Cet article a pour sujet le rôle de la christologie, en particulier l'humanité et la divinité du Christ unies en une personne, dans la pensée de Pierre Martyr Vermigli sur la signification des éléments de la Cène et la présence spirituelle du Christ.
Cet article a pour sujet l'identité de Jésus qui est une question fondamentale. La confession de l'Église ancienne sur son humanité et sa divinité est remise en question par les développements modernes en christologie.
Cet article a pour sujet l'identité de Jésus et sa signification pour le salut des hommes, au milieu du pluralisme actuel, des nombreuses religions et des fausses christologies.
Cet article a pour sujet la christologie classique des anciens Conciles qui affirme que le Christ possède deux natures, la divinité et l'humanité, en une même personne, sans séparation, sans division, sans changement et sans confusion.
Cet article sur la christologie présente une introduction aux diverses erreurs apparues au cours de l'histoire, se rapprochant soit de l'ébionisme qui souligne l'humanité du Christ, soit du docétisme qui souligne sa divinité.
Cet article sur la christologie a pour sujet l'hérésie de Marcion au 2e siècle qui enseignait que le Dieu de l'Ancien Testament était mauvais. Il a rejeté du Nouveau Testament tout ce qui était en rapport avec la loi et le judaïsme.
Cet article sur la christologie a pour sujet l'interprétation de l'Ancien Testament dans l'histoire de l'Église. On s'est souvent servi de l'allégorie ou on a trop vu la présence du Christ, sans assez tenir compte de l'histoire du salut.
Cet article a pour sujet la christologie de l'école d'Alexandrie qui soulignait l'unité de Dieu et la divinité du Christ, et l'école d'Antioche qui soulignait la distinction des trois personnes de la Trinité et l'humanité du Christ.
Cet article a pour sujet la christologie d'Eutychès au 5e siècle qui a repris la christologie d'Alexandrie et croyait en la fusion des deux natures du Christ en une seule (monophysisme opposé au nestorianisme).
Cet article a pour sujet la christologie de la Définition de Chalcédoine de 451 qui a répondu aux débats christologiques de son temps et qui résume notre foi en Jésus-Christ, ayant deux natures et une seule personne, pour notre salut.
Cet article a pour sujet la christologie d'après Karl Barth, Emil Brunner et la néo-orthodoxie où le Christ serait la manifestation totale de la divinité et où sa divinité apparaîtrait dans son humiliation par laquelle Dieu s'humilie et souffre.
Cet article a pour sujet la christologie du devenir d'après Norman Pittenger. Jésus se serait trompé sur lui-même, étant donné qu'il a revêtu notre humanité, et nous aurait donné un exemple suprême d'amour pour notre accomplissement.
Cet article a pour sujet la christologie d'après Paul Tillich qui rejette les faits historiques de la vie de Jésus (historicité), mais affirme son symbolisme ou sa signification religieuse.
Cet article a pour sujet la christologie d'après le catholicisme romain qui considère que la nature divine du Christ pénètre entièrement sa nature humaine, de sorte que sa nature humaine aurait été divinisée (déification de l'homme).
Cet article a pour sujet la christologie d'après le luthéranisme qui enseigne que les qualités de la nature divine du Christ sont communiquées à sa nature humaine, d'où l'omniprésence de son humanité dans la Cène.
Cet article a pour sujet la christologie de la kénose qui affirme que la Parole devenue homme aurait abandonnée sa divinité ou que Jésus se serait tout au moins dépouillé d'une partie de ses attributs divins.