Cette prédication sur Éphésiens 6.15 a pour sujet le zèle que donne l'Évangile de paix qu'il nous faut porter comme chaussures afin de rendre témoignage de Jésus-Christ par nos vies et notre évangélisation.

Source: Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu. 7 pages.

Éphésiens 6 - Mettez pour chaussures à vos pieds les bonnes dispositions que donne l'Évangile de paix

« Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur et par sa force souveraine. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les manœuvres du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les principautés, contre les pouvoirs, contre les dominateurs des ténèbres d’ici-bas, contre les esprits du mal dans les lieux célestes. C’est pourquoi prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour et tenir ferme après avoir tout surmonté. Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice; mettez pour chaussures à vos pieds les bonnes dispositions que donne l’Évangile de paix; prenez, en toutes circonstances, le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du Malin; prenez aussi le casque du salut et l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu. Priez en tout temps par l’Esprit, avec toutes sortes de prières et de supplications. Veillez-y avec une entière persévérance. Priez pour tous les saints et aussi pour moi : que la parole, quand j’ouvre la bouche, me soit donnée pour faire connaître avec hardiesse le mystère de l’Évangile, pour lequel je suis ambassadeur dans les chaînes; et que j’en parle hardiment comme je dois en parler. »

Éphésiens 6.10-20

  1. L’Évangile de paix
  2. De bonnes dispositions
  3. Des chaussures à nos pieds
  4. Pour poursuivre la méditation

Comment combattre victorieusement le diable?

Voici ce que font les musulmans pour combattre le diable. « En rangs serrés, armés de millions de projectiles, près de 2,5 millions de musulmans ont mené jeudi un nouvel assaut contre Satan. Satan sera lapidé par 123 millions de cailloux, mais aussi à coups de chaussures et d’injures, pendant 72 heures. Chaque pèlerin est tenu de lancer quotidiennement sept cailloux sur chacun des trois blocs de béton haut de 25 mètres qui représentent Satan. Chaque année, des pèlerins meurent et le sang coule parce qu’ils reçoivent sur le crâne des cailloux destinés à Satan. » En 1990, il y a eu plus de 1400 morts.

Est-ce de cette façon qu’il faut combattre le diable : lancer des cailloux, des chaussures et des injures contre de grosses pierres qui représentent Satan? Non!

Des écrits catholiques romains disent que pour combattre le diable, il faut se servir d’eau bénite, de crucifix, d’images des saints, de la récitation du rosaire, du scapulaire brun. Est-ce de cette façon qu’il faut combattre le diable? Non!

Des écrits pentecôtistes disent que pour combattre le diable, il faut se servir du parler en langues, de l’imposition des mains et de la musique. Est-ce de cette façon qu’il faut combattre le diable? Non!

Comment combattre victorieusement le diable? Avec les armes que Dieu nous donne. S’il y a quelqu’un qui sait comment nous devons combattre le diable, c’est le Seigneur notre Dieu! Dans sa Parole, la Bible, il nous enseigne à nous revêtir de toutes les armes qu’il nous donne, en nous disant que c’est de cette manière que nous pourrons résister et tenir ferme après avoir tout surmonté. Ce dont nous avons besoin, ce n’est pas une prétendue armure inventée par la fantaisie des hommes, c’est de l’armure que Dieu a préparée et qu’il nous donne gracieusement.

Quelles sont, au juste, les armes que Dieu nous donne pour résister aux ruses de l’ennemi et tenir ferme? Nous en trouvons la liste en Éphésiens 6.10-20. Dans ce texte très important de la Parole inspirée de Dieu se trouve notre arsenal par excellence qui nous permettra de tenir ferme. Jusqu’à présent, nous avons considéré en détail la ceinture de la vérité, puis la cuirasse de la justice. Ce matin, nous arrivons au verset 15 que je relis maintenant : « Mettez pour chaussures à vos pieds les bonnes dispositions que donne l’Évangile de paix. »

Pour bien comprendre la nature de cette arme, décortiquons en trois morceaux ce beau verset.

1. L’Évangile de paix🔗

Premièrement, arrêtons-nous aux mots « l’Évangile de paix ». Quelle belle expression! L’Évangile de paix! Le mot « Évangile » veut dire « bonne nouvelle ». La bonne nouvelle de la paix!

Le mot « paix » est un des mots préférés de l’apôtre Paul. Uniquement dans son épître aux Éphésiens, il l’utilise huit fois. Il commence son épître en disant : « Que la paix vous soit donnée de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ » (Ép 1.2). Il termine son épître en disant : « Que la paix et l’amour soient donnés aux frères avec la foi, de la part de Dieu le Père et du Seigneur Jésus-Christ » (Ép 6.23) Avez-vous soif de paix? Cherchez-vous la paix? Elle ne se trouve nulle part ailleurs qu’en Dieu! C’est lui seul qui donne la vraie paix.

Puis, au chapitre 2, l’apôtre Paul, inspiré de Dieu, nous dit des choses extrêmement importantes au sujet de la paix. Lisons ensemble Éphésiens 2.13-18. Laissons ce texte de toute beauté ensoleiller notre âme ce matin :

« Mais maintenant, en Christ-Jésus, vous qui autrefois étiez loin, vous êtes devenus proches par le sang de Christ. Car c’est lui notre paix, lui qui des deux n’en a fait qu’un, en détruisant le mur de séparation, l’inimitié. Il a dans sa chair annulé la loi avec ses commandements et leurs dispositions, pour créer en sa personne, avec les deux, un seul homme nouveau en faisant la paix, et pour les réconcilier avec Dieu tous deux en un seul corps par sa croix, en faisant mourir par elle l’inimitié. Il est venu annoncer comme une bonne nouvelle, la paix à vous qui étiez loin et la paix à ceux qui étaient proches; car par lui, nous avons les uns et les autres accès auprès du Père dans un même Esprit. »

L’apôtre Paul parle du Christ-Jésus, de son sang, de sa croix et de la paix qu’il procure. En parlant de Jésus, il dit : « C’est lui notre paix. »

Je pense ici à l’article 19 de la Confession de foi de La Rochelle qui dit :

« En nous écartant de Jésus-Christ, nous ne pourrions trouver ailleurs aucun repos, mais nous serions toujours rongés par l’inquiétude puisque, pris en nous-mêmes, nous sommes dignes d’être haïs par Dieu, et que nous ne serons jamais en paix avec lui jusqu’à ce que nous soyons fermement convaincus d’en être aimés en Jésus-Christ. »

Une personne qui fait l’expérience dans son propre cœur de la paix de Dieu qui surpasse toute compréhension, cette paix que l’Évangile proclame et apporte, cette personne est délivrée d’un très grand fardeau. La certitude d’être réconcilié avec Dieu par le sang de Jésus procure un bonheur incomparable.

Quand nous recevons l’Évangile de paix, nous sommes délivrés des plus grandes anxiétés et des plus grandes peurs. Nous échappons aux soucis liés à la culpabilité du passé, et nous sommes libres de nous engager de toute notre force aux devoirs du présent. La découverte que Dieu est en paix avec nous nous donne confiance et joie.

La paix avec Dieu et la paix de Dieu nous protègent de toute crainte, et empêchent l’inquiétude et l’angoisse de nous détruire. Ayant la ferme assurance de l’amour de Dieu, notre cœur n’est plus agité. À ceux qui vont au Seigneur par la foi, Jésus a bel et bien dit : « Vous trouverez du repos pour vos âmes » (Mt 11.29). Du repos pour vos âmes. Quelle bénédiction que d’avoir une âme en repos! « Mon âme, retourne à ton repos, car l’Éternel t’a fait du bien » (Ps 116.7).

Sur bien des pierres tombales dans les cimetières nous trouvons les lettres R.I.P. Ces lettres résument l’expression latine « Requiescat in pace », ce qui signifie « Qu’il repose en paix ». Mais le repos et la paix de l’âme, ce n’est pas quelque chose que nous pouvons recevoir uniquement après la mort, si nous sommes croyants; dès maintenant ici-bas, nous pouvons goûter au repos de l’âme qui se trouve en Jésus. Écoutons encore cette parole du Fils de Dieu : « Venez à moi, et vous trouverez du repos pour vos âmes. » C’est ce que nous procure maintenant le Fils de Dieu et son Évangile de paix. Du repos pour nos âmes.

2. De bonnes dispositions🔗

Deuxièmement, Paul dit que l’Évangile de paix « donne de bonnes dispositions ».

L’Évangile de paix donne de bonnes dispositions. On peut traduire aussi : l’Évangile de paix donne du zèle, de l’élan, de l’empressement, de la promptitude.

Du zèle et de l’élan pour quoi au juste? Si nous avons accueilli la Bonne Nouvelle de la paix avec ses multiples bienfaits, si nous jouissons de la paix avec Dieu, nous désirons entraîner d’autres personnes dans la découverte de Dieu et dans l’expérience de cette paix incomparable. Paul écrit en Romains 1.15 qu’il a un vif désir d’annoncer l’Évangile. Un vif désir.

Quand j’entends des gens qui se disent chrétiens affirmer : « Moi, l’évangélisation, ça ne m’intéresse pas! », je pense à Jean Chrysostome qui disait : « Je ne puis croire au salut de quelqu’un qui ne travaille pas au salut de son prochain! » Je pense à Charles Spurgeon qui disait : « Ne désirez-vous pas voir d’autres personnes être sauvées? Sinon, vous n’êtes pas sauvé vous-mêmes, soyez assuré de cela. » Je pense à cet autre serviteur de Dieu qui dit : « Si nous disons que nous croyons à la Parole de Dieu, mais que nous ne faisons rien au sujet des gens qui meurent et s’en vont en enfer, alors nous devrions nous demander si nous croyons vraiment » (Mark Cahill).

La Parole de Dieu nous enseigne que nous devrions toujours être prêts à témoigner de Jésus-Christ, qui nous a apporté la paix de Dieu (1 Pi 3.15). Notre désir ardent est que notre prochain s’ouvre à l’accueil de l’Évangile libérateur.

Si nous refusons de faire connaître autour de nous l’œuvre salvatrice de Dieu en Jésus-Christ, nous sommes inexcusables; nous devons nous en repentir (Déclaration de Cambridge, 1996). C’est comme si nous avions pris cette arme que Dieu nous donne, et que nous l’avions mise de côté comme si elle n’était pas utile. Nous sommes alors dans une position dangereuse.

3. Des chaussures à nos pieds🔗

Troisièmement, les bonnes dispositions que donne l’Évangile, nous devons les mettre pour chaussures à nos pieds.

Imaginez un soldat romain de l’époque de Paul : il devait parcourir de grandes distances, marcher sur toutes sortes de terrains, livrer bataille. S’il est nu-pieds, ou s’il a des chaussures qui ne sont pas appropriées, que va-t-il arriver? Il est en grande difficulté, car très bientôt il aura des ampoules aux pieds, ses pieds seront meurtris ou enflés, il ne pourra pas se battre, ni même peut-être se tenir debout, ce qui est une situation dangereuse lors d’une bataille. Il ne pourra pas manier efficacement son épée et son bouclier; il ne pourra peut-être même plus avancer ni même battre en retraite. Quel cauchemar! Même le meilleur des soldats ne peut pas combattre longtemps s’il est blessé au pied.

D’où la grande importance pour un soldat d’être bien chaussé. Faites de cuir durable, les chaussures du soldat romain étaient habituellement munies de morceaux de métal ou de petits clous pour lui donner une meilleure adhérence en terrain glissant et une meilleure stabilité lorsqu’il combattait. Ses chaussures lui permettaient d’effectuer de longues marches et lui garantissaient une bonne assise.

Les bonnes dispositions que donne l’Évangile de paix ressemblent à une paire de chaussures données à l’Église pour qu’elle se mette en marche et ne cesse d’aller de l’avant en proclamant et en vivant l’Évangile.

Une version traduit ce verset 15 de la façon suivante : « Chaussez-vous du zèle courageux que donne l’Évangile, pour annoncer la Bonne Nouvelle du salut et de la paix avec Dieu. Soyez toujours prêts à transmettre cette parole » (Parole vivante). Une autre version traduit : « Chaussez vos pieds d’élan pour l’annonce de la paix » (Chouraqui).

La Bible appelle les chrétiens des « voyageurs sur la terre » (1 Pi 2.11). Au cours de ce grand voyage, nous portons la Parole de la vie éternelle. Parfois, la route est caillouteuse, elle est remplie des cailloux de l’incrédulité et de la persécution. Les obstacles de toutes sortes abondent. Il faut escalader la colline du découragement, la colline de la peur, la colline de l’opposition, la colline du doute, et combien d’autres encore! Parfois, il y a des déserts à traverser.

Comment passer au travers de tous ces obstacles? En mettant pour chaussures à nos pieds les bonnes dispositions que donne l’Évangile de paix. En nous chaussant d’élan pour l’annonce de la paix. En exerçant le zèle courageux que donne l’Évangile pour annoncer la bonne nouvelle de la paix.

Un serviteur de Dieu a dit :

« Il y a trop de chrétiens aujourd’hui qui appartiennent à la brigade des pantouflards de la chambre à coucher. Ils préfèrent rester chez eux au coin du feu ou regarder la télévision. Ils n’ont pas envie de mettre leurs chaussures et d’infiltrer le territoire ennemi. Les premiers chrétiens étaient souvent persécutés. Plusieurs ont versé leur sang. S’ils avaient enlevé leurs chaussures, l’Église du premier siècle serait morte, et nous ne serions pas chrétiens aujourd’hui » (David Watson).

Quelqu’un a dit récemment : « Le but ultime de ma vie, c’est de me rendre à ma pension. » Tout un projet de vie glorieux!

Le Seigneur nous place sur une autre trajectoire : être messagers et instruments de paix, être ambassadeurs de la réconciliation avec Dieu! Dieu a mis en nous la parole de la réconciliation, nous dit Paul (2 Corinthiens 5.19). Quelle belle et haute vocation!

C’est très beau ce zèle que donne l’Évangile de paix! Le chrétien est appelé à sans cesse veiller, prier, aimer, agir, parler. Il doit combattre son inclination à la paresse, à la nonchalance, à l’égoïsme, à l’amour des aises. Bien chaussé des bonnes dispositions que donne l’Évangile de paix, il ne sentira pas les épines, et les pierres du chemin ne le blesseront pas. Les épreuves, les embûches de l’ennemi ne l’arrêteront pas et ne l’amèneront pas à s’apitoyer sur lui-même. Il continuera d’aller de l’avant avec persévérance. Son cœur libéré de toute culpabilité lui donnera un pied léger.

La bonne nouvelle de la paix lui donne le dynamisme qui lui permet d’avancer sur la route avec ses chaussures. Il fonce. Il ne végète pas spirituellement, mais il avance. L’Église est un mouvement, non pas un monument. On avance!

Je reviens aux premiers chrétiens dont j’ai parlé tout à l’heure. Voici ce qu’on peut lire à leur sujet en Actes 2 :

« Tous ceux qui avaient cru étaient ensemble et avaient tout en commun. Ils vendaient leurs biens et leurs possessions et ils en partageaient le produit entre tous, selon les besoins de chacun. Chaque jour avec persévérance, ils étaient au temple d’un commun accord, ils rompaient le pain dans les maisons et prenaient leur nourriture avec allégresse et simplicité de cœur; ils louaient Dieu et obtenaient la faveur de tout le peuple. »

Un serviteur de Dieu s’est demandé : Si quelqu’un écrivait l’histoire des chrétiens d’aujourd’hui, qu’est-ce qu’il écrirait? Il a dit :

« Peut-être il devrait écrire ceci : Tous les chrétiens se préoccupaient d’abord de leurs petites affaires et avaient peu de réels intérêts communs. Chacun protégeait et assurait ses possessions et ses biens de plus en plus abondants. Tous essayaient par tous les moyens d’éviter toute personne dans le besoin pour ne rien perdre de ce qu’ils considéraient à eux seuls. Ils se rassemblaient à l’église le dimanche en mettant leur sourire de façade, dissimulant un cœur rempli d’insatisfaction et de plaintes. Ils ne louaient pas sincèrement le Seigneur. C’est pourquoi le Seigneur n’avait aucune raison d’envoyer d’autres personnes dans leur assemblée » (Ed Silvoso).

Quel contraste!

Bien-aimés du Seigneur, avons-nous négligé de mettre pour chaussures à nos pieds les bonnes dispositions que donne l’Évangile de paix? Quelle empreinte laissons-nous partout où le Seigneur nous place?

En vous chaussant chaque matin, dites-vous que vous avez une bonne nouvelle de paix à répandre et à incarner aujourd’hui. Notre monde a désespérément besoin de cette bonne nouvelle.

Dans cette grande aventure, je vous rappelle en terminant ces paroles de l’apôtre Paul aux Thessalonciens :

« Priez pour nous, afin que la parole du Seigneur se répande et soit glorifiée et afin que nous soyons délivrés des hommes insensés et méchants; car tous n’ont pas la foi. Mais le Seigneur est fidèle, il vous affermira et vous gardera du Malin » (2 Th 3.1-3). Amen!

4. Pour poursuivre la méditation🔗

Lecture : Éphésiens 6.15. Comment l’Évangile de paix procure-t-il au croyant ce qu’il lui faut pour marcher sur n’importe quel terrain spirituel? Dans quel sens peut-on être prêt pour la bataille spirituelle si l’on expérimente dans son propre cœur la paix qui provient du fait d’être réconcilié avec Dieu par l’Évangile de Christ?

Lecture : Éphésiens 1.2; 2.13-18; 6.23. En lisant ces versets, réfléchissez au thème important de la paix qui prédomine dans ces passages. Vivez-vous dans cette paix? Comment l’ennemi cherche-t-il à vous voler votre paix?

Lecture : Romains 1.15; 1 Pierre 3.15. Quelles bonnes dispositions vous donne l’Évangile de paix? Avez-vous délaissé cette arme que Dieu vous donne? Comment la resaisir?

Lecture : 2 Corinthiens 5.19. Qu’est-ce que Dieu a mis en nous? Avons-nous le « droit » de la garder pour nous?

Lecture : Ésaïe 57.15-21. Avec qui le Seigneur demeure-t-il? Relisez attentivement les versets 18 et 19 : qu’est-ce que le Seigneur promet de faire ici?

Lecture : 2 Thessaloniciens 3.1-3. Quelles sont les requêtes de prière de Paul ici? Quelle assurance donne-t-il aux Thessaloniciens au verset 3?