L'occultisme à la lumière de la Bible
L'occultisme à la lumière de la Bible
« L’occultisme ne peut rien contre Jacob ni la divination contre Israël. »
Nombres 23.23
- Introduction
- Les raisons de l’escalade de l’occultisme
-
Les diverses formes de l’occultisme
a. La magie (pouvoir)
b. La divination (connaissance)
c. Le spiritisme (communication)
d. L’occultisme doctrinal (philosophie) - Le danger réel de l’occultisme
- Dieu interdit à son peuple de pratiquer l’occultisme
- Les raisons de cette interdiction
- La solution de remplacement à l’occultisme
-
Marcher dans la lumière et fuir l’obscurité
Données bibliques sur l’occultisme
1. Introduction⤒🔗
- « Occulte » signifie caché, secret, mystérieux, au-delà de la connaissance ordinaire.
- Ce mot désigne souvent des phénomènes concernant la magie et le spiritisme.
- L’occultisme est pratiqué depuis très longtemps : Égypte, Canaan, Babylone, Israël, etc.
- L’occultisme à notre époque est très semblable à celui pratiqué à l’époque de l’AT.
- Aujourd’hui en Occident, Satan n’a plus besoin d’œuvrer de manière cachée : livres, romans, théâtre, cinéma, émissions radio, télévision, internet, matériel scolaire, petites annonces nous font voir à profusion les multiples œuvres des ténèbres qui se propagent sur terre.
- La curiosité et la fascination des jeunes risquent de les attirer dans le piège de l’occultisme.
- Il existe beaucoup de charlatans, de supercheries et de « trucs » mensongers.
- La pratique de l’occultisme, interdite par Dieu, est toutefois extrêmement dangereuse.
2. Les raisons de l’escalade de l’occultisme←⤒🔗
- La stérilité du matérialisme (la réalité se limiterait à ce qu’on peut toucher et mesurer).
- Le besoin de l’homme d’exprimer ses instincts religieux profonds de façon perverse après avoir perdu sa relation avec son Créateur (besoin d’adorer quelque chose de plus grand que soi; rejet du Créateur pour le remplacer par l’adoration d’idoles qui sont des créatures; R. 1).
- Le déclin de l’Église en Occident (libéralisme, rejet du miraculeux, incertitude, vide spirituel).
- La soif de sensations fortes (la vie est monotone; l’alcoolisme et la toxicomanie sont néfastes).
- L’insécurité face à l’avenir, la recherche d’un but dans la vie, d’une explication métaphysique.
- Le besoin de consolation et de communication avec des amis décédés.
- La recherche du pouvoir, d’un contrôle sur Dieu, sur les autres, sur notre existence.
- Le désir d’appartenir à un groupe dans une société qui se désintègre (attrait des sociétés secrètes).
- L’intérêt pour les traditions anciennes (vieux paganisme scandinave, égyptien, etc.).
- La séduction du diable et son pouvoir d’égarement mensonger (2 Th 2.9-11; Ap 9.18-21).
3. Les diverses formes de l’occultisme←⤒🔗
- Par définition, « l’occulte » est difficile à identifier, à décrire et à classifier.
- La Bible ne nous encourage pas à la curiosité : il est inutile et malsain de connaître tous les détails de cette idolâtrie, car nous pourrions être tentés d’imiter les pratiques des païens (Dt 12.29 à 13.1).
- La Bible nous révèle l’existence de diverses formes d’occultisme afin de :
- nous enseigner comment aimer Dieu et mettre notre confiance en lui seul;
- nous mettre en garde contre les pièges mensongers de l’idolâtrie et ses conséquences;
- nous réjouir dans la victoire de Dieu en Jésus-Christ.
a. La magie (pouvoir)←↰⤒🔗
- La magie prétend pouvoir modifier le cours des événements.
- Le magicien n’admet pas qu’une autre volonté que la sienne limite son pouvoir.
- Le magicien refuse de tenir compte de Dieu et des lois scientifiques qu’il a établies dans sa création et prétend les plier à sa fantaisie.
- La magie vise à entrer en communion avec des « esprits » ou des forces occultes pour se les rendre favorables afin de les soumettre à son action.
- Moyens : formules incantatoires, cérémonies complexes, envoûtements, danses rituelles, invocations de puissances surnaturelles, amulettes, talismans, sortilèges, enchantements, pactes sataniques, etc.
- Le magicien croit aux vertus magiques des chiffres, des mots, des formules, des gestes, de certains objets (fer à cheval, croix, pierres précieuses, numérologie).
- Le magicien prétend conjurer le mauvais sort, guérir les malades, agir à distance sur une personne, sur un groupe de personnes ou sur le déroulement d’un événement.
- La magie « noire » cherche à subjuguer son ennemi. La magie « blanche » cherche à aider son ami. Les deux sont cependant une même tentative de contrôler au moyen de cérémonies cachées. Les deux recherchent le pouvoir en invoquant des esprits de l’univers qui sont étrangers au Dieu tout-puissant.
- La magie est opposée à la vraie religion qui accepte de se soumettre à la volonté de Dieu.
b. La divination (connaissance)←↰⤒🔗
- Elle cherche à connaître des événements passés, présents ou futurs de façon surnaturelle.
- La vie serait en partie contrôlée par les étoiles ou des forces en dehors de notre contrôle, ce qui a pour effet de diminuer notre responsabilité personnelle.
- Moyens : astrologie (horoscope), chiromancie (lignes de la main), cartomancie, jeu de tarots, boule de cristal, inspection des entrailles, cléromancie (lire la bonne aventure par le sort jeté avec des dés ou des fèves), marc de café, nécromancie (consulter les morts en vue de connaître l’avenir), etc.
- Ces pratiques font plus ou moins appel à la clairvoyance (la perception sans l’intermédiaire d’aucun sens connu, la prévision sans indice rationnel), à l’utilisation de moyens « techniques » (cartes, boule de cristal, position des astres) et de rites magiques (formules, prières, gestes).
c. Le spiritisme (communication)←↰⤒🔗
- Le spiritisme est une tentative de communiquer avec les esprits des morts.
- Les spirites cherchent des moyens pour entrer en communication avec ces esprits.
- Ils souhaitent persuader les sceptiques qu’ils ont tort de ne pas essayer cette pratique.
- Le médium agit comme poste récepteur, un amplificateur du monde des esprits.
- Moyens : transes, séances, médium, oui-ja, table tournante.
- Malgré les nombreuses supercheries, des messages sont parfois reçus de « l’au-delà ».
- Si des contacts réels sont établis, ce ne sont pas les esprits des défunts qui interviennent, mais des esprits mauvais et des forces occultes dangereuses.
d. L’occultisme doctrinal (philosophie)←↰⤒🔗
- C’est l’étude et l’explication du mystère de l’univers, de sa création, de son devenir.
- N’étant pas une science d’observation ou de découverte, l’occultisme doctrinal ou philosophique est une initiation réservée à quelques-uns.
- L’initié progresse dans la révélation des mystères de l’existence terrestre en relation avec l’univers.
- L’initié ne veut pas s’opposer aux sciences exactes, mais les compléter et les dépasser.
- L’occultisme est basé sur le principe de l’analogie : l’homme est un tout petit monde parce qu’il contient en lui analogiquement toutes les lois de l’univers.
- L’intelligence ou puissance astrale qui ordonne le mouvement des astres dirigerait l’homme dans son inconscient et dans ses aspirations; nous serions intimement liés à l’univers.
- L’homme serait formé de trois principes : le physique, l’astral (inconscient) et le spirituel (principe conscient d’origine divine).
- Pendant la vie terrestre, nous reconstituons notre corps astral, puis notre corps spirituel.
- Le but de la vie, c’est de fabriquer soi-même sa destinée future.
- C’est à partir de ce principe que l’occultisme fonde sa croyance en la réincarnation.
- Exemples : Franc-maçonnerie, l’ordre de la Rose-Croix, la Société théosophique, les Facultés des sciences hermétiques, l’Union idéaliste universelle, l’ordre des Bons Templiers, etc.
4. Le danger réel de l’occultisme←⤒🔗
- Pour des milliers de gens, les différentes formes de « bonne aventure » sont considérées un passe-temps innocent.
- La majorité de ceux qui touchent pour la première fois à l’occultisme le font plutôt par jeu, par curiosité ou parce qu’ils sont entraînés par leurs amis.
- Ce qui commence de façon apparemment innocente peut très vite devenir sérieux (l’horoscope exerce une influence subtile mais puissante sur le lecteur régulier de ces prédictions).
- Ces pratiques ne sont que la frange de l’occultisme, l’extérieur du tourbillon.
- Petit à petit, on s’enfonce dans les aspects plus graves et effrayants de la magie.
- On finit par se retrouver profondément impliqué dans l’immoralité, la violence, le culte de Satan et la possession démoniaque.
- Une grande partie de la magie et de l’occultisme relève de la bêtise et de la supercherie; elle fournit néanmoins une porte d’entrée facile aux forces démoniaques.
- Tout abandon délibéré aux forces occultes, toute tentative à faire le vide ou à se projeter dans un monde imaginaire débridé peuvent être extrêmement dangereux.
- Liens avec la toxicomanie, les danses effrénées, l’immoralité sexuelle, etc.
- Conséquences possibles : changement de personnalité, maladies psychiques, frayeurs causées par des voix, des visions ou d’autres phénomènes anormaux, attirance pour le morbide, la violence ou l’immoralité sexuelle, obsessions, dépression, suicide.
5. Dieu interdit à son peuple de pratiquer l’occultisme←⤒🔗
- Dt 18.9-14 : Dieu interdit la magie, la divination, le spiritisme et toutes formes d’occultisme.
- Ex 22.17; Lv 20.6,27 : Dans l’AT, le spiritisme était passible de la peine de mort
- 1 Ch 10.13-14 : Le châtiment exemplaire de Saül.
- 2 R 21.1-6 : Le triste cas du roi Manassé qui fit ce qui est mal aux yeux de l’Éternel.
- 2 R 23.24 : La réforme de Josias balaya ces abominations en Israël.
- És 8.19 : La folie d’invoquer les morts et de prédire l’avenir, au lieu de consulter son Dieu.
- Mi 5.11 : Dieu purifiera son peuple de ces pratiques mensongères.
- Ac 19.19 : Des magiciens convertis d’Éphèse ont brûlé leurs livres.
- Ap 9.21; 18.23; 21.8; 22.15 : La sorcellerie et ceux qui la pratiquent sont sévèrement condamnés. La sorcellerie est associée au meurtre, à l’idolâtrie, à la fornication et au vol.
6. Les raisons de cette interdiction←⤒🔗
- L’occultisme sous toutes ses formes est essentiellement une transgression du premier commandement : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face » (Ex 20.3). Le Seigneur veut que nous ayons un cœur tout entier pour lui (voir le Catéchisme de Heidelberg, Q&R 94 et 95).
- Pratiquer cette forme d’idolâtrie c’est se mettre sous le contrôle d’une puissance qui n’est pas celle de Dieu et qui est rebelle à Dieu. Ceux qui adorent des idoles se placent sous le contrôle des idoles (1 Co 10.19-20).
- Le désir de connaître (par l’astrologie et la divination) ce qui n’est normalement pas accessible à l’homme est une tentative d’aller au-delà des frontières établies par Dieu.
- Le désir d’exercer un pouvoir et un contrôle surnaturels (par la magie) est tout le contraire d’une bonne attitude d’une créature envers son Créateur (Mi 6.8).
- Le démonisme est dangereux et ultimement destructeur (exemples : Saül, Manassé, Achab).
- La pratique de l’occultisme est une haine envers Dieu contre qui l’on désobéit effrontément.
- Un des attraits des pratiques occultes, c’est qu’elles laissent libre cours aux instincts religieux profondément ancrés en l’homme, mais ne requièrent aucunement l’amour, la sainteté et le service aux autres (dans la Bible, la sorcellerie et l’immoralité sont souvent mentionnées ensemble).
- La divination et la sorcellerie sont une fausse prophétie opposée à la vraie prophétie (Dt 18.10-16). Consulter les devins et les sorciers est un péché grave, car ceux qui consultent ces gens ne mettent plus leur confiance dans la Parole du Seigneur et n’espèrent plus de lui la certitude et la sécurité pour leur avenir. Se tourner vers des esprits de divination, c’est se détourner de Dieu. Nous abandonnons la certitude et la sécurité d’appartenir au Seigneur que nous possédons déjà en écoutant sa Parole avec foi, et nous nous mettons à chercher à tâtons une sécurité illusoire que le sorcier pourrait nous procurer.
7. La solution de remplacement à l’occultisme←⤒🔗
- Une foi ferme en Dieu, souverain et miséricordieux. Chercher la direction de Dieu pour nos vies dans sa Parole et dans la prière. Avoir confiance qu’il dirige nos vies par sa providence et dans sa grâce.
- Une acceptation de la Bible comme seul critère de foi et de vie. Seule la Parole de Dieu nous fait connaître le salut de Dieu, sa volonté à notre égard et l’espérance que nous avons en Jésus-Christ.
- Le culte d’adoration du vrai Dieu en Église; nous lui rendons hommage et nous nous émerveillons devant lui de sa puissance, de sa grâce et de sa majesté.
- La prière, la communion journalière avec Dieu, relation réelle et précieuse.
- La communion fraternelle dans l’Église du Seigneur.
- Le témoignage de la lumière dans le monde. Toute notre vie doit témoigner de la réalité de notre Dieu, de la signification et de la direction qu’il donne à notre vie, de notre espérance vivante et de notre certitude de posséder en lui une source d’eau vive infiniment meilleure que les citernes crevassées où tant de gens cherchent en vain à étancher leur soif.
- Le discernement dans nos choix culturels (lecture, cinéma, loisirs, école, amis).
- Le bon usage des armes spirituelles dans le combat spirituel dans lequel nous sommes engagés, nous et nos enfants.
8. Marcher dans la lumière et fuir l’obscurité←⤒🔗
- L’occultisme se pratique dans le secret, dans l’obscurité et le mystère. Il fuit la lumière et finit par attirer ses adeptes dans le tourbillon du démonisme et du culte de Satan. Même si la personne ne s’enfonce pas aussi bas, elle se laisse tromper par la superstition et marche dans les ténèbres.
- À l’opposé, la foi chrétienne n’a rien à cacher. Elle fait briller l’amour et la grâce de Dieu; elle conduit à la lumière et à la vie; elle apporte la paix et l’assurance. En résumé, elle provient de Dieu, tandis que l’occultisme vient de Satan. « Si nous disons que nous sommes en communion avec lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons et nous ne pratiquons pas la vérité » (1 Jn 1.6; voir Jn 3.19-21; Ép 5.8-14).
Données bibliques sur l’occultisme
1. Divination, devin (AT : « qèsèm », « qasam »; NT : « manteuomai »)←⤒🔗
Nb 22.7 (Balaam); Nb 23.23 (ne peut rien contre Israël); Dt 18.10,14 (interdiction); Jos 13.2 (Balaam); 1 S 6.2 (Philistins); 1 S 15.23 (un péché d’après Saül); 1 S 28.8 (Saül et la femme d’En-Dor) 2 R 17.17 (Israël); És 3.1-3 (Dieu enlève tout appui à Israël); És 44.25 (triomphe de Dieu); Jr 14.14 (faux prophètes en Israël); Jr 27.9 (folie d’Israël contre Babylone); Jr 29.8 (avertissement); Éz 13.6,7,9,23 (contre les faux prophètes); Éz 21.26-28 (folie du roi de Babylone, moyen de châtiment divin); Éz 21.34 (Ammonites); Éz 22.28 (faux prophètes); Mi 3.6-7,11 (honte et confusion); Za 10.2; Ac 16.16-19 (une femme qui avait un esprit de Python suivait Paul; origine satanique; gain monétaire).
2. Magie, sorcellerie, tirer des présages (« ‘anan »)←⤒🔗
Lv 19.26 (interdiction); Dt 18.10,14 (interdiction); 2 R 21.6 (Manassé); 2 Ch 33.6 (Manassé); És 2.6 (Israël comme l’Orient et les Philistins); És 57.3 (reproches); Jr 27.9 (folie d’Israël contre Babylone); Mi 5.11 (purification d’Israël).
3. Magicien, prêtre-devin (« haretom »)←⤒🔗
Gn 41.8,24 (d’Égypte, incapables d’interpréter le rêve du pharaon); Ex 7.11,22; 8.3,14-15; 9.11 (d’Égypte, un certain pouvoir, mais moindre que le Dieu de Moïse; voir 2 Tm 3.8); Dn 1.20; 2.2 (de Babylone, incapables d’interpréter le rêve du roi).
4. Sorcellerie, sorcier, sortilège (« kèschèph », « kaschaph »)←⤒🔗
Ex 7.11; 22.17 (Égypte); Dt 18.10 (interdiction); 2 R 9.22 (Jézabel); 2 Ch 33.6 (Manassé); És 47.9,12 (Babylone abaissée); Jr 27.9 (folie d’Israël contre Babylone); Dn 2.2 (Babylone); Mi 5.11 (purification d’Israël); Na 3.4 (Ninive); Ml 3.5 (jugement).
5. Astrologie, rendre un culte aux astres, diviser le ciel←⤒🔗
Dt 4.19-20 (interdiction, idolâtrie); Dt 17.2-7 (interdiction, idolâtrie, enquête, châtiment); 2 R 21.3 (Manassé); 2 R 23.4-5 (réforme de Josias); És 47.13 (incapables de sauver); Jr 8.1-3 (idolâtrie, honte, incapables de sauver); Jr 10.1-3 (ne pas craindre); Jr 27.9 (folie d’Israël contre Babylone); Am 5.26 (l’étoile d’une idole d’Israël); Za 10.2; Ac 7.43 (l’étoile d’une idole d’Israël).
6. Astrologue ou magicien (AT : « ’ashaph »; NT : « magia », « mageuô », « magos »)←⤒🔗
Dn 1.20; 2.10,27; 4.4; 5.7,11,15 (de Babylone, incapables d’interpréter le rêve du roi). Mt 2.1,7,16 (des mages d’Orient venus adorer le Messie); Ac 8.9-24 (Simon le magicien et l’argent); Ac 13.6-12 (Bar-Jésus ou Élymas contre Paul).
7. Enchantement, malédiction magique, occultisme (« nahash »)←⤒🔗
Gn 30.27 (Laban); Gn 44.5,15 (accusation de Joseph); Lv 19.26 (interdiction); Nb 23.23 (ne peut rien contre Israël); Nb 24.1 (Balaam); 2 R 17.17 (Israël); 21.6 (Manassé); 2 Ch 33.6 (Manassé).
8. Enchantement, sortilège, formule magique, conjuration (« heber », « habar »)←⤒🔗
Dt 18.11 (interdiction); Ps 58.6; És 47.9,12 (Babylone abaissée).
9. Magie, magicien, enchantement, sortilège, philtre, poison (« pharmakeia », « pharmakos »)←⤒🔗
Ga 5.20 (œuvre de la chair contraire au fruit de l’Esprit); Ap 9.21 (non repentants); Ap 18.23 (nations séduites par les sortilèges de Babylone); Ap 21.8; 22.15 (leur fin dans l’étang de feu).
10. Sorcellerie, magie, recherche vaine (« périergos »)←⤒🔗
Ac 19.19 (Éphèse, conversion, livres brûlés).
11. Spiritisme, invocation des morts et des esprits (« ’ob », « yide‘oni »)←⤒🔗
Lv 19.31 (interdiction); Lv 20.6,27 (interdiction); 1 S 28.3,7-9 (Saül et la femme d’En-Dor); 2 R 21.6 (Manassé); 2 R 23.24 (réforme de Josias); 1 Ch 10.13-14 (Saül); 2 Ch 33.6 (Manassé); És 8.19-20 (consulter plutôt Dieu); És 19.3 (Égypte); És 29.4. Les morts ne reviennent pas vers nous (2 S 12.23; Jb 7.9-10).
Ouvrages consultés
- J. Douma, The Ten Commandments. Presbyterian and Reformed Pub., 1996, p. 24-27.
- Michael Green, I Believe in Satan’s Downfall. Hodder and Stoughton, 1981, p. 112-125.
- Aaron Kayayan, Défi et défaite des démons. Perspectives Réformées.
- Aaron Kayayan, Discerner les esprits. Perspectives Réformées, 1997.
- Kurt E. Koch, Occultisme et cure d’âme. L’association pour l’évangélisation chrétienne.
- Kurt E. Koch, Les ruses de Satan. Publication évangélisation, 1979.
- Frederick Leahy, Satan vaincu et chassé. Europresse, 1991 (1975).
- Maurice Ray, L’occultisme à la lumière du Christ. Ligue pour la lecture de la Bible, 1982, 234 p.
- Maurice Ray, Pour que nous soyons libérés. Ligue pour la lecture de la Bible, 1987, p. 169-187.