalisme de plusieurs plantes et animaux ne peuvent pas être expliqués par les mécanismes connus de l’évolution.
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Depuis 1908, plus de 3000 mutations artificielles ont été effectuées sur la mouche à fruit Drosophila melanogaster et celles-ci n’ont pas révélé de plan d’organisation nouveau et plus avantageux. La mouche à fruit est restée une mouche à fruit.
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Il apparaît de plus en plus que de grandes parties de ce qu’on appelle l’ADN « Junk », qualifié il y a encore peu de « déchet évolutionnaire », remplissent tout à fait des fonctions définies.
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De nouvelles recherches suggèrent que ce qu’on appelle les pseudogènes, longtemps considérés sans fonction, ont cependant certaines fonctions.
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L’espoir de trouver dans les gènes homéotiques (gènes déterminants) les gènes-clés du processus macroévolutionnaire, ne s’est pas réalisé.
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Les organes rudimentaires (semi-finis ou sans fonction) ne sont pas des vestiges sans valeur d’une évolution ascendante : la grande majorité de ces organes ont une utilité concrète, d’autres documentent une dégénérescence.
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Bien que la loi de récapitulation (ou loi de biogénétique fondamentale) de Ernst Haeckel (1834-1919) ait déjà été dévoilée comme une erreur de son vivant, on la trouve aujourd’hui encore dans de nombreux livres d’école!
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Dans de nombreux manuels scolaires, on décrit les transformations en nombre des populations du phalène du bouleau comme un exemple de l’évolution; en fait, il ne s’agit même pas de microévolution.
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Tous les insectes résistants au DDT sont des variantes génétiques qui ont toujours existé et qui ont toujours été résistantes à ce poison.
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Le fait que des bactéries peuvent devenir résistantes aux antibiotiques n’est pas un exemple d’évolution ascendante, car les mutations qui entraînent ce phénomène ont en général comme conséquence une perte d’information du génome.
Géologie et paléontologie : ←⤒🔗
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La stase (arrêt) dans la succession des fossiles indique qu’aucune nouvelle forme ou aucun nouvel organe n’apparaît et que les types de bases sont essentiellement demeurés inchangés pendant toute l’histoire de la terre.
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Pour qu’un être vivant puisse devenir fossile, il faut qu’il soit recouvert rapidement de sédiments et qu’il ne soit pas en contact avec l’air, sinon il se décompose ou pourrit.
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Après 150 ans de recherche de fossiles, les chaînons manquants (liens manquants) entre les poissons et les amphibiens, les amphibiens et les reptiles et entre les reptiles, les oiseaux et les mammifères n’ont toujours pas été trouvés.
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Ce qu’on appelle l’explosion cambrienne (l’apparition simultanée de la plupart des espèces durant le cambrien) contredit la théorie selon laquelle les organismes vivants ont des ancêtres communs.
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L’érosion naturelle devrait amener les continents de la terre en 10 millions d’années au niveau de la mer, par conséquent il ne devrait pas y avoir de couches de roches bien plus vieilles qui contiennent des fossiles.
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Aucun delta de fleuve n’a plus de quelques milliers d’années, ce qui contredit complètement une histoire continue de la terre pendant des milliards d’années.
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Lors de l’éruption du volcan du mont Saint Helens en 1980, des formations géologiques sont apparues qui correspondent en grande partie à des formations qui se seraient prétendument formées au cours d’un processus de plusieurs millions d’années.
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Les caractéristiques des couches de sédiments qui sont visibles et accessibles à la recherche témoignent d’un processus de dépôt court et intensif.
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Les limites des couches des formations géologiques ne révèlent en général aucune érosion, bioturbation, formation du sol ou alors celles-ci sont minimes, ce qui contredit un vieil âge des couches.
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Les fossiles polystrates, c’est-à-dire les troncs d’arbres et les animaux fossilisés, qui recoupent plusieurs couches géologiques, contredisent une apparition lente de ces couches.
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L’existence des fossiles dits vivants fait naître des doutes quant à l’interprétation courante des successions de fossiles.
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Des découvertes d’artefacts humains dans des couches terrestres qui ont prétendument plus de 2 millions d’années remettent en question la fiabilité du tableau chronologique conventionnel.
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Les microbes viables que l’on trouve fréquemment dans de vieux gisements sédimentaires de sel et de charbon (Lagerstätten) ne peuvent en aucun cas atteindre 500 millions d’années.
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De nouvelles connaissances sur la formation microévolutionnaire des espèces (sous-spéciation) montrent que la diversité des espèces d’animaux marins fossiles des calcaires lithographiques de Nusplingen peut s’être développée en quelques décennies.
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De nouvelles observations et de nouveaux calculs suggèrent fortement que les diapirs granitiques connus se sont formés 100 000 fois plus rapidement que ce l’on avait supposé jusqu’à maintenant.
Évolution chimique : ←⤒🔗
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« Vivum ex vivo » (la vie vient de la vie) — cette déclaration de Louis Pasteur n’est pas réfutée jusqu’à aujourd’hui.
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Des centaines d’expériences dites de Miller (simulation de soupe primordiale) ne purent expliquer ni prouver l’apparition fortuite de la vie.
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Des expériences en laboratoires montrent qu’une apparition fortuite de l’ADN dans les conditions de la soupe primordiale et sans matrice de support (telle qu’on la trouve dans une cellule vivante) n’est pas possible.
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Étant donné qu’une soupe primordiale hypothétique aurait nécessairement contenu de l’eau, il est impossible que des chaînes longues d’acides aminés ou même des protéines complètes se soient formées dans ce milieu.
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Une apparition fortuite des cellules est impensable, car seuls les acides aminés à chiralité gauche peuvent être utilisés pour former une cellule vivante.
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Le repliement correct des protéines fonctionne grâce à un processus contrôlé par des informations et ne peut pas se produire par hasard.
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Une origine fortuite du bon adressage des protéines dans les cellules n’est pas imaginable.
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Le mécanisme qui démarre et arrête la production des protéines doit fonctionner correctement dans chaque cellule dès le départ.
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Les mécanismes de contrôle internes aux cellules combattent toute évolution dépassant les limites de l’espèce, car la vie est par principe organisée sur la conservation de la protéine existante (stase).
Radiométrie et géophysique : ←⤒🔗
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Étant donné que les résultats de plusieurs méthodes de mesures radiométriques pour une même roche diffèrent systématiquement de façon marquée, il doit y avoir une erreur systématique dans les méthodes de mesures ou dans l’exploitation des résultats.
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Des mesures effectuées par une spectrométrie de masse par accélérateur (SMA) sur des matériaux carbonés : graphite, marbre, anthracite et diamant révèlent un âge inférieur à 90 000 ans. On leur attribue pourtant plusieurs millions d’années.
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Dans les couches de roches, qui sont, paraît-il, vieilles de plusieurs milliards d’années, on peut trouver des zircons, qui en raison de leur teneur en hélium n’ont probablement qu’entre 4000 à 8000 ans.
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En plus de l’uranium 238, 52 autres éléments se désintègrent en plomb 206 (avec une demi-vie de quelques microsecondes jusqu’à quelques milliers d’années) et ils ne sont pas considérés dans les calculs de radiométrie conventionnelle.
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Lorsque l’on chauffe les matériaux radioactifs jusqu’aux températures du plasma, la demi-vie de l’uranium 238, par exemple, diminue de 4,5 milliards d’années à seulement 2,08 minutes; cela contredit l’idée selon laquelle la demi-vie des éléments radioactifs est constante.
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La fréquence des halos de radiation de l’uranium et du polonium dans le granite du paléozoïque/mésozoïque indique une ou plusieurs phases de désintégration radioactive accélérée temporaire.
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La quantité d’hélium qui se dégage de l’intérieur de la terre constitue seulement 4 % de la quantité attendue par rapport à la chaleur dégagée par celle-ci, ce qui contredit un âge de la terre de 4,5 milliards d’années.
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La diminution continue du champ magnétique terrestre, qui a été mesurée, indique que l’âge de la terre est inférieur à 10 000 ans.
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Si les processus actuels d’apport et de perte de sel des mers et océans du monde duraient depuis 3,5 milliards d’années, ceux-ci devraient contenir 56 fois plus de sel.
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Grâce à la quantité de nickel transportée chaque année par les fleuves vers les mers et à la quantité actuelle de nickel contenue par les océans, on peut calculer que le processus actuel ne peut durer que depuis 300 000 ans maximum.
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L’affirmation selon laquelle la formation de pétrole, de charbon et de bois fossilisé nécessite de longues périodes a été réfutée par des expériences.
Cosmologie et théorie du Big Bang : ←⤒🔗
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Vu qu’on ne connaît aucun mécanisme qui aurait permis à l’univers de sortir de ce qu’on appelle la singularité gravitationnelle, le concept de la théorie du Big Bang est totalement hypothétique.
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La naissance des galaxies ne peut pas être expliquée dans le cadre du Big Bang.
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Malgré les affirmations continuelles de nombreux cosmologistes, l’origine des étoiles reste inexpliquée.
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Comment les planètes auraient pu trouver leur origine dans un disque de gaz et de poussières n’est pas clair et reste très controversé.
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Les surfaces différentes des planètes et des lunes font naître des doutes quant à la théorie selon laquelle elles seraient toutes issues d’un nuage homogène de poussière et de gaz.
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Un système solaire de 4,5 milliards d’années est difficilement concevable, car certaines planètes peuvent « déjà » après 10 millions d’années suivre des orbites chaotiques.
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La modification de la distance terre-lune qui a été mesurée est tellement importante, que la terre devrait être 3,5 fois plus loin de la lune, si on partait du postulat que celle-ci a 4,5 milliards d’années.
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Il est remarquable que les quatre planètes gazeuses aient toutes en même temps des anneaux, puisque ces anneaux peuvent avoir quelque 10 milliers d’années maximum.
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Il y a beaucoup moins de comètes à courte période dans notre système solaire que ce que l’on pourrait s’attendre à trouver dans un système planétaire vieux de plusieurs milliards d’années.
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Il reste moins de restes de supernova dans notre voie lactée que ce que l’on pourrait s’attendre à trouver après plusieurs milliards d’années.
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La différence systématique de métallicité entre des objets éloignés et proches que l’on s’attendrait à trouver d’après le modèle du Big Bang fait défaut.
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Le réglage minutieux, incroyablement précis, des différentes constantes de la nature qui permettent la vie sur terre ne peut pas être le résultat d’un hasard aveugle.
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Le fond diffus cosmologique micro-onde est beaucoup plus régulier que ce à quoi on pourrait s’attendre d’après la théorie du Big Bang.
Philosophie : ←⤒🔗
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La science d’aujourd’hui fait des recherches sous le paradigme de l’évolution (macroévolution, théorie de la soupe primordiale et Big Bang) dont les fondements ne peuvent pas été prouvés.
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Il n’est pas possible d’expliquer le monde avec des grandeurs purement naturelles, puisqu’on ne peut pas définir où le naturel s’arrête et où le surnaturel commence.
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La théorie de l’évolution est d’origine philosophique (Les Lumières, rationalisme, naturalisme) et est, dans son essence, un dogme religieux avec une apparence scientifique.
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De nombreuses déclarations de la psychologie évolutionniste se révèlent être des cercles vicieux ou sont formulées de façon si vague et si peu nuancée que l’on peut les considérer tout au plus comme des histoires ayant l’air plausibles, qui ne se laissent ni vérifier ni réfuter.
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Justifier la macroévolution par la combinaison de facteurs tels que mutations fortuites et sélection nécessaire reste toujours sans substance, c’est-à-dire sans signification en raison de la notion de hasard dans le résultat.
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La recherche causale de l’évolution ne peut absolument pas prouver par des expériences (description de processus mesurables et prévisibles) une évolution, qui selon sa propre théorie est fortuite et par conséquent incalculable et imprévisible.
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Des similarités (organes homologues) ne constituent pas la preuve d’une origine commune; elles montrent simplement que les mêmes principes fondamentaux s’appliquent pour des êtres vivants différents.
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Il n’y a dans la nature aucun écosystème incomplet et la grande majorité des êtres vivants contribuent à l’intérêt général de l’ensemble de l’écosystème; cette constatation contredit une évolution fortuite.
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La finalité (téléologie) et l’ordre perceptibles dans toute la nature contredisent le dogme de l’évolution fortuite des innombrables structures cosmiques et biologiques.
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La question du sens de la vie ne trouve pas de réponse dans la doctrine de l’évolution.
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La beauté sans finalité rencontrée dans la nature ne peut pas être expliquée par l’approche naturaliste.
Théorie de l’information : ←⤒🔗
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Le code présent dans chaque forme de vie permet une seule conclusion : il existe un auteur/un émetteur intelligent de cette information.
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Le concept de codage des molécules ADN dépasse de loin toutes les technologies informatiques humaines modernes et ne peut pas s’être développé par hasard à partir de matière inerte.
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Les connaissances nécessaires pour savoir programmer des molécules ADN, par exemple, ne suffisent pas pour créer la vie. Il faut également avoir la capacité de construire toutes les machines biologiques nécessaires.
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Étant donné que l’information signifiante est essentiellement une dimension non matérielle, elle ne peut pas provenir d’une dimension matérielle.
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L’homme est en mesure de créer des informations qui ont un sens; étant donné que ces informations n’ont pas une nature matérielle, elles ne peuvent pas provenir de la partie matérielle de notre être (corps).
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L’affirmation selon laquelle l’univers résulterait uniquement d’une singularité (matérialisme scientifique) est en contradiction avec la dimension non matérielle de l’information.
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Étant donné que toutes les théories sur l’évolution chimique et biologique requièrent que l’information provienne uniquement de la matière et de l’énergie, nous pouvons en conclure que tous ces concepts sont faux.
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Des preuves de l’existence de Dieu peuvent être tirées des informations apportées par les lois de la nature dans l’univers et des informations prophétiques de la Bible.
L’homme et la culture : ←⤒🔗
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Les récits du déluge faits par toutes les cultures anciennes des cinq continents prouvent qu’une ou plusieurs catastrophes gigantesques ont effectivement eu lieu dans le passé.
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Le patrimoine transmis par nos ancêtres (en particulier des outils en pierre) permet d’estimer la préhistoire humaine à quelques milliers d’années maximum.
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Il manque toujours la trace d’un hypothétique ancêtre commun de l’homme et du singe.
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Pour obtenir, à partir d’un ancêtre commun, un homme et un chimpanzé, il aurait fallu au moins 75 millions de « vraies » mutations, ce qui est très improbable.
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La bipédie de l’homme nécessite une modification coordonnée et simultanée de plusieurs caractéristiques du squelette et des muscles, ce qui contredit un développement au hasard et sans finalité.
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L’œil humain est un système complexe irréductible que Darwin lui-même citait comme une preuve possible contre sa théorie.
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Il est établi, sur la base des résultats de nouvelles recherches, que, contrairement à des affirmations antérieures, la disposition des cellules photosensibles dans l’œil humain est conçue de façon optimale.
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Des recherches sur des langues anciennes ont montré que celles-ci étaient plus complexes au début et qu’elles se sont simplifiées avec le temps, ce qui vient contredire un développement évolutif ascendant de l’homme.
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Des études sur ce qu’on appelle des expériences de mort imminente suggèrent que la conscience de l’homme existe de façon indépendante du corps.
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La capacité de création de l’être humain dans les domaines techniques et artistiques indique que l’esprit humain ne peut pas s’être développé à partir de la matière.
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La conscience et l’éthique n’auraient guère pu se développer dans une lutte pour la survie sans pitié qui durerait depuis des millions d’années.
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L’existence du phénomène de l’amour n’est pas compatible avec les idées de la théorie de l’évolution.