Cette méditation sur Hébreux 9.27-28 a pour sujet la mort qui est définitive: notre mort sera suivie du jugement, mais la mort du Christ a payé la dette de nos péchés et ne nous condamnera pas lors de son retour.

Source: Aujourd'hui devant Dieu. 2 pages.

Hébreux 9 - Toute mort est définitive!

18jour du 5mois

« Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois — après quoi vient le jugement — de même aussi le Christ, qui s’est offert une seule fois pour porter les péchés d’un grand nombre, apparaîtra une seconde fois, sans qu’il soit question de péché, pour ceux qui l’attendent en vue de leur salut. »

Hébreux 9.27-28
Lecture : Hébreux 9.24-28

L’auteur de la lettre aux Hébreux a recours à une illustration pour démontrer la finalité de la mort du Christ. Tout homme naît, vit et meurt une seule fois. Ensuite, il n’y a rien d’autre que le jugement de Dieu. Nous sommes tous soumis à cette loi inexorable. Christ aussi naquit, vécut et mourut une seule fois. Et cela ne pourra jamais se répéter. Lorsque nous le reverrons, sa venue n’aura plus rien à faire avec le péché en ce qui nous concerne, nous autres croyants. Il viendra pour nous accueillir dans la vie éternelle. Par sa mort, notre péché a été ôté. De même que notre mort ne saurait se répéter, de même sa mort est définitive. Toute mort est une réalité définitive. Ce sont là des mots qui résonnent comme une menace. Mais n’en soyons pas confus. Prenons courage. La mort du Christ était la somme payée, totalement et définitivement, pour nos péchés. Cette dette a donc été effacée.

Comment attendons-nous son retour, lorsqu’il reviendra pour juger les vivants et les morts? Nous traitera-t-il comme si nous étions encore des pécheurs condamnés? Certainement pas. Il vint la première fois pour sauver les pécheurs condamnés. Il s’occupa parfaitement de cette mission et il l’accomplit, mourant selon le dessein éternel de Dieu. Cette mort ne saurait se répéter. Nos péchés ne seront plus jamais châtiés à l’avenir, lors du jugement qui s’approche. La mort est une réalité définitive; celle du Christ l’a été aussi. Louange et reconnaissance donc à notre Sauveur.

Prière

Quel sera le langage que je pourrai emprunter pour te rendre grâces, toi, l’ami le plus précieux? Pour ta mort dans la peine et la souffrance, pour ton infinie compassion, fais-moi tien pour toujours, et s’il advient que je défaille, Seigneur, ne m’abandonne jamais, plus jamais. Amen.