Cette prédication sur Hébreux 11.23 a pour sujet la foi comme celle des parents de Moïse qui donne le courage de vivre dans l'obéissance à Dieu plutôt que dans la peur de l'oppression et de la persécution.

Source: Le temple de la renommée des croyants - Prédications sur Hébreux 11. 6 pages.

Hébreux 11 - La foi donne le courage d'obéir à Dieu plutôt qu'aux hommes (parents de Moïse)

« C’est par la foi que Moïse, à sa naissance, fut caché pendant trois mois par ses parents; car ils virent que l’enfant était beau et ne craignirent pas l’édit du roi. »

Hébreux 11.23
Autre texte : Exode 1.1 à 2.10

Peuple bien-aimé de Dieu,

Il faut du courage pour être chrétien. Il faut du courage animé par la foi pour vivre dans un monde rempli d’ennemis, au milieu de cette guerre spirituelle qui fait rage. L’objectif de Satan est très simple : détruire l’Église de Dieu. Sa stratégie se résume en deux mots : l’oppression et la séduction. L’oppression, c’est persécuter, frapper, emprisonner, tuer les chrétiens. La séduction, c’est amadouer, flatter, charmer, tromper les chrétiens par les tentations alléchantes, par les attraits du mensonge, par les fausses doctrines subtiles ou moins subtiles, par le plaisir éphémère du péché. L’oppression, c’est le bâton. La séduction, c’est le miel.

De tout temps, depuis la chute du diable jusqu’à aujourd’hui, partout dans le monde, le diable déploie toutes ses énergies à opprimer et à séduire l’Église de Jésus-Christ. Son but : détruire l’Église à tout prix. Il n’y est jamais totalement parvenu. Le Seigneur Jésus-Christ est tout-puissant, il va toujours garder son Église précieusement. Mais nous, chrétiens, ferons bien de toujours être sur nos gardes, engagés dans le combat. Devant la séduction, nous avons besoin de force morale, de discernement, de capacité à demeurer intègres et droits, sans compromis. Devant l’oppression, nous avons besoin de force spirituelle, de stratagèmes réfléchis et de courage pour résister, sans compromis. Le courage de la foi.

Dans notre visite guidée du temple de la renommée des croyants, en Hébreux 11, nous passons aujourd’hui à une nouvelle section. Nous passons de la Genèse au livre de l’Exode. Nous avons déjà vu les patriarches (Abraham, Isaac, Jacob, Joseph). Leur défi consistait à croire aux promesses de Dieu pour l’avenir, alors qu’ils étaient encore loin de posséder la terre promise. Nous passons maintenant à Moïse et au peuple d’Israël sous sa direction. Ils ont toujours le même défi d’espérer l’accomplissement de la promesse pour l’avenir, mais à cela s’ajoute le nouveau défi de faire confiance en Dieu pour le présent, au milieu de l’oppression venant d’un peuple ennemi, les Égyptiens. Pour Abraham, le père des croyants, la foi s’est traduite en espérance pour l’avenir. Pour Moïse, le père de la nation d’Israël, la foi s’est traduite en courage pour le présent. La foi donne le courage d’obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes.

1. La foi est active au milieu du danger🔗

Hébreux 11.23 nous dit : « C’est par la foi que Moïse, à sa naissance, fut caché pendant trois mois par ses parents. » Une action a été posée : Moïse a été caché. Toute la section des versets 23 à 29 concerne Moïse : « C’est par la foi que Moïse… » « C’est par la foi que Moïse… » De toute évidence, Moïse est le personnage principal. C’est toujours lui qui est nommé en premier. Sauf qu’au verset 23, ce n’est pas Moïse qui fait l’action, mais ses parents. Le verbe est au passif : « C’est par la foi que Moïse […] fut caché par ses parents. » Ce sont les parents qui ont eu la foi pour cacher leur bébé. Comment s’appelaient les parents de Moïse? Amrâm et Yokébed. Ils ont eu du courage, le courage de la foi.

Nous connaissons l’histoire. Après la mort de Joseph, les Israélites se sont multipliés en Égypte. Dieu les a bénis. Un nouveau pharaon a commencé à régner. Il ne connaissait ni Joseph ni ce que Joseph avait fait de bon pour l’Égypte. Le pharaon a vu de très mauvais œil la multiplication des Israélites. Satan s’est servi de lui pour opprimer l’Église. Stratégie numéro 1 : l’oppression. Première mesure oppressive : des corvées, des travaux pénibles, une servitude rigoureuse, faire des briques et des briques. Deuxième mesure oppressive : « Vous, les sages-femmes des Hébreux, faites mourir les bébés garçons à leur naissance. » Troisième mesure oppressive : un ordre du pharaon imposé à tout le peuple de Dieu. Le gouvernement central a dit à l’Église : « Vous jetterez dans le Nil tout garçon qui naîtra » (Ex 1.22).

L’Église est opprimée, mais Dieu voit, Dieu entend les douleurs de son peuple. Dieu préparait ici une grande délivrance, au milieu même de l’oppression. Une femme est devenue enceinte, elle a enfanté un fils, elle l’a caché pendant trois mois. Ce bébé s’appelait Moïse, le futur sauveur d’Israël. « C’est par la foi que Moïse, à sa naissance, fut caché pendant trois mois par ses parents. » Les parents de Moïse ont eu la foi. Oui, ils ont fait confiance en Dieu au milieu du danger. Au lieu de tuer leur bébé, ils l’ont caché pendant trois mois. Le courage de la foi au milieu de l’oppression.

La foi est gardée précieusement dans le secret de nos cœurs. Personne ne peut voir nos cœurs pour détecter si nous avons la foi ou non. Cependant, la foi se manifeste toujours en action. Nous ne pouvons pas la garder cachée. Par nos actions, les autres voient l’obéissance de la foi, ils voient le fruit qui découle de la foi. Amrâm et Yokébed ont eu foi en Dieu qui s’est transformée en action. Ils ont caché leur bébé. Ils ont pris le risque de désobéir à l’ordre du roi parce qu’ils ont fait confiance en Dieu.

Devant l’oppression, devant le bâton menaçant, la réaction naturelle est de rester figé, d’avoir peur, d’être paralysé de terreur, sans savoir quoi faire. Une autre réaction naturelle est de se plier aux ordres et d’obéir servilement, pour éviter le bâton. Les parents de Moïse n’ont pas plié, ils n’ont pas obéi. Ils ne sont pas restés paralysés de peur non plus. Ils ont agi avec courage. Le courage de la foi. Dieu leur a donné la foi et le courage nécessaires pour que Moïse, l’instrument choisi par Dieu pour délivrer son peuple, soit protégé précieusement.

Cette histoire est une image, une préfiguration de notre Sauveur. Tout comme Moïse, Jésus a été opprimé dès sa naissance. Souvenez-vous d’Hérode, le massacre des enfants de Bethléem, la fuite en Égypte. Tiens, l’Égypte! Quel rebondissement étonnant! Dieu a dirigé Joseph et Marie vers l’Égypte pour protéger Jésus de l’oppression subie en Israël (Mt 2.13-15). Dieu a donné à Joseph et Marie la foi et le courage d’agir pour que Jésus soit protégé des coups mortels de l’oppression venant de l’intérieur même du peuple de Dieu. À sa naissance, notre précieux Sauveur a été épargné pour que, plus tard, il ne soit pas épargné sur la croix. Jésus a payé très cher pour nos péchés et pour nous délivrer du diable et de toutes ses stratégies d’oppression et de séduction.

Aujourd’hui, Satan ne peut plus brandir son bâton menaçant contre Jésus-Christ. Notre Sauveur est monté au ciel dans sa gloire. Il règne sur Satan et sur tous les démons. Le Seigneur Jésus règne sur le monde et sur tous les gouvernements, même les plus oppresseurs, comme en Corée du Nord, en Chine, en Arabie saoudite et dans bien d’autres pays persécuteurs. Jésus règne au-dessus de tout gouvernement. Alors, ne craignons pas l’ennemi, ne craignons pas le bâton menaçant de l’oppresseur. Ce bâton fait rage à bien des endroits sur la planète encore aujourd’hui. Partout où se trouvent des chrétiens, Satan utilise l’oppression et la séduction, à divers degrés. Même chez nous, le bâton commence à frapper. Devant l’oppression, devant le bâton, devant l’intimidation, devant les ordres, nous aurons besoin de courage. Le courage de la foi qui ne produit ni la peur, ni la paralysie, ni l’obéissance servile aux ordres, mais qui produit l’action prudente et courageuse, en faisant confiance dans la délivrance promise par Dieu. Oui, soyons confiants que Dieu délivrera son peuple comme et quand il voudra bien.

2. La foi reconnaît la main de Dieu au milieu du danger🔗

Qu’est-ce qui a incité les parents de Moïse à mettre leur foi en Dieu et à cacher bébé Moïse? Notre texte nous dit : « C’est par la foi que Moïse, à sa naissance, fut caché pendant trois mois par ses parents; car ils virent que l’enfant était beau. » Ils virent que l’enfant était beau! Étrange raison. Évidemment, tous les parents estiment que leurs enfants sont les plus beaux au monde. Cela va de soi. Même les grands-parents, vous savez… Mais tout de même, quelle étrange raison qui a permis d’activer et d’encourager la foi d’Amrâm et de Yokébed! « C’est par la foi que […], car ils virent que l’enfant était beau. » Retournons en Exode 2.2 pour essayer d’en apprendre un peu plus : « Cette femme devint enceinte et enfanta un fils. Elle vit qu’il était beau et elle le cacha pendant trois mois. » Ce passage ne nous avance pas, l’histoire principale nous dit la même chose, sans plus.

Allons voir maintenant le livre des Actes. Le chapitre 7 du livre des Actes nous rapporte le long discours d’Étienne, au moment où Étienne subissait lui-même le terrible bâton de l’oppression, juste avant d’être lapidé par les juifs. En fait, dans son cas, le bâton s’est transformé en roches… Étienne a subi l’oppression, lui aussi, à cause de sa foi, parce qu’il était coupable d’être chrétien. Écoutons-le parler de Moïse : « À cette époque naquit Moïse, qui était beau devant Dieu. Il fut nourri trois mois dans la maison de son père » (Ac 7.20). Moïse était beau devant Dieu! Sa beauté n’était pas seulement visible aux yeux des hommes : un beau petit bébé avec une belle apparence physique. En fait, sa beauté était avant tout visible aux yeux de Dieu, devant Dieu. Il plaisait au regard de Dieu.

Bien sûr, Moïse était un pécheur corrompu dès sa conception, comme nous tous. Par nature, il était entièrement désagréable aux yeux de Dieu. Mais parce que Dieu l’avait placé dans son alliance de grâce, par pure grâce, et parce que Dieu l’avait choisi pour être l’instrument privilégié pour délivrer son peuple de l’oppression, Moïse avait une beauté spirituelle, une beauté devant Dieu. Voilà pourquoi ses parents l’ont trouvé beau. Cette beauté devant Dieu s’est mystérieusement reflétée dans les yeux de ses parents.

En d’autres mots, Amrâm et Yokébed ont reconnu d’une façon mystérieuse que leur enfant allait jouer un rôle spécial et important dans le plan de Dieu. L’Éternel avait déjà depuis longtemps promis la délivrance de l’Égypte. Dieu en avait fait la promesse à Abraham (Gn 15.13-14). Les parents de Moïse ont cru dans cette promesse. Et quand ils ont vu leur bébé, ils ont reconnu la faveur de Dieu : la délivrance est pour bientôt! D’où l’importance de cacher cet enfant, de protéger ce bébé. À travers la beauté spirituelle de leur enfant, les parents de Moïse ont reconnu la main de Dieu agissante au milieu du danger. Ils ont donc été encouragés dans leur foi, ce qui a produit le courage de cacher bébé Moïse. N’est-ce pas magnifique?

Et n’est-ce pas d’autant plus magnifique quand nous pensons à Jésus-Christ, notre Sauveur? Sa beauté devant Dieu est parfaite! Sa gloire est éternelle! Son éclat est resplendissant! Voyons-nous cette beauté? Quand Étienne a reçu des roches par la tête, il n’a pas regardé aux roches, il n’a pas regardé aux oppresseurs, il n’a pas regardé à Satan derrière les oppresseurs. Étienne a regardé à la beauté de Jésus. « Mais Étienne, rempli d’Esprit Saint, fixa les regards vers le ciel et vit la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu » (Ac 7.54). Jésus, dans sa splendeur et dans toute sa puissance, s’est manifesté à Étienne. Jésus s’est présenté à lui debout, les bras ouverts pour accueillir dans sa gloire son serviteur opprimé! Quand nous sommes sous une oppression quelconque, au travail, à l’école, sur la rue, dans nos familles, à l’Église même, intimidés ou ridiculisés à cause de notre foi, ne regardons pas au bâton ni à ceux qui tiennent le bâton. Regardons à la beauté et à la gloire de Jésus. Il détient tout pouvoir et toute autorité, même sur nos oppresseurs. Il est notre délivrance.

Et ensuite, regardons aussi à nos frères et sœurs dans la foi, et en particulier à ceux qui sont persécutés à cause de leur foi. Ils sont beaux, eux aussi, aux yeux de Dieu! Vous savez, il y a beaucoup de chrétiens persécutés aujourd’hui dans plusieurs pays à travers le monde. Regardons aussi à nos enfants, aux enfants de l’alliance. Regardez comme ils sont beaux spirituellement devant Dieu! Oh, certainement, ce sont des pécheurs corrompus, très laids spirituellement et moralement en eux-mêmes. Cela se manifeste d’ailleurs très vite dans leurs paroles et dans leur comportement, au point où, bien des fois, nous commençons à les trouver plutôt laids. Mais ce sont des enfants de l’alliance, beaux et précieux aux yeux de Dieu. La beauté et la gloire de Jésus les illuminent et se reflètent sur leurs visages. Protégeons-les du bâton. Cachons-les du danger. Nourrissons-les de la bonne Parole de Dieu.

Ne soyons pas naïfs. Il ne faut jamais être naïfs avec Satan. Soyez sobres. Veillez et priez. « Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer; résistez-lui, fermes en la foi » (1 Pi 5:8). Soyez fermes dans la foi et courageux à protéger les enfants de l’alliance de tout danger spirituel, moral et physique. Cette parole s’adresse non seulement aux parents ici présents, mais aussi aux grands-parents, aux oncles, aux tantes, aux frères, aux sœurs, aux cousins, aux cousines, aux frères et sœurs dans la foi. Soucions-nous des plus vulnérables parmi le peuple de Dieu. Quand nous regardons à la beauté de Jésus-Christ, et ensuite quand nous regardons à la beauté du peuple de l’alliance, et quand nous reconnaissons à travers tout cela la main de Dieu au milieu du danger, n’est-ce pas un puissant stimulant pour notre foi? Un stimulant qui nous dit : soyons braves et courageux!

3. La foi ne craint pas les hommes au milieu du danger🔗

La foi d’Amrâm et de Yokébed a reçu une deuxième dose de stimulant : « C’est par la foi que […], car ils […] ne craignirent pas l’édit du roi. » Les parents de Moïse ont agi courageusement parce qu’ils n’ont pas eu peur des ordres du roi. Le puissant pharaon était très sérieux quand il a donné son ordre. En désobéissant à son ordre, les parents de Moïse risquaient la mort, non seulement la mort de leur enfant, mais leur propre mort également. Et pourtant, cela ne leur faisait pas peur. Ils n’avaient pas peur des menaces du bâton. Ceux qui craignent Dieu ne tremblent pas devant les paroles intimidantes des hommes. Ils tremblent uniquement à l’écoute de la Parole de Dieu.

Trop de chrétiens occidentaux dorlotés dans la ouate sont des peureux et des poltrons qui se laissent intimider par le premier venu. Leurs copains ou leurs copines de classe, leurs collègues de travail, leur patron, leurs voisins, même les membres de leur famille leur font peur. Alors, quand c’est le gouvernement qui parle, imaginez s’ils auront le courage de rester droits, debout pour leur foi…

Ici, dans notre pays, c’est peut-être surtout la stratégie satanique numéro 2 qui est bien en place : la séduction par le miel. Et ça marche bien! Cette stratégie remporte beaucoup de succès. Cependant, si nous prenons le temps de regarder un peu attentivement autour de nous, nous pouvons nous apercevoir que la stratégie numéro 1 commence à gagner du terrain peu à peu. Si nous ne sommes pas vigilants, si nous nous laissons étourdir par le miel, le bâton risque fort un jour de nous surprendre.

Tel chrétien propriétaire d’une imprimerie s’est fait mettre en prison parce qu’il avait refusé de servir un client qui voulait faire des photocopies d’un document en faveur de l’homosexualité. Il a été reconnu coupable d’homophobie. Il ne voulait pas payer l’amende. Alors, en prison! Tel médecin chrétien ou telle infirmière chrétienne pourrait risquer de perdre son poste s’il refuse ou si elle refuse de participer à des avortements. Tel scientifique chrétien perd son poste d’enseignant parce qu’on a découvert qu’il est un affreux fondamentaliste créationniste.

Pensons au cours d’éthique et culture religieuse obligatoire pour tous au Québec. Vous êtes tous obligés d’enseigner à vos enfants que Bouddha, Allah, Krishna sont des dieux aussi bons que Jésus-Christ. De la première année jusqu’à la fin du secondaire. Vous êtes obligés, sinon… Sinon quoi? Le bâton? Les amendes? La prison? L’expulsion? Qu’est-ce qui nous pend au bout du nez si nous osons désobéir aux ordres du gouvernement? Curieux, n’est-ce pas, que Satan s’en prenne autant aux enfants les plus faibles et les plus vulnérables, surtout, bien sûr, aux enfants de l’alliance, ceux qui sont beaux aux yeux de Dieu. Ne soyons pas naïfs. Notre ennemi ne badine pas. Il est très sérieux dans son entreprise maléfique de destruction de l’Église.

La foi ne craint pas les hommes au milieu du danger. Les ordres du roi, les ordres du gouvernement, les ordres du patron, les ordres de notre enseignant à l’école, les ordres de notre conjoint non chrétien. Nous pouvons et nous devons leur désobéir quand ils nous demandent des choses contraires à la Parole de Dieu. Nous ne pouvons pas leur résister par nos propres forces, c’est impossible. Nous pouvons par la foi en Jésus-Christ et par la force de son Esprit Saint. Dieu produit dans nos cœurs la foi par sa Parole et par son Esprit. Dieu fortifie notre foi par sa Parole, par son Esprit et par les sacrements. Cette foi produit du courage, même devant les plus puissants de ce monde. Mais pour cela, il ne faut pas regarder au bâton. Il faut regarder à Jésus, notre Sauveur, à sa beauté parfaite, à sa gloire rayonnante, à son autorité toute-puissante. Il détient tout pouvoir et toute autorité dans le ciel et sur la terre.

Maranatha! Viens bientôt, Seigneur Jésus. Viens accorder la délivrance à ton Église! Amen.