Cette prédication sur Colossiens 1.15 a pour sujet Jésus-Christ l'image du Dieu invisible dans sa divinité pour nous révéler le Père et dans son humanité pour nous révéler notre humanité et nous restaurer avec une identité d'hommes et de femmes à l'image de Dieu, alors que la culture actuelle redéfinit l'identité en transgenre, androgyne et otherkin.

 

Source: La Parole faite chair - Prédications sur la naissance du Christ. 6 pages.

Colossiens 1 - L’enfant de la crèche est l’image du Dieu invisible

« Avec joie rendez grâces au Père qui vous a rendus capables d’avoir part à l’héritage des saints dans la lumière. Il nous a délivrés du pouvoir des ténèbres et nous a transportés dans le royaume de son Fils bien-aimé, en qui nous avons la rédemption, le pardon des péchés. Il est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. Car en lui tout a été créé dans les cieux et sur la terre, ce qui est visible et ce qui est invisible, trônes, souverainetés, principautés, pouvoirs. Tout a été créé par lui et pour lui. Il est avant toutes choses, et tout subsiste en lui. Il est la tête du corps, de l’Église. Il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier. Car il a plu à Dieu de faire habiter en lui toute plénitude et de tout réconcilier avec lui-même, aussi bien ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. »

Colossiens 1.12-20

Chers frères et sœurs,

Le prophète Ésaïe a déclaré : « Le peuple qui marche dans les ténèbres voit une grande lumière; sur ceux qui habitent le pays de l’ombre de la mort une lumière resplendit » (És 9.1). Quelques lignes plus loin, Ésaïe ajoute cette parole prophétique : « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la souveraineté reposera sur son épaule… » (És 9.8-9). Oui, la naissance du grand Roi a fait paraître une grande lumière. Au milieu de l’obscurité profonde, la lumière de Noël resplendit! C’est dans un monde perdu que le Sauveur est venu.

Nous avons le privilège encore cette année de célébrer la grande joie de Noël, même si c’est d’une manière bien étrange. La joie du Seigneur nous habite, il éclaire nos cœurs de sa lumière resplendissante. N’oublions pas toutefois, par compassion pour le monde, qu’il reste encore bien des zones obscures sur la terre. Pour nous inciter à la compassion, nous irons faire une incursion dans un segment obscur de notre culture ténébreuse. Pas pour nous y attarder ou nous décourager, mais pour apprécier d’autant plus la lumière resplendissante de Noël pour le monde.

Mais d’abord, admirons le puissant rayon de lumière qui nous vient de Colossiens 1.15 : « Il est l’image du Dieu invisible. » Une toute petite phrase qui contient des richesses inépuisables. L’enfant de la crèche est l’image du Dieu invisible.

1. Jésus, la lumière resplendissante à l’image de Dieu🔗

Oui, Jésus-Christ, le Fils bien-aimé, est l’image visible qui reflète à nos yeux le Dieu invisible. Jésus est la représentation parfaite de Dieu. Il nous fait voir la splendeur de celui qui demeure invisible à nos yeux. Quelle belle lumière, n’est-ce pas? Une lumière pure, pénétrante, vivifiante.

La lumière naturelle, vous le savez, est composée de plusieurs longueurs d’onde, depuis l’ultraviolet jusqu’à l’infrarouge, en passant par le bleu, le jaune, le rouge. Toutes ces couleurs unies ensemble forment une lumière blanche. De la même façon, on pourrait dire que la lumière qui nous vient de Jésus, l’image du Dieu invisible, est composée de deux rayons de longueurs d’onde différentes : sa divinité et son humanité. Une fois ces deux rayons unis ensemble en une même personne au moment de l’incarnation, ils forment une seule lumière, une seule image qui nous fait voir parfaitement le Dieu invisible. Comme le dit si bien la fameuse formule de Chalcédoine : « Un seul et même Christ Jésus [] en deux natures, sans confusion, ni transformation, ni division, ni séparation. » Celui que nous célébrons à Noël est Dieu fait homme, le Fils éternel de Dieu venu prendre la nature humaine, « la Parole faite chair » (Jn 1.14). Il nous permet de connaître Dieu tel qu’il est parce qu’il est Dieu lui-même, la deuxième personne de la Trinité.

D’après Colossiens 1.16-17, celui qui est l’image du Dieu invisible est celui par qui « tout a été créé dans les cieux et sur la terre, ce qui est visible et ce qui est invisible. […] Il est avant toutes choses, et tout subsiste en lui. » Le Christ est vraiment le Dieu Créateur et le Dieu providence, le Tout-Puissant. À Noël, nous ne fêtons pas la naissance d’un enfant quelconque. Nous célébrons la venue de Dieu sur terre! Comme le dit si bien la fameuse formule de Nicée-Constantinople : « Lumière, née de la Lumière, vrai Dieu, né du vrai Dieu, engendré, non pas créé, de même nature que le Père et par lui tout a été fait. » Le Fils de Dieu peut donc très exactement nous faire connaître Dieu, puisqu’il est Dieu lui-même.

« Personne n’a jamais vu Dieu; Dieu le Fils unique qui est dans le sein du Père, lui, l’a fait connaître » (Jn 1.18). Jésus lui-même a dit : « Celui qui m’a vu a vu le Père » (Jn 14.9). Un autre texte remarquable nous dit : « Ce Fils est le rayonnement de sa gloire et l’expression de son être » (Hé 1.3). En Colossiens 2.9, Paul dit encore : « Car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité. » C’est époustouflant! Comment comprendre? Dieu le Fils a pris un corps humain comme le nôtre, pour y faire habiter toute la plénitude de la divinité. Dans le petit enfant déposé dans la mangeoire à Bethléem habitait toute la plénitude de Dieu, pour être le rayonnement de la gloire divine, pendant tout son ministère terrestre, au moment de mourir pour nos péchés, à sa résurrection glorieuse, à sa montée au ciel et aujourd’hui encore dans son règne. Il demeure vrai Dieu et vrai homme pour toujours! Il est donc parfaitement en mesure de refléter la lumière de Dieu pour la faire briller sur nous. Il est le seul qui puisse le faire, lui, l’image du Dieu invisible.

Il ne faut donc pas chercher ailleurs cette lumière. La lettre aux Colossiens a pour but de dire aux chrétiens : Ne cherchez pas ailleurs. N’allez pas courir vers des anges, des philosophies ou des pratiques austères pour trouver Dieu. Vous avez tout pleinement en Jésus-Christ. Oui, Noël nous offre celui qui peut pleinement nous satisfaire. Sa lumière resplendissante nous fait connaître le vrai Dieu plein de grâce et de vérité, dans toute sa splendeur.

Bien sûr, tous les humains sur terre connaissent Dieu à travers ses œuvres de création. « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue céleste annonce l’œuvre de ses mains » (Ps 19.1). Mais qu’est-il arrivé? Depuis l’entrée du péché dans le monde, nos yeux sont devenus aveugles, nos cœurs se sont remplis d’obscurité. Nous avions besoin d’une lumière plus pénétrante pour percer notre carapace, pour ouvrir nos yeux aveugles et nous redonner vie, à nous qui étions morts spirituellement. La seule façon de revenir à la connaissance du vrai Dieu est par Jésus-Christ, sa personne, son œuvre, son sacrifice à la croix pour nos péchés, pour nous réconcilier avec Dieu, comme Paul le dit aux versets 21 et 22 de notre texte. Pour parvenir à cette connaissance vivifiante du vrai Dieu, il nous fallait cette image du Dieu invisible. Ainsi donc, premier rayon de lumière venant de cette image : sa divinité.

Maintenant, deuxième rayon de lumière venant de cette image : son humanité. L’enfant de la crèche est vrai homme. Il est l’image du Dieu invisible en tant qu’homme. Adam et Ève, nos premiers parents, ont été créés à l’image de Dieu, homme et femme, plus exactement mâle et femelle selon l’hébreu en Genèse 1.27. Leur identité à l’image de Dieu avait pour but de refléter la gloire de Dieu dans la création. Au commencement, les cieux racontaient la gloire de Dieu, oui, mais l’homme et la femme reflétaient la gloire de Dieu d’une lumière encore plus resplendissante. C’était très beau! Malheureusement, cette beauté humaine est perdue. Nous sommes encore à l’image de Dieu, c’est encore notre identité, mais l’image est cassée, comme un miroir cassé en mille morceaux qui n’arrive plus à refléter correctement l’image. Nous avons coupé les ponts avec Dieu, alors, nous n’arrivons plus à refléter correctement son image. Nous avons perdu justice, bonté, vérité.

Le Seigneur Jésus est venu réparer le miroir cassé. Il s’est fait homme. Il a repris là où nous avions échoué. L’enfant de la crèche est l’image du Dieu invisible dans le sens qu’il est vrai homme. En tant qu’homme, il reflète parfaitement la lumière que nous étions censés faire briller. Nous regardons à Jésus dans la mangeoire de Bethléem, et nous voyons une image, non pas une image morte en porcelaine, en carton, en plastique ou en papier mâché! Une image vivante, une vraie personne humaine à l’image de Dieu, remplie de justice, bonté, vérité.

Il l’a fait pour notre salut. Selon la belle formule, encore une fois, de Nicée-Constantinople : « Pour nous les hommes, et pour notre salut, il descendit du ciel; par l’Esprit Saint, il a pris chair de la vierge Marie, et s’est fait homme. » Il l’a fait pour expier dans son corps les péchés que nous avons commis et que nous commettons encore. Mais plus encore, il l’a fait pour nous restaurer à l’image de Dieu, recoller les morceaux cassés et nous permettre de briller à nouveau à la gloire de Dieu. Voyez Colossiens 1.22 : « Il vous a maintenant réconciliés par la mort dans le corps de sa chair, pour vous faire paraître devant lui saints, sans défaut et sans reproche. » C’est époustouflant! Nous deviendrons saints, sans défaut et sans reproche devant Dieu! C’est le but de notre vie, notre destination ultime et qui déjà notre vocation actuelle. Paraître devant Dieu dans une beauté parfaite, une beauté spirituelle, morale, corporelle. Tout! Redevenir de vrais hommes et de vraies femmes recréés à l’image de Dieu, à l’image du Fils de Dieu. Oui, grâce à l’enfant de la crèche, l’image du Dieu invisible. Il veut et va répliquer en nous cette image, pour nous rendre capables de vivre à nouveau notre pleine humanité.

Lumière resplendissante de Noël qui brille sur nous! Joie dans nos cœurs! Il est l’image du Dieu invisible qui nous révèle à la fois le vrai Dieu et notre vraie identité humaine!

2. Les ténèbres de notre culture🔗

Et maintenant, par compassion pour notre monde perdu, allons faire une incursion dans un segment obscur de notre culture ténébreuse. Qu’a-t-on fait de notre Dieu Créateur? On l’a rejeté. On a coupé les amarres. Qu’a-t-on fait de son Fils Jésus-Christ? On n’en veut pas, on n’en a pas besoin. Du coup, on a remplacé la connaissance du vrai Dieu par une multitude de faux dieux inventés par l’imagination tordue d’un cœur corrompu. Mais ce n’est pas tout. Parce qu’on a coupé les amarres avec le vrai Dieu Créateur et parce qu’on n’a pas encore retrouvé ce vrai Dieu à travers son Fils Rédempteur, nous avons perdu notre identité humaine. Nous ne savons plus qui ou quoi refléter. Nous sommes censés être l’image de Dieu, nous sommes censés refléter sa lumière, mais nous avons rejeté la source de la lumière, alors, que reste-t-il à refléter? Nous refusons à tout prix de lui ressembler, comme un enfant qui déteste se faire dire qu’il ressemble à ses parents parce qu’il déteste ses parents.

Le phénomène transgenre le démontre parfaitement. Un transgenre est une personne qui a une biologie sexuelle masculine et qui se prétend femme, ou qui a une biologie sexuelle féminine et qui se prétend homme. On prétend créer son identité, on devient autocréateur, au lieu de recevoir de son Créateur son identité et de refléter l’image du Créateur, que Dieu a différenciée, mâle et femelle, homme et femme. Genèse 1.27 : « Au commencement, Dieu créa l’homme à son image : il le créa à l’image de Dieu, mâle et femelle il les créa. » D’après la Bible, celui qui a la biologie sexuelle masculine est un homme, celle qui a la biologie sexuelle féminine est une femme. Chacun des deux est un reflet de Dieu à travers ce qui les distingue. Ayant coupé les amarres avec le Créateur, on refuse de refléter son image, on prétend créer sa propre identité, produire sa propre lumière en essayant de réinventer tous les genres possibles et imaginables : LGBTQ2+ XYZ.

En fin de compte, notre culture finira peut-être par devenir androgyne. Androgyne vient de deux mots grecs : andros, homme, et gunè, femme, un homme-femme, une femme-homme, une personne qu’on regarde très attentivement de haut en bas et qu’on n’arrive pas à savoir si c’est un homme ou une femme. Pire encore! Il y a des personnes qui se considèrent des « otherkin ». « Otherkin » veut dire « autre lignée », c’est-à-dire des non-humains. Un jeune homme de 18 ans aux États-Unis est convaincu d’être un loup. Il veut changer légalement de nom pour être officiellement reconnu loup. Il a des amis qui sont persuadés d’être tigre, léopard, raton laveur. Une vraie ménagerie! D’autres s’identifient comme étant des fées, des elfes, des dragons, des licornes, des anges, des vampires, et quoi encore?

Ce n’est pas tout! L’obscurité culturelle s’épaissit toujours plus. Nous avons maintenant des projets de loi qui viendront mettre de l’ordre dans la question transgenre : le projet de loi C-6 au fédéral et le projet de loi 70 au provincial, et je cite : « visant à protéger les personnes contre les thérapies de conversion dispensées pour changer leur orientation sexuelle, leur identité de genre ou leur expression de genre ». Très bientôt, en 2021, nous aurons une loi pour protéger les droits de toute personne LGBTQ2+ contre toute tentative criminelle d’essayer de les convertir à l’horrible réalité de… l’hétérosexualité. Autrement dit, selon la formulation finale qui sera donnée à cette loi, on peut craindre la chose suivante : Si un enfant se pose des questions sur son genre parce qu’un copain à l’école, un professeur, une émission de télé lui suggère l’idée d’une orientation XYZ, et que le parent encourage au contraire son enfant à rester garçon s’il a une biologie de garçon ou à rester fille si elle a une biologie de fille, eh bien, le parent pourrait être dans l’illégalité, passible d’emprisonnement! Même chose pour un pasteur qui fait de la pastorale, un conseiller, ou quiconque suggère de rester garçon ou fille, homme ou femme. On nous impose le bâillon. Interdiction totale d’émettre une opinion contraire. Ça s’appelle la liberté de parole!

Alors, en toute logique, il faudra bien un jour élargir cette loi pour inclure la protection des « otherkin ». Gare à celui qui osera contredire un loup, un tigre, un lion ou un vampire! Qui sait? Peut-être un jour la police arrivera à notre porte pour nous dire : « Monsieur, madame, vous êtes en état d’arrestation parce que vous avez osé dire à votre enfant qu’il n’est pas un gorille extraterrestre comme il l’affirme, mais qu’il est juste un petit garçon. En prison! » Ça va prendre de grandes prisons!

Révolution culturelle radicale! Révolution où l’État se pense investi d’une grande mission : ingénieur anthropologique, réinventeur d’identité, fabricant d’images tordues. Vous savez, une prédication comme celle-ci sera bientôt illégale, passible d’emprisonnement. Allons-nous la diffuser sur YouTube? Pas de problème! Nous n’allons pas nous taire! Le monde a tant besoin de la lumière de l’Évangile! On peut raisonnablement penser que la Bible elle-même sera très bientôt mise à l’index. Il deviendra sûrement criminel de la lire ou de l’enseigner, puisque c’est la Bible qui nous enseigne « l’hétéronormativité » tant détestée.

3. Allons à sa lumière nous restaurer!🔗

Vite! Vite! Accourons vers la lumière! Allons vite vers l’enfant de la crèche, lui, l’image du Dieu invisible, lui le Seigneur suprême sur nos vies et sur notre identité! Laissons-nous inonder par ses beaux rayons de lumière pure. Que le rayon de sa pleine divinité brille sur nous. Il nous révèle Dieu le Père dans toute sa clarté, dans toute la perfection de ses attributs : justice, sainteté, puissance, pureté, amour, grâce. Comme ça fait du bien! « La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ » (Jn 17.3). Connaissons toujours mieux ce Dieu Créateur et Rédempteur à travers son Fils.

Que le rayon de sa pleine humanité brille également sur nous. Le Christ nous révèle notre humanité. Il est ce que nous étions censés être, il est vrai homme. Regardons à lui pour savoir qui nous sommes! Il nous dévoile notre identité! Dans la crèche, c’est un vrai petit garçon avec une biologie sexuelle masculine, il a été circoncis le huitième jour. Son genre ne fait aucun doute : « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné. » Lumière resplendissante au milieu des ténèbres! Grâce à lui, grâce à son œuvre de réparation, nous redevenons ce que nous étions censés être, par pure grâce. Des garçons et des filles, des hommes et des femmes pardonnés par son sang, restaurés à l’image de Dieu par son Esprit, pour refléter de mieux en mieux la lumière de Dieu et de son Fils.

« Car tous ceux que [Dieu] a connus d’avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l’image de son Fils » (Rm 8.29) « Nous tous, qui le visage dévoilé, reflétons comme un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, comme par le Seigneur, l’Esprit » (2 Co 3.18).

La transformation qu’il opère en nous par son Esprit ne nous fait pas devenir androgyne ou transgenre ou licorne ou dragon. Cette transformation nous fait redevenir vrais hommes de Dieu et vraies femmes de Dieu, à l’image de Dieu dans sa perfection, pour refléter la lumière de Dieu et de son Fils. Une lumière qui a déjà commencé à briller en nous et à travers nous, et qui un jour brillera parfaitement.

Bonne nouvelle! Jésus est la parfaite image du Dieu invisible afin que nous devenions saints, sans reproche, remplis de gloire et de beauté. Une beauté spirituelle, morale et corporelle dans nos corps ressuscités à venir, dans la nouvelle création à venir. Ce jour-là, toute obscurité disparaîtra pour faire place à la pleine lumière de sa gloire. Une lumière qui brillera à travers le Christ et à travers nous avec lui. Viens bientôt, Seigneur Jésus! Amen!