La personne et l'oeuvre du Saint-Esprit
La personne et l'oeuvre du Saint-Esprit
- Qu’est-ce que le Saint-Esprit?
- La personnalité du Saint-Esprit
- La divinité du Saint-Esprit
- Le mystère de la Trinité
- Les noms du Saint-Esprit
- Les symboles de l’Esprit
- Le Saint-Esprit dans l’histoire des dogmes
- Textes bibliques
- Étude personnelle
- Questions
1. Qu’est-ce que le Saint-Esprit?⤒🔗
Deux réponses ont été données à cette question : La première envisage le Saint-Esprit comme une énergie divine, une puissance émanant de Dieu. La seconde affirme que le Saint-Esprit est une personne divine.
Si le Saint-Esprit est une puissance, l’homme doit s’efforcer d’acquérir cette puissance en réalisant certains états intérieurs jusqu’à ce qu’il « sente » une émotion, une palpitation, un courant qui deviendra la preuve qu’il la possède. On est là dans le domaine purement psychique, voire physique. Dès lors, les conditions à remplir pour recevoir la puissance du Saint-Esprit sont des conditions psychiques (extases, tension de la volonté, etc.), les effets obtenus sont aussi d’ordre psychique (émotions, sensation, etc.), d’où les résultats inégaux, instables, décevants.
Une étude attentive des textes bibliques montre que le Saint-Esprit n’est pas une énergie ou une puissance. Il n’est pas quelque chose, il est quelqu’un. Il n’est pas une émanation de Dieu, il est une personne divine, un être personnel que l’on n’utilise pas, mais qui s’empare de nous et qui nous utilise. Il se manifeste par une présence dont nous sommes intimement dépendants, en vertu des conditions morales et spirituelles, c’est-à-dire en vertu de la foi.
La première conception est païenne : elle conduit à l’exaltation de soi-même. La seconde est chrétienne : elle conduit à l’effacement du « moi », au renoncement.
2. La personnalité du Saint-Esprit←⤒🔗
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La Bible attribue au Saint-Esprit différents caractères et qualités qui n’appartiennent qu’à une personne : il pense et connaît (1 Co 2.10-11) il aime (Rm 15.30), il veut (1 Co 12.11).
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La Bible présente le Saint-Esprit agissant comme une personne : il parle (Mt 10.20; Ap 2.7), il prie et intercède (Rm 8.26; Ap 22.17), il dirige, conduit, défend, commande (Ac 13.2-4; 16.6-7; Rm 8.14), il adresse vocation (Ac 13.2; 20.28), il enseigne (Jn 14.26), il rend témoignage (Jn 15.26; Rm. 8.16). Il a été appelé par Jésus le « Consolateur » (le Paraclet, c’est-à-dire l’avocat, celui qui vient à notre aide; Jn 14.16,26; 15.26; 16.7,13).
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La Bible montre qu’il est possible de traiter le Saint-Esprit d’une manière qui ne peut s’appliquer qu’à une personne : on peut lui résister et l’attrister (Ac 7.51; Ép 4.30), l’insulter et lui mentir (Ac 5.3; Hé 10.29), blasphémer contre lui (Mt 12.31-32).
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Au point de vue grammatical, on a remarqué que, bien que le mot grec Pneuma (Esprit) soit neutre, les pronoms qui s’y rapportent sont parfois au masculin (Jn 14.26; 15.26; 16.7-8,13-14; Ép 1.13-14).
3. La divinité du Saint-Esprit←⤒🔗
Les chapitres 14 à 16 de l’Évangile de Jean décrivent le Saint-Esprit comme l’envoyé divin venant enseigner, révéler et convaincre du péché, le Consolateur qui s’approchera des disciples désemparés, le Substitut qui remplace le Maître glorifié.
Ces trois appellations nous placent devant la divinité du Saint-Esprit. Il est non seulement une personne, mais une personne divine. Voici trois raisons :
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Le Saint-Esprit est souvent associé à Dieu et à Jésus-Christ dans la formule baptismale (Mt 28.19), dans la formule de bénédiction (2 Co 13.13), dans d’autres passages (Jn 14.16; 1 Pi 1.2).
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Le Saint-Esprit possède les attributs divins : l’éternité (Hé 9.14), l’omniprésence (Ps 139.7-10), l’omniscience (Jn 14.26; 16.13; 1 Co 2.10), l’omnipotence (Lc 1.35; Rm 15.13).
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Le Saint-Esprit accomplit les œuvres divines en ce qui concerne le monde, sa création, sa conservation (Jb 33.4; Ps 104.29-30), la personne de Jésus-Christ, sa naissance, son ministère, sa résurrection (Lc 1.35; Rm 8.11; 1 Pi 3.18), l’Église, sa fondation (Ac 2), les Écritures, leur inspiration (Lc 1.67-70; Ac 4.24-26; 2 Pi 1.20-21), le croyant, sa régénération (Jn 3.5-6), sa résurrection au dernier jour (Rm. 8.11).
4. Le mystère de la Trinité←⤒🔗
Le christianisme s’est toujours défendu d’adorer trois dieux : il déclare que Dieu est un dans son essence, tout en étant manifesté par trois personnes distinctes : c’est le mystère de la Trinité. On n’explique pas la Trinité, pas plus qu’on explique Dieu. Elle s’impose à la foi. La Bible laisse entendre qu’il y a trois modes ou degrés de communication de Dieu à l’homme :
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Avant Jésus-Christ, Dieu s’est manifesté principalement comme le Dieu qui est au-dessus de nous.
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En Jésus-Christ, nous contemplons Emmanuel, c’est-à-dire Dieu avec nous.
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Par le Saint-Esprit, nous possédons Dieu en nous.
5. Les noms du Saint-Esprit←⤒🔗
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L’Esprit : en hébreu Rouach, en grec Pneuma, en latin Spiritus, mot qui signifie souffle, vent. Il s’agit du principe vivifiant par excellence (Gn 2.7; 6.3; Mt 4.1; Jn 7.39; 1 Co 2.10).
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Esprit de Dieu (ou de l’Éternel) : ce nom met l’accent sur sa divinité et sa toute-puissance (Jg 3.10; És 11.2).
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Esprit de Jésus (ou de Christ ou de son Fils) : ce nom met en relief le lien qui existe entre l’Esprit, Christ et le Père (Ac 16.7; Rm 8.9; Ph 1.19).
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Le Saint-Esprit, l’Esprit Saint, ou Esprit de la sainteté : ces noms soulignent son caractère essentiel, la sainteté (Ps 51.13; És 63.10; Mt 1.18; Lc 11.13; Ac 5.3; Rm 1.4).
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Esprit de vérité : qui communique la vérité (Jn 14.17; 15.26).
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Esprit de la grâce : qui administre et applique la grâce de Dieu (Hé 10.29).
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L’Esprit de gloire : glorieux en lui-même et communiquant la gloire (1 Pi 4.14).
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Le Paraclet ou Consolateur (Jn 14.16; 15.26; 16.7,13).
6. Les symboles de l’Esprit←⤒🔗
Pour mieux faire comprendre ce qu’est le Saint-Esprit et ce qu’il fait, la Bible emploie pour le désigner des symboles :
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Le souffle ou le vent (Éz 37.9; Jn 3.8; 20.22; Ac 2.2) : désigne son action invisible, souveraine et impétueuse.
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La colombe (Lc 3.22) : douceur et pureté.
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L’huile (Lc 4.18; Ac 10.38; Hé 1.9) : qui consacre le sacrificateur, le roi et le prophète.
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Le feu (Ac 2.3-4) : action purificatrice, destructrice, illuminatrice, édificatrice.
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L’eau (Jn 7.38-39) : abondance, bénédiction, plénitude, rafraîchissement.
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Le sceau (2 Co 1.22; Ép 1.13; 4.30) : empreinte divine, marque de propriété.
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Le gage ou les arrhes (Ép 1.13-14; 2 Co 1.22) : premier acompte du salut final.
7. Le Saint-Esprit dans l’histoire des dogmes←⤒🔗
L’Église primitive n’entra que tardivement sur le terrain de la théologie au sujet du Saint-Esprit. Pendant longtemps, elle se contenta d’apporter à ce propos des considérations religieuses ou pratiques. Les Pères apostoliques parlent de l’action du Saint-Esprit sur les prophètes, sur les apôtres et sur les croyants; ils en font l’organe de la révélation, mais ils ne cherchent pas à préciser sa nature et ses rapports avec Dieu et avec Jésus-Christ. Tantôt, ils le conçoivent comme un attribut de Dieu, tantôt ils le confondent aussi avec le Logos (Christ préexistant), ou bien ils voient en lui « l’activité créatrice » de Dieu. C’est Justin Martyr (2e siècle) qui, le premier, très timidement, parle d’une personnalité du Saint-Esprit, idée reprise avec plus de vigueur par Irénée (2e siècle), Origène (3e siècle) et Athanase (4e siècle). Cependant, le symbole de Nicée (325), qui fut surtout préoccupé de définir la divinité de Jésus-Christ, se contenta d’inscrire : « Je crois au Saint-Esprit » sans aucune autre précision.
Comme dans d’autres occasions, ce fut la nécessité de lutter contre l’hérésie qui obligea les théologiens à préciser la doctrine du Saint-Esprit. Au 4e siècle, les positions étaient les suivantes :
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Les sabelliens (sous l’inspiration de Sabellias) ne voyaient dans le Saint-Esprit qu’une énergie émanant de Dieu. Ils niaient la personnalité du Saint-Esprit tout en maintenant sa divinité.
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Les ariens (disciples d’Arius) voyaient dans le Saint-Esprit une sorte de créature, comme le Fils, mais qui se confondait avec les hommes. Ils maintenaient sa personnalité, mais niaient sa divinité.
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Les nicéens (partisans du Symbole de Nicée) entrèrent en lice. Ils affirmèrent la personnalité du Saint-Esprit contre les sabelliens, et sa pleine divinité contre les ariens. Ils ajoutèrent, en s’appuyant sur Jean 15.26, que le Saint-Esprit n’était pas engendré comme le Fils, mais qu’il procède d’auprès du Père. Au Concile de Constantinople (381), les nicéens complétèrent le symbole de Nicée en précisant : « Je crois au Saint-Esprit qui règne et qui donne la vie, qui procède du Père, qui est adoré et glorifié avec le Père et le Fils, et qui a parlé par les prophètes. »
Une dernière question : procède-t-il du Père seul ou du Père et du Fils à la fois? Cette question qui semble puérile agita et divisa l’Église, puisqu’elle fut une des causes du schisme religieux qui sépara en deux tronçons la chrétienté : Orient et Occident. Les docteurs de l’Église d’Orient (Athanase, en particulier) se prononçaient pour la procession du Père seul, cause unique et suprême. Les docteurs de l’Église d’Occident (Augustin en tête) enseignaient la double procession du Saint-Esprit, estimant que l’opinion contraire mettait le Fils dans un état d’infériorité par rapport au Père. Cette opinion prévalut en Occident et un concile réuni à Tolède (589) modifia encore le Symbole de Nicée-Constantinople en ajoutant : « Je crois au Saint-Esprit qui règne et qui donne la vie, qui procède du Père et du Fils… » C’est l’aboutissement de la controverse dite du Filioque (latin « et du fils »).
La doctrine de la Trinité a pris corps au fur et à mesure que la doctrine du Fils et du Saint-Esprit se précisait. Esquissée par Justin Martyr (2e siècle), triplicité des manifestations divines dans le monde; développée par Origène (3e siècle), trinité métaphysique, trois hypostases éternelles d’essences différentes et subordonnées; puis par Athanase (4e siècle), trois hypostases éternelles et de même essence, ce qui fonde l’unité divine tout en laissant subsister une hiérarchie morale; elle trouve son achèvement dans Augustin et le Symbole Quicumque (appelé aussi Symbole d’Athanase, 5e siècle), un seul Dieu en trois personnes, égalité absolue de ces trois personnes, la Trinité tout entière se retrouvant dans chacune, et chaque action divine devant être rapportée aux trois à la fois.
La Réforme a admis les définitions des conciles qu’elle a estimées conformes à la Bible, mais elle s’est attachée surtout à mettre en lumière le rôle du Saint-Esprit dans l’Église et dans le croyant.
À l’heure actuelle, le protestantisme connaît deux tendances :
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Le modernisme qui a repris les idées du sabellianisme, ne voyant dans le Saint-Esprit qu’une énergie émanant de Dieu.
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L’orthodoxie qui maintient la personnalité du Saint-Esprit et la Trinité.
Le catholicisme a conservé aussi les définitions d’Augustin et du Symbole Quicumque.
8. Textes bibliques←⤒🔗
a. La personnalité du Saint-Esprit←↰⤒🔗
« Le Saint-Esprit dit : Mettez-moi à part Barnabas et Saul pour l’œuvre à laquelle je les ai appelés » (Ac 13.2). « L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu » (Rm 8.16). « L’Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables » (Rm 8.26). « Je vous exhorte, frères, par notre Seigneur Jésus-Christ et par l’amour de l’Esprit, à combattre avec moi » (Rm 15.30). « N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption » (Ép 4.30). « Un seul et même Esprit opère toutes ces choses, les distribuant à chacun en particulier comme il veut » (1 Co 12.11). « Que celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux Églises » (Ap 2.7).
b. La divinité du Saint-Esprit←↰⤒🔗
« Où irais-je loin de ton Esprit et où fuirais-je loin de ta face? Si je monte aux cieux, tu y es; si je me couche au séjour des morts, t’y voilà » (Ps 139.7-8). « Allez, faites de toutes les nations des disciples, baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » (Mt 28.19). « Que le Dieu de l’espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous abondiez en espérance, par la puissance du Saint-Esprit » (Rm 15.13). « À nous, Dieu nous l’a révélé par l’Esprit. Car l’Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu » (1 Co 2.10). « Combien plus le sang du Christ — qui par l’Esprit éternel s’est offert lui-même sans tache à Dieu — purifiera-t-il notre conscience des œuvres mortes, pour que nous servions le Dieu vivant! » (Hé 9.14). « Mis à mort selon la chair, il a été rendu vivant selon l’Esprit » (1 Pi 3.18). « C’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu » (2 Pi 1.20-21).
c. Les noms du Saint-Esprit←↰⤒🔗
« L’Esprit de l’Éternel reposera sur lui : Esprit de sagesse et d’intelligence, Esprit de conseil et de vaillance, Esprit de connaissance et de crainte de l’Éternel » (És 11.2). « Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre Consolateur qui soit éternellement avec vous, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut pas recevoir, parce qu’il ne le voit pas et ne le connaît pas; mais vous, vous le connaissez, parce qu’il demeure près de vous et qu’il sera en vous » (Jn 14.16-17). « Mais le Consolateur, le Saint-Esprit que le Père enverra en mon nom, c’est lui qui vous enseignera toutes choses et vous rappellera tout ce que moi je vous ai dit » (Jn 14.26). « Si quelqu’un n’a pas l’Esprit de Christ, il ne lui appartient pas » (Rm 8.9). « Si vous êtes outragés pour le nom de Christ, vous êtes heureux, car l’Esprit de gloire, l’Esprit de Dieu repose sur vous! » (1 Pi 4.14).
9. Étude personnelle←⤒🔗
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Dans Jean 7.37-39, pourquoi le Saint-Esprit est-il comparé à de l’eau?
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Que signifie que le Saint-Esprit est entièrement libre et souverain dans ses décisions et dans ses actions? (Jn 3.5-8; Rm 8.26-27; 1 Co 12.4-11).
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Le chrétien peut-être perdre le Saint-Esprit? (Jn 14.16-17; 2 Co 1.21-22; Ép 1.13-14; 4.30).
10. Questions←⤒🔗
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Quelles sont les conséquences pratiques de croire que le Saint-Esprit serait seulement une force, et non pas une personne?
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Démontrer par la Bible que le Saint-Esprit possède une personnalité.
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Citer des textes bibliques qui contiennent des formulations trinitaires.
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Nommer quelques attributs divins que possède le Saint-Esprit.
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Énumérer des œuvres divines accomplies par le Saint-Esprit.
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Quels sont les principaux noms qui désignent le Saint-Esprit?
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Que signifie que l’Esprit de Dieu est symbolisé par le vent? (Jn 3.8)
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Que signifie l’expression « le sceau de l’Esprit »? (2 Co 1.22; Ép 1.13; 4.30)
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Expliquez l’hérésie des sabelliens concernant la doctrine du Saint-Esprit.
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Expliquez l’hérésie des ariens concernant la doctrine du Saint-Esprit.
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Quelle fut la réponse donnée par les Conciles de Nicée et de Constantinople?
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Qu’a mis en lumière la Réforme du 16e siècle concernant la doctrine du Saint-Esprit?