Cette prédication sur Hébreux 11.20 a pour sujet la foi comme celle d'Isaac qui fait confiance en Dieu pour l'avenir, à cause de la providence insondable de Dieu, de sa grâce admirable et de son plan immuable.

Source: Le temple de la renommée des croyants - Prédications sur Hébreux 11. 6 pages.

Hébreux 11 - La foi fait confiance en Dieu pour l'avenir (Isaac)

« C’est par la foi qu’Isaac bénit Jacob et Ésaü en vue de l’avenir »

Hébreux 11.20
Autre texte : Genèse 27.1 à 28.9

Chers frères et sœurs en Jésus-Christ,

Nous allons très bientôt commencer une nouvelle année. Que nous réserve cette nouvelle année? Peut-être avons-nous des doutes concernant l’avenir? Avons-nous des craintes au niveau santé, travail, études, famille, Église, société? Sommes-nous prêts à entreprendre cette nouvelle année en faisant confiance en Dieu?

L’histoire d’Isaac est là pour nous encourager. Hébreux 11.20 nous dit : « C’est par la foi qu’Isaac bénit Jacob et Ésaü en vue de l’avenir. » Un verset très simple. Isaac a cru dans les promesses de Dieu. Il a béni ses deux fils en conséquence, il a fait confiance en Dieu pour leur avenir. Cette parole nous encourage à regarder vers l’avenir avec foi et confiance en Dieu. Un verset très simple, sauf que, dans la Genèse, l’histoire d’Isaac est beaucoup plus complexe. L’auteur de l’épître aux Hébreux résume en une ligne une histoire complètement tordue. Dieu, dans sa grâce étonnante, prend des situations toutes tordues et les utilise pour sa gloire. La foi fait simplement confiance en Dieu pour l’avenir. Cette foi se base sur :

1. La foi se base sur la providence insondable de Dieu🔗

« C’est par la foi qu’Isaac bénit… » Isaac avait la foi. Son père Abraham avait reçu les grandes promesses de Dieu, incluant la promesse du salut. Abraham a enseigné à son enfant la Parole de Dieu, comme tout parent chrétien, d’ailleurs, devrait faire. En plus, Dieu est venu parler directement à Isaac pour lui confirmer ses promesses :

« Je suis le Dieu d’Abraham, ton père; sois sans crainte, car moi je suis avec toi; je te bénirai et je multiplierai ta descendance, à cause de mon serviteur Abraham » (Gn 26.24-25).

Isaac a cru dans la promesse. Après plusieurs années de mariage, sa femme Rébecca était toujours sans enfant. Isaac a mis sa foi en action. Il a supplié l’Éternel de lui donner un enfant, selon la promesse de Dieu (Gn 25.21). Oui, Isaac avait la foi, mais sa foi était faible, confuse, mélangée avec le péché.

Rébecca est devenue enceinte, elle portait des jumeaux. Dieu dit à Rébecca :

« Deux nations sont dans ton ventre, deux peuples se sépareront au sortir de tes entrailles : un de ces peuples sera plus fort que l’autre, et le plus grand sera assujetti au plus petit » (Gn 25.23).

Avant même leur naissance, Dieu a clairement révélé son plan d’avenir pour ces deux enfants. Jacob, le plus jeune, allait devenir le peuple d’Israël, le peuple de l’alliance. Ésaü, l’aîné, allait donner naissance aux Édomites, qui seraient soumis à Israël. Le peuple d’Israël allait recevoir une bénédiction spéciale. Le Sauveur devait venir à travers Jacob.

Il y avait de gros problèmes dans la famille d’Isaac. C’est ce qu’on appelle une famille dysfonctionnelle. Isaac préférait Ésaü; Rébecca préférait Jacob. Isaac est devenu vieux et aveugle, il a estimé que c’était le temps de transmettre la bénédiction. Il s’est arrangé pour que ce soit Ésaü qui la reçoive et non pas Jacob. Isaac voulait faire cela en cachette, sans consulter sa femme ni son deuxième fils. Pourtant, la bénédiction était une affaire familiale. « Mon fils Ésaü, va à la chasse, prépare-moi un bon repas, et ensuite je te bénirai. » Rébecca a entendu la conversation, ça ne faisait pas son affaire, elle a organisé un complot de connivence avec Jacob.

Nous connaissons bien l’histoire. Jacob s’est déguisé en Ésaü. Il a mis des peaux de chèvre sur ses mains et dans son cou pour avoir l’air aussi poilu que son frère, mais Isaac avait des soupçons. « Qui es-tu, mon fils? C’est la voix de Jacob, mais ce sont les mains d’Ésaü. » Isaac se méfiait, il a tout fait pour s’assurer que ce soit Ésaü qui reçoive la bénédiction et non pas Jacob. Isaac n’a jamais eu l’intention de bénir Jacob. Alors, comment l’auteur d’Hébreux 11 peut-il dire que « c’est par la foi qu’Isaac bénit Jacob »?

Oui, Isaac avait la foi. Il croyait vraiment dans la promesse de Dieu. Il était convaincu que Dieu lui avait donné l’autorité de bénir son fils. Il était conscient de prononcer une parole prophétique efficace et puissante concernant l’avenir de son fils. Isaac avait la foi en Dieu, mais sa foi était mal orientée, elle était confuse, elle était même teintée de révolte contre Dieu. Isaac ne voulait surtout pas que la volonté de Dieu concernant ses deux enfants s’accomplisse. Mais Dieu était là, au milieu de cette famille tordue et dysfonctionnelle.

Rébecca et Jacob ont triché, trompé, menti. En même temps, c’est la providence insondable de Dieu qui était en action. Tout à coup, Isaac s’est aperçu qu’il avait été trompé. Quel choc! Il a été saisi d’un trouble extrême. Et qu’est-ce qu’il a fait? A-t-il essayé de changer sa bénédiction? Non, il a dit : « J’ai béni Jacob, alors il sera béni » (Gn 27.33). Isaac a bien vu que Dieu était derrière tout cela. Lui qui était aveugle, il a vu par la foi la providence mystérieuse de Dieu en action devant lui. Isaac savait qu’il avait prononcé une parole prophétique puissante au nom de l’Éternel.

Cela nous fait penser à cette parole de l’apôtre Pierre :

« Ce n’est nullement par une volonté humaine qu’une prophétie a jamais été présentée, mais c’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu » (2 Pi 1.21).

Isaac l’a bien compris et il a cru! Il a même prononcé une deuxième fois sa bénédiction à Jacob, cette fois de manière consciente et délibérée, et avec encore plus de richesse.

« Que le Dieu tout-puissant te bénisse, te rende fécond et te multiplie, afin que tu deviennes une foule de peuples! Qu’il te donne la bénédiction d’Abraham, à toi et à ta descendance avec toi » (Gn 28.3-4).

Oui, c’est vraiment par la foi qu’Isaac a béni Jacob en vue de l’avenir. Une foi purifiée par le sang de Jésus. Une foi corrigée, réorientée par le Saint-Esprit. Dieu, dans sa providence insondable, s’est servi d’une situation toute tordue pour accomplir son plan! « Notre Dieu est au ciel, il faut tout ce qu’il veut » (Ps 115.3).

Quel encouragement pour nous! Un encouragement à faire confiance en Dieu, même quand nos vies sont toutes tordues et que tout va de travers. Notre foi est réelle, mais notre foi est faible. Notre foi est souvent confuse, mélangée avec le péché. Nous sommes « dysfonctionnels », nous aussi, à bien des égards. Comment Dieu peut-il faire son œuvre dans nos vies, dans nos familles, dans l’Église? Comment peut-il accomplir son grand projet missionnaire à travers des personnes aussi faibles et corrompues que nous? Comment pouvons-nous glorifier Dieu par nos vies? C’est le genre de questions que nous nous posons peut-être.

Le Seigneur nous appelle à lui faire confiance pour l’avenir. Jésus est à l’œuvre par sa Parole et par son Esprit, malgré nos péchés. Il conduit toutes choses vers son but, par sa providence insondable. Il se sert même de situations toutes tordues pour purifier et fortifier notre foi. Il est en train d’accomplir les promesses de son alliance dans nos vies, dans la vie de nos enfants et dans son Église. Oui, faisons confiance dans la providence insondable de Dieu!

2. La foi se base sur la grâce admirable de Dieu🔗

Isaac méritait-il la faveur de Dieu? Pas du tout! Il était rebelle et désobéissant. Isaac voulait donner la meilleure bénédiction à Ésaü plutôt qu’à Jacob, alors qu’il savait très bien ce que Dieu voulait.

En plus, Isaac s’est très bien aperçu de la vie spirituelle que menaient ses deux fils. Jacob était un homme droit, nous dit Genèse 25.27. Nos Bibles traduisent le mot « droit » par « tranquille », Jacob était un homme tranquille, mais partout ailleurs dans l’Ancien Testament, le même mot est traduit par « droit », « intègre ». Noé était droit. Job était droit. Jacob était droit. Ça peut paraître surprenant, nous avons l’image d’un Jacob fourbe et trompeur, mais pendant 77 ans, pendant toutes ces années avant sa tromperie, Jacob était un homme droit. C’est ce que la Bible nous dit. (Pour arriver à 77 ans, faire le calcul à partir de Gn 30.25; 31.38,41; 41.46,53; 45.6; 47.9).

Tandis qu’Ésaü s’était marié avec deux femmes païennes, ce qui a beaucoup déplu à ses parents. Ésaü a méprisé son droit d’aînesse, il a rejeté Dieu. « Veillez à ce que personne ne soit débauché ni profanateur comme Ésaü, qui pour un seul plat vendit son droit d’aînesse » (Hé 12.16). Ésaü était débauché, profanateur, ennemi de Dieu.

Et pourtant, malgré tout, son père Isaac voulait bénir Ésaü à la place de Jacob. C’est grave! Isaac voulait renverser la Parole de Dieu. Il savait que Dieu lui avait donné l’autorité de transmettre une bénédiction irréversible. Isaac voulait s’en servir pour déshériter Jacob, celui-là même que Dieu avait choisi. Au fond, en voulant bénir Ésaü, Isaac a essayé de donner aux païens une domination éternelle sur le peuple de l’alliance. Isaac voulait que les païens dominent sur les enfants de Dieu! S’il avait réussi, imaginez les conséquences désastreuses pour le reste de l’histoire jusqu’à nous aujourd’hui : le monde incroyant dominant sur l’Église! Isaac a péché gravement. Il a mis en péril le plan rédempteur de Dieu.

Et qu’en est-il de Rébecca et de Jacob? « C’est par la foi qu’Isaac bénit Jacob » Jacob méritait-il la faveur de Dieu? Pas du tout! Eux aussi, Rébecca et Jacob, ont cru dans la promesse de Dieu. Eux aussi avaient la foi en Dieu, mais leur foi, elle aussi, était faible, confuse et mélangée avec le péché. Ils croyaient que Dieu avait donné une grande promesse à Isaac. Ils croyaient que la promesse du Sauveur devait être transmise par la bénédiction d’Isaac. Ils croyaient même que c’est Jacob qui devait recevoir cette bénédiction. Ce qui était excellent! Mais au lieu de faire pleinement confiance en Dieu et de marcher droits et intègres, ils ont voulu prendre les choses en main. Jacob a menti, il a triché, il a trompé, il a essayé de manipuler Dieu pour arriver à ses fins. La famille d’Isaac était vraiment dysfonctionnelle. Le péché s’est multiplié dans sa famille.

Satan leur a fait croire qu’on pouvait pécher sans subir de conséquences. Satan nous fait croire que nous pouvons pécher sans subir de mauvaises conséquences. Nous pensons que nos péchés ne nous causeront jamais vraiment de tort et même qu’ils pourront nous faire du bien. Soyons certains que nos péchés finissent toujours par nous rattraper. La famille d’Isaac en est la preuve. Le péché d’Isaac a eu des conséquences profondes sur sa femme et sur ses enfants. Le péché de Rébecca et de Jacob a eu des conséquences déchirantes sur le reste de leur vie. Jacob a dû s’enfuir, hanté par la peur de se faire tuer par Ésaü. Leur vie est un miroir. Leur vie nous enseigne que nous sommes affligés par le même péché, et que nous méritons le juste jugement de Dieu. Nous méritons tous le châtiment temporel et éternel le plus fort. Alors, quel espoir nous reste-t-il pour l’avenir?

Regardons encore la famille d’Isaac. Le Seigneur Jésus, dans sa grâce, est allé les visiter. Le Saint-Esprit s’est frayé un chemin au milieu de cette situation toute tordue. Dieu a dit : « J’ai aimé Jacob et j’ai haï Ésaü » (Ml 1.2-3; Rm 9.13). Mystère insondable! Nous ne pouvons pas comprendre la pensée de Dieu. Elle est trop profonde. C’est pourtant Dieu qui nous le dit dans sa Parole. Depuis toute éternité, Dieu avait choisi de sauver Jacob et de laisser Ésaü dans son péché. En Romains 9, Paul prend cet exemple pour montrer que le salut ne dépend aucunement de nous ou de nos œuvres. Le salut dépend entièrement de Dieu qui choisit, qui appelle et qui sauve par Jésus-Christ. Dieu fait miséricorde à qui il fait miséricorde, Dieu a compassion de qui il a compassion. « Notre Dieu est au ciel, il fait tout ce qu’il veut » (Ps 115.3). Grâce admirable de Dieu! Grâce libre et souveraine de notre Sauveur!

La chose la plus étonnante dans cette histoire, c’est qu’Isaac a finalement béni Jacob. Dieu tirait les ficelles pour parvenir à son but. Malgré le péché d’Isaac, malgré sa préférence pour Ésaü, malgré le péché de Rébecca, malgré le mensonge, la tromperie, la manipulation de Jacob, Isaac est finalement devenu convaincu que la bénédiction de Dieu était pour Jacob. « Je l’ai béni, alors il sera béni » (Gn 27.33). « Que le Dieu tout-puissant te bénisse. […] Qu’il te donne la bénédiction d’Abraham, à toi et à ta descendance » (Gn 28.3-4). Oui, vraiment, « c’est par la foi qu’Isaac bénit Jacob en vue de l’avenir » (Hé 11.20). La foi d’Isaac était fondée sur la grâce admirable de Dieu. Contre toute attente, Isaac est devenu convaincu que Jacob avait un avenir magnifique parce que Dieu lui avait fait grâce. Et vous savez, cette histoire nous concerne. L’avenir de Jacob contenait la promesse du Sauveur. À travers la lignée de Jacob, Jésus-Christ est venu pour accomplir notre salut, par pure grâce.

Comment envisageons-nous l’année qui commence? Comment voyons-nous notre avenir? Malgré tous nos péchés, Jésus a promis de nous visiter, de nous bénir et de nous faire grâce. C’est par la foi seulement que nous devenons convaincus que Dieu nous réserve un avenir magnifique, une promesse qui dépend uniquement de sa grâce. Au milieu de nos vies toutes tordues et souvent dysfonctionnelles, le Saint-Esprit est capable de se frayer un chemin pour nous rejoindre, nous transformer et purifier notre foi. Faisons-lui confiance. Ayons foi dans la grâce admirable de Dieu en Jésus-Christ.

3. La foi se base sur le plan immuable de Dieu🔗

Avez-vous remarqué? En Hébreux 11.20, nous lisons cette chose intrigante : « C’est par la foi qu’Isaac bénit Jacob et Ésaü en vue de l’avenir. » Pourtant, en Genèse 27, quand Ésaü est arrivé chez son père, Isaac s’est aperçu de la tromperie, il a été bouleversé, mais il n’a pas changé sa bénédiction. Isaac a refusé catégoriquement de donner la bénédiction à Ésaü. Pourtant, Ésaü a insisté, il a supplié son père. « N’as-tu pas de bénédiction en réserve pour moi? » (Gn 27.36). Remarquez que jamais Ésaü n’a regretté ses péchés, son mépris de Dieu. Jamais Ésaü ne s’est repenti pour se tourner vers Dieu dans la foi. Son cœur n’était pas transformé. Tout ce qui l’intéressait, c’étaient les avantages matériels rattachés à la bénédiction. N’est-ce pas la tragédie de tellement de gens? Ils espèrent peut-être que Dieu leur donnera des avantages matériels, tout en continuant de vivre dans le péché et de se moquer de Dieu, sans jamais se repentir et sans croire en Jésus pour leur salut.

Finalement, Isaac a dit à Ésaü :

« Ta demeure sera privée des ressources de la terre et de la rosée du ciel, d’en haut. Tu vivras de ton épée et tu seras asservi à ton frère; mais en errant librement ça et là tu briseras son joug de dessus ton cou » (Gn 27.39-40).

Isaac avait aussi une parole prophétique pour Ésaü. Ce n’était pas une bénédiction spirituelle ni la promesse du Sauveur, mais c’était tout de même une bénédiction générale, assortie de conflits et de conditions difficiles. Oui, c’est par la foi qu’Isaac a prononcé cette parole prophétique sur Ésaü en vue de l’avenir.

N’est-ce pas remarquable? Depuis des années, Isaac avait préféré Ésaü, c’était son chouchou. Pourquoi? Pas pour des raisons spirituelles, mais parce qu’Ésaü lui ramenait du bon gibier et lui préparait de succulents repas. Isaac avait la foi, l’Éternel était son Dieu, mais sa foi était faible, confuse, mélangée avec le péché. Son ventre était devenu aussi son dieu. Au moment où Isaac pensait avoir enfin transféré la grande bénédiction sur Ésaü, tout à coup, par la providence insondable de Dieu, les choses ont tourné tout autrement. Sa foi faible et confuse a été corrigée, purifiée. Isaac s’est enfin soumis au plan de Dieu. Malgré son ventre, malgré ses désirs coupables, Isaac a finalement accepté le plan de Dieu pour son fils préféré, Ésaü. Par la foi, Isaac est devenu convaincu que le plan de Dieu pour Ésaü allait s’accomplir, même si cet avenir était très différent de ce qu’Isaac avait souhaité. La victoire de la foi sur la chair! La victoire de la foi sur le péché! La victoire de la foi sur le diable! La victoire de la foi qui fait simplement confiance au plan de Dieu.

Oui, le plan de Dieu est immuable, il ne change pas. « Notre Dieu est au ciel, il fait ce qu’il veut » (Ps 115.3). Même si nous essayons de changer son plan, même si le diable essaie de toutes ses forces de renverser le plan de Dieu, son plan demeure pour toujours. Quel grand encouragement pour l’avenir! Pour la nouvelle année qui va bientôt commencer! Au cours de cette année, les choses ne tourneront pas toujours comme nous souhaitons. Il y aura des joies, mais aussi peut-être des échecs et des frustrations. Ayons confiance que Dieu est puissant, fidèle et bon pour accomplir mystérieusement son plan immuable. Faisons-lui confiance, sa volonté est bonne, sage et parfaite. Nous ne comprenons pas toujours la sagesse de Dieu, mais nous avons l’assurance qu’en Jésus-Christ, toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. Laissons le Saint-Esprit purifier, corriger, réorienter notre foi. Par la foi en Jésus-Christ, faisons confiance en notre Dieu pour l’avenir. Amen.